Le livre "The Da Vinci Code" et l'Apôtre bien-aimé

Différentes traductions, selon différents groupes religieux.
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Nickie

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Le livre "The Da Vinci Code" et l'Apôtre bien-aimé

Ecrit le 21 juil.04, 05:37

Message par Nickie »

La raison pour laquelle j'insère cet article qui est écrit par un archéologue Chrétien, c'est que ça parle de la peinture la plus célèbre dans le monde de la Chrétienneté, le dernier souper de Jésus - la Sainte-Cène.

Selon la thèse Agnostique du Code Da Vinci, Marie-Madelein est assise à la table de la Sainte-Cène avec les Apôtre, et l'auteur de cet article nous dit le pourquoi que le livre d'après l'auteur Dan Brown n'est pas à méprendre avec la réalité, et il va plus loin en expliquand ce qu'elle rôle joue la thèse de Marie-Madeleine dans ce code et ce livre.



La Base Historique Du 'The Da Vinci Code' (Le Code Da Vinci) par Dan Brown
Gary A. Byers
Traduction affreuse par: Cocotte





Il n'y en a pas!

Mais celà ne fait pas beaucoup d'un article, et j'ai, dit l'auteur, des choses vraiment importantes à dire au sujet de ce livre. Cet article n'est pas une revision de livre, mais plutôt une réponse au roman à cause de l'impacte
qu'il a eu sur le publique général.

Au début, souvenons-nous le 'best-seller' par Dan Brown est juste un roman. Lui et son éditeur (Doubleday) se sont mis en accord sur ce fait et l'ont annoncé sur la couverture du livre et la page titre: The Da Vinci Code: A Novel (Le Code Da Vinci: Un Roman). Ils ont aussi inclus le reniement standard légal sur la page du droit-d'auteur: "Tous les personnages et les évènement dans ce livre sont fictifs, et toute ressemblance à des personnes vrai, vivantes ou décédéees, est purement une coincidence." Le Code Da Vinci est juste une autre pièce de fiction.

Le message du livre a généré une vague-de-fond de réaction chez le publique en Amérique, non-pas différent de la façon que "La Passion du Christ" par Mel Gibson a touché un nerf. Mais la différence entre les deux est au coeur de la discussion. Le film de gibson est basé sur des faits historiques présentés dans les quatres Évangiles, tandis que le livre de Brown est basé sur des théories non-historiques. Pourtant le 'The Da Vinci Code' est entrain d'être accepté aussi sérieusement. Des commentaires des Chrétiens et des non-Chrétiens, à la fois à l'écran et imprimé, ont exprimé de l'outrage envers "l'Église" pour sa malhonnêtet au travers des siècles par égard à la vérité au sujet de la Bible, Jésus et Mary Magdaleine.

J'ai été émerveillé qu'autant de gens s'enthousiasment à propos d'un roman, et même pas un roman historique, à celà!

Ensuite j'ai commencé à lire de très fine réponses au livre de la part de mes collègues et j'ai décidé que je devrais lire le livre, moi-même. Soulageusement, je n'avais pas eu besoin de sortire et d'aller acheter le livre.

Un ami l'avait acheté et deveint si dégoûter qu'elle le garrocha dans les poubelles!

Ça faut longtemps depuis que j'ai lu un roman, donc je fut surpris comment interressant l'histoire me fut. Bien sûr, Brown me dupa dès le début avec un commentaire à la "Harrison Ford en tweed" (9) à propos de son personnage principale, Robert Langdon un professeur à Harvard. En fait, les deux thèmes majeurs du livre s'adonnent à être mes deux sujets favorits à moi, dit l'auteur: the Holy Grail et Le Dernier Souper par Leonardo Da Vinci, (La Sainte Cène).

Entendons-nous bien, je n'ai même pas lu les livres des séries Left Behin par Tim LaHaye. Mais je possède une copie de Babylon Rising, le premier d'une serie par LaHaye, et je planifie de le lire. Le personnage principale ici est l'archéologiste de champ Michael Murphy, un genre d'Indiana Jones Biblique. J'ai un intérêt personnel dans le livre depuis qu'un couple de membres du personel de l'Associates for Biblical Research ont fourni du matériel archéologique à LaHaye pour les nouvelles séries.

Brown est un bon écrivain; il me garda hors guarde au travers du livre en entier. J'ai dit à ma femme que j'avais figurer l'identité du gars méchant, pour que découvrire comment je fut totalement hos champ à la page 405 (des 454 page du livre). En plus, pour ceux qui n'ont pas lu le livre, il n'y a prèsque pas de profanitées et pas de liaisons sexuelles sordides, une exception rafraîchissante à la plus grande partie de la litérature d'aujoud'hui.

Mais la raison pour laquelle que j'ai lu le livre fut pour voir ce qui était dit au sujet de Jésus, la Bible et la foi Chrétienne. Aprés l'avoir fini, j'estimerais qu'il y avait seulement 20 pages de matériels que je considéra comme étant offensifs en tant que Chrétien, et c'étaient toujours apparentées à ces thèmes. Honnêtement, ce n'était de nouvelles choses. Le livre popularise simplement les théories qu'un nombre d'érudits disent et écrivent avec régularité.

Et, juste pour être équitable envers Brown, après avoir fini le livre je réalise que les déclarations les plus préjéduciaires et offensives viennent de l'antagoniste de l'histoire - sa vrai agenda n'est pas clair jusqu'à la fin.

Quoique bon ou méchant, ce n'est pas encore une bonne idée de prendre votre vision mondiale d'un personnage fictif dans un roman! Il est si triste que les personnages de Brown disent de telles choses dans un roman, et qu'il embrasse de ces visions comme étant des vérités historiques et ses croyances lors d'interview. Je ne sais pas s'il croit vraiment dans ces choses, ou si c'est fait juste partie d'un campagne de relations publiques pour étendre les ventes.

Seulement les faits.

Conséquemment, j'ai trouvé le livre beaucoup plus offensif en tant qu'érudit qu'en tant que croyant. Tout en rendant celà claire que "Le Code Da Vinci" est un roman, Brown positionne le lecteur pour qu'il le voit en tant que roman historique, où les personnages fictifs et l'intrigue sont placés dans de vrai contextes historiques. Brown fait ceci de trois façons. Premièrement, il apparaîtrait qu'il puisa largement à la foi de l'expertise de son épouse en tant qu'historienne de l'art et paintre et de la connaissance de son père en tant qu'enseignant en mathématiques (voir les remerciements). Tout au travers du livre, Brown offre de petits renseignements insignifiants de vérités historiques des deux domaines.

Deuxièmement, Brown commence aussi son roman avec une page qui est intitulée "Fact" (Faits) (1), où il met référence trois "vérités".

1.) Priorie de Sion
2.) La Prélature du Vatican connu comme Opus Dei
3.) ".toutes les descriptions de l'artisanat, de l'architecture, des documents et des rituels secrèts dans ce roman son exactes."

Conséquemment, le lecteur du roman pourrait bien ressentire que des propos au sujets de Jésus, de la Bible et de la foi Chrétienne sont aussi des vérités historiques établies. Ils sont de loin celà!

La troisième façon avec laquelle Brown fait passer ses visions uniques en tant que vérités historiques solides proviend d'une technique litéraire efficace. Le personnage principal de Brown, les professeur de Harvard
'Robert Langdon, est portrayé comme étant un érudit soigné et prévenant, qui est toujours contraster avec des popularisants et des théoristes de la conspiracie.

Mais, ce roman pas si-prudemment-recherché et non-historique laisse constamment l'académicien pensif être un expert sur des sujets qui sont à leurs meilleurs des faits historiques disputés dans la vraie vie. Et pire encore, Brown y lanc là-dedans des théories absolument outrageantes que même les érudites critiques et féministes, dont il épouse les visions, seront d'accord sont des idées de la frange et elles non-historiques. Mais que sa bonne forme d'écriture-les personnages fictifs n'ont pas besoin de croire ou penser de véritables pensées. Et dans le roman de Brown, il ne le font pas!

Ce qui est d'importance particulière à l'histoire sont un nombre de documents historiques des périodes variés de l'histoire. des document dit être décrits avec précision à sa page "Fact" (Faits) (1). La plus grande partie de ces textes sont hors de mon domaine d'expertise; je n'ai pas fait une étude significative de la plus grande partie d'eux et il apparaîtrait que Brown non-plus! Son histoire prend des libertés dont il dit au commencement qu'il ne fait pas. Mais qu'est-ce que l'on s'attendrait d'un roman? Malheureusement, les sujets qu'adresse le livre et la position sérieuse qu'a prit son auteur pendants les interviews demandent une analyse perspicace des faits.

Depuis l'édition du "The Da Vinci Code", un nombre de livres d'articles ont été écrit en guise de réponse de la part de ceux qui sont familiers avec les textes. Mon préféré es "Breaking the Da Vinci Code (2004) par Darrell Bock, Professeur de Recherche des New Testament Studies à Dallas Theological Seminary. Une fois après l'autre, en parlant à partir de leurs domains spéciaux d'expertises, ces écrivains ont identifié des problêmes dans l'utilisation de textes historiques de Brown.

Je ne vais pas reviser leurs arguments en détail ici, mais je vois adresser brièvement deux domaines "des descriptions de l'artisanat, de l'architecture, des documents... dans ce roman qui sont exactes" (1): les éléments architecturaux d'un structure et un document. Les deux sont très familières aux étudients de matériels Bibliques.

L'architecture (le Temple de Jérusalem) et les Textes (Les Parchemins de la Mer Morte)

Premièrement, les éléments architecturales du Temple de Jérusale. Brown suggère que le Saint des Saints était une structure subterranéenne massive (433034). Tandis qu'il y a de nombreuses sutructures subterranéenne endessous du Mont du Temple de Jérusalem, le Saint des Saints était une petite structure intérieure sur le somet du mont (I Rois6: 14-22; 2 Chron.3: 8-14).

Le personnage principale de Brown, le professeur Langdon, parle aussi des Chevaliers Templiers installant leurs résidences dans les étables sous les ruines de temple (159). Tandis qu'un région sous le bout sud du Mont du Temple a été traditionnellement connu comme étant les Étables de Solomon, il fut longuement reconnu par les érudits que cette région n'a jamais servi d'étables. Les académicien qu'était Langdon aurrait dû connaître une telle chose. Quelqu'un n'a pas fait sa recherche!

Faisant aussi partie du Temple de Jérusalem, Langdon discute à propos de deux pilliers - Jachin et Boaz (435-56). Il les appelle "les structures architecturales les plus dupliquer de l'histoire" et il les décrit comme étant
"des répliques exactes" se tenant à la Chapelle Rosslyn près de Edinburgh, en Nouvelle-Écosse. Tandis que les deux pilliers sont fréquemment décrits dans la Bible ( I Rois7: 15-23; 2 Rois25: 16-17; 2 Chr.3: 15-17; 4:12-13; Jér.52: 21-23), les détails précis sont perdus à l'histoire. Je sais que c'est une petite chose, mais puisqu'ils sont "les structures architecturales les plus dupliquées de l'histoire ," j'ai assumé que cet expert aurrait comprendre que nous n'avons pas assez d'information pour des "répliques exactes."

Un question à côter du Temple Juif, Brown parle de la Shekinah en tant que déité femelle en résidence là (309, 446). Ce qui n'est pas retrouver dans l'Ancient Testament, c'était une mot Hébrew utilisé dans les textes
rabbinique. En provenance du verbe Hébrew "d'y résider" ("to dwell") il fut utilisé pour décrire la présence glorieuse de Dieu, spéciallement au Temple à Jérusalem. Les Rabbis n'ont jamais considéré le Shekinah comme étant de la façon d'un bonne histoire!

En parlant du Dieu d'Israel Qui résidait dans le Temple de Jérusalem. Brown a aussi des apperçus à propos de Jéhovah - la déity mâle du Temple (309)! Dans le livre, le professeur Langdom explique que Jéhovah est l'union androgyme du Jah masculin et le nom féminin pré-Hébraique de Ève - Havah. Et de ceci vient le YHWH Juif (le
Tetragrammaton: les "quatres lettres" Grèc).

Je suppose qu'il pourrait y avoir un folklore Juif obscure ou une déclaration Kabalistique qui suggère une telle idée, mais n'importe lequel érudit sérieux sait que Jéhovah est une forme Anglaicisée de la terminologie Hébreuse YAHWEH (YHWH étant le Tétragrammaton "quatres lettres"). De plus, l'étymologie de Yahwah provient de la forme à la troisième personne au singulier du verbe "être" ("to be") - qui est, le mot Hébrew "he is" ("Il est"). Ce que Brown met au lit en termes académiques et met dans la bouche de son personnage principal hérudit est outrageant, et il le fait sonner comme une vérité historique.

Un groupe de documents ancients championné par les personnage de Brown comme contenant "les tous premiers régistres Chrétiens" (245) et "évangiles non-modifiés" (248) est Les Parchemins de la Mer Mortes (234, 245). Il mé-date leur découverte (pendant les années 1950) et suggère qu'ils ont inclus les évangiles dont Constantin aurait attenté d'éradiquer de l'histoire (234). Le fait établi est qu'il n'y a aucun matériel Nouveau Testamentaire parmis les Parchemins de la Mer Morte; touts les bois (les rouleaux) (les parchemins) étaient écrit avant Christ. Tant pis pour des descriptions exactes de tous les documents. (1)!

Léonardo Da Vinci et Le Dernier Souper (La Sainte Scène)

Ce qui est central à l'histoire du 'Le Code Da Vinci' (The Da Vinci Code) est la peinture de Léonordo Da Vinci The Last Supper (Le Dernier Souper) (La Sainte Scène). Ce n'est pas une peinture sur un canvas (comme la Mona Lisa). La Sainte Scène recouvre un mur dans le rectoire (salle à dîner) du Monastère Dominicain de Santa Maria delle Grazie à Milan, en Italie. Mesurant 15 par 29 pieds, elle ne fut pas de la peinture vrai fresco sur du plâtre trempe où les deux sèche ensemble. Étant connu pour ne pas aimer à être tenu à un horaire, Da Vinci a expérimenté avec une nouvelle technique qui lui permetterait de travailler à son propre pas. Il a peinturé le plâtre trempe avec un primer de blomb-blanc et a plutard ensuite ajouté de la couleur (Bertelli 1983: 678). Étant commissionné par le Duke de Milan, il a passé un certain trois ans sur le projet, entre 1495 et 1497.

Un thème de la Renaissance souvent peinturé, la Sainte-Cène de Da Vinci n'était comme aune autre de son temps. Bien qu'argumentablement le plus grand example de la perspective à un point jamais créée, tous les
éléments de la peinture dirigent l'attention au point-milieu sur la tête du Christ. La Sainte-Cène de la Renaissance a dépeinte les disciples comme s'ils étaient en pose, tandis que le génie de l'oeuvre de Da Vinci était le dépeint du moment quand Jésus annonce, "l'un de vous me trahira" (Mt 26:21). À ce moment même, seulement Jésus et Judas s'assoient immobiles tandis que tous les autres réagissent à la nouvelle.

Avec 13 personnes situées le long d'un côter de la table, Jésus est voyant (l'on le remarque) seule au centre (Bertelli 1983: 680). Traditionnellement, chaque personne est identifiée. Les disciples sont placés par quatre groupes de trois. À partir de la gauche à droite ils sont identifiés comme étant Barthélémieuw, Jacques le Moindre (d'alphaeus), André, Judas, Pierre, Jean, Jésus, Thoma (le doigt levé), Jacques l'Ancien (de Zébédée), Philippe, Simon le Canaanite-le Zélote, Jude, Matthieu (Constantio 2004: 72).

Celà a été d'une convention artistique conventionnelle d'utiliser certains éléments pour identifier des personnes spécifiques à la table. Jésus est toujours indiquer, et ainsi que Judas et parfois Jean. Dans la Sainte-Cène de Da Vinci, Jésus est seul au centre et Jean, a été dépeint apparemment comme le plus jeune des disciples, est à sa droite. La Bible place Jean près de Jésus et se penchant vers lui (Jn13: 23-25), une description habituelle de Jean dans les cènes du Dernier Souper (Bertelli 1983: 680). Jean parraît plus jeune que tous les autres à la table, aux cheveux longs et n'ayant pas de barbe. Tandis que la Bible ne mentionne pas la jeunesse de Jean (mais celle-ci est possiblement insinuée dans Jn20: 2-6), l'histoire de l'église suggère que Jean était le plus jeune apôtre. Da Vinci dépeint Pierre comme faisant signe à Jean de demander à Jésus qui est le traitre (Jn13: 24).

Judas, demeurant immobile à la table, est aussi vu tenant le sac (Jn12:6; 13:29). Le sac telque mentionné dans l'Évangile de Jean suggère que Judas était le trésorier du groupe et celà a été prèsqu'une marque universel de Judas dans les représentation de la Sainte-Cène (Fackler 2000: 23). Tandis que n'apparaîssant pas aujourd'hui sur la muralle de la Sainte-Cène de Da Vinci, une autre marque artistique subtile pour Judas fut dépeinte sur une copie faite sur un large canvas par un étudiant de Da Vinci, Marco di Omagiono. Près du bras de Judas, sur la table, où il tiend le sac d'argent sur la table, est un vaisseau empillé, contenant du sel. Le sel a été un symbol Biblique pour l'alliance (Lv2: 13; 2 Chr13: 5) et aurait pû être un autre indicateur de Judas (Fackler 2000: 23-4).

Immédiatement acclamée comme étant un chef-d'oeuvre, plusieurs copies à larges échelles de sa Sainte-Scène furent aussi faites au courant de sa vie, y incluant les deux dernières par ses élèves (Bertelli 1983: 679). Méme aujourd'hui, elle continue d'être l'une des plus célèbre et l'une des plus copiées d'entre les peintures de l'histoire. Étonnament, elle est l'une d'entre seulement quelqu'unes des peintures de Da Vinci que nous avons, y incluant la 21 par 28 pouce Mona Lisa.

Malheureusement, la technique de peinture s'est avérée être un désastre. Audedans de deux décinies, tandis

que Da Vinci vivant encore, la peinture commença à s'éplûcher et à s'écailler. Croyant que la peinture avait déjà

été perdue en 1652, les moines ont élargi l'entrée-de-porte, coupant dans le centre du mur y effaçant ainsi les pieds de Jésus endessous de la table (Bertelli 1983: 670). Éventuellement remplie, le portique peut encore être vu aujoud'hui.

Pour le rapport, la détoriation pourrait ne pas être la faute de Da Vinci. Il était un homme très prévoyant et les raisons spécifiques pour la ruine de la peinture sont pas encore claire de nos jours. Mais il y a preuve que c'étaient des années sèches, sans neige sur les Alpes. La nature aurait pû avoir plus à faire avec celà que les défaillances de la part de Da Vinci (Bertelli 1983: 679).

En 1796, les troupes de Napoléon ont utilisé le refectoire en tant qu'une étable et une armoirie; les soldats garrochèrent des roches aux déciples et ont grimpé des échelles pour y arracher leurs yeux (Bertelli 1983: 680).

Pendant la Seconde Guerre Mondiale (WWII), les bombes des alliés ont détruite le rectoire, y arrivant seulement audedans d'une verge de près de détruire la peinture sur le mur.

La première de six projets de restoration sur la Sainte-Cène débutèrent en 1652 (Bertelli 1983: 674).

Malheureusement, la plus grande partie d'entre eux firent plus de domage à l'originelle que d'autre chose. C'est seulement avec la dernière des restorations qu'a été employé la technologie moderne afin de préserver la peinture. Travaillant de 1979 au mois de mai 1999, celà a pris cinque fois plus de temps de la restaurer que ça prit Da Vinci pour la peinturer en premier lieu! Aujourd'hui, protègée par un système de filtration d'air sophistiqué, des groupes de 25 personnes sont permis de la visioner pendant 15 minutes. Deux histoires aditionnelles et intérêssantes de la Sainte-Cène de Da Vinci sont la main et un "couteau" que l'on ne peut pas voir clairement.

Lorsqu'apparaîssant comme étant associée avec Pierre, elle ne semble pas s'ajuster anatomiquement à aucune des figures sur la table. Celà est inhabituel, puisque Da Vinci était tellement intéressé dans la perspective
précise de corps humain.

Une autre histoire célèbre à propos de la Sainte-Cène de Da Vinci est l'histoire à propos du model qui s'est assis pour les deux, Jésus et Judas. Le dernier visage à peinturer fut Judas. Da Vinci a utilisé à contre-coeur le même homme qu'il avait employé pour Jésus entre 10 à 20 années plutôt (bien que la plus grande partie des érudits croient que la peinture fut été complètée en trois ans). Les années qui s'écoulèrent avaient été difficile pour cet homme et celui dont le visage en sueur avait été déjà employé pour représenter le Sauveur et qui était maintenant endurci et tordu assez pour représenter Judas. Malheureusement il n'y a pas d'évidence historique derrière l'histoire. Nous ne savons rien au sujet d'aucuns des models de Da vinci. Celà est apparemment seulement une légende urbaine, comme l'est la plus grande partie "The Da Vinci Code" ("Le Code de Da Vinci").

Dan Brown et Marie Magdaleine

Mai Brwon vois La Sainte-Cène sou une lumière entièrement différente. Jean, assis à côter de Jésus, n'est pas Jean. En fait, il n'est meme pas un homme. "Le disciple dont Jésus aimait" dans l'Évangile de Jean (Jn13: 23; 19:26; 20:2; 21:7, 20) est en fait Marie Magdaleine! Maintenant pour être équitable, Brown n'a pas inventé celà de lui-même; celà a été avancé par un nombre d'auteurs et quelques érudits. Basé sur le groupe de textes dont Brwon s'est référer à en tant que "les plus anciens rapports Chrétiens" (245) et "évangiles inaltérées" (248), certains érudits ont suggéré que Marie avait une relation spéciale avec Jésus, et qu'elle était le "l'apôtre bien-aimé" et que l'auteur de l'évangil de Jean. Brwon cite deux de plus connus de ces ancients textes, les Évangiles de Philippe et Marie Magdaleine en tant que faits historiques (245047). Celà fait Marie Magdeleine vraiment celui au cheveux longs assi à côter de Jésus au dernier souper de Da Vinci, La Sainte-Cène)--la clé au code de Da Vinci!

Une preuve supplémentaire de cette thèse est la forme du "V" que Marie/Jean fait avec Jésus sur la peinture de Da Vinci. Celà, le personnage de Brown souligne, est l'ancien symbol pour le genre féminin (244). En plus, Marie/Jean et Jésus aident à former la lettre "M" tandisqu'ils sont assis à la table. Le "M" est le symbole pour Marie (245) et celà satisfait les choses en plus grande partie tant qu'au personnage du livre.

Historiquement, nous savons que les pères de l'église (deuxième et troisième siècles) ont écrit contre une groupe de textes qui ont enseigné des choses héritiques à propos de Jésus. Ce qui est mentionné frèquemment comme étant une question immidiate qu'ils avaient besoin d'adresser, les copies des ces vrais document qui furent découvertes en 1945 à Nag Hammadi en Égypte (234). Qui sont connu aujourd'hui comme étant les Évangiles Gnostiques (du mot Grèc ginosko "de connnaître" et la base de notre mot Anglais agnostique "not/know", "pas/savoir", en français). Brown n'a pas utiliser cette désignation dans le livre. Peut-être pensa-t-il que les gens avaient entendu parlé d'elles et qu'il voulait ses textes sonnent comme étant plus "secrèts". De toute façon, ces textes furent condamnés par les pères de l'église parce qu'ils enseignent des choses contraires à la vérité révélée.

Mais Brown, ses personnages et Da Vinci croient qu'ils ont la vrai vérité et que le reste de nous-autres l'avons eu toute mal pendant des siècles (ce fut l'école de pensée des ancients Gnostiques -- nous savons quelque chose dont vous ne savez pas!). Marie, le "bien-aimé disciple," a éventuellement marié Jésus, ils ont eu des enfants et leur lignée famille continue jusqu'à ce jour. Marie représente le féminin sacré et en tant que l'épouse de Jésus, c'est elle-même le "Holy Grail" tenant et transmettant sa lignée royale. Marie représente la féminité sacrée retrouvée dans toutes les anciennes religions qui ont été suprpimées par l'église pendant des siècles. Celà est le message dont Da Vinci transmis à la postérité en code dans la Sainte-Cène.

Conclusion

Tandisque je ne suis pas en accord avec le focu et les conclusions des hérudits travaillant avec ces anciens textes, avance l'auteur, je respecte le travail académique qu'ils sont entrain de faire et je sais que nous pouvons apprendre à partire de leur recherches. Je suis aussi en accord que Dan Brown à tous les droits d'écrire n'importe quoi qu'il veut à propos d'idées folles qu'il choisies et de la appeller des faits - spéciallement parce que ce livre n'est un roman et une pure fiction! Et c'est un pays libre et vous pouvez croire n'importe quoi que vous voulez.

Basé sur "The Da Vinci Code" (Le Code Da Vinci), je dirais que Dan Brown est un auteur pas mal bon. Je ne peu que seulement espérer d'écrire cet article aussi bien qu'il a écrit son livre. Mais son livre embrasse en fait un agenda. C'est une vision mondiale dont je ne suis pas d'accord avec, mais il est libre de le dire et, bien entendu, je suis libre de le critiquer. Il se peut qu'il y croit ou n'y croit pas en ce qu'il a écrit. De toutes façons, j'imagine qu'il est entrain de rire tout le long jusqu'à la banque.


Bibliographie de l'auteur de cet article

Bertelli, Carlo 1983 Restoration Reveals the Last Supper. National Geographic 164.5 : 664-85.

Bock, Darrell L. 2004 Breaking the Da Vinci Code. Nashville: Thomas Nelson.

Brown, Dan 2003 The Da Vinci Code. New York: Doubleday.

Costantino, Maria 2004 Leonardo. London: PRC Publishing Ltd.

Fackler, Gene 2000 The Last Supper in Art and History. Bible and Spade 13: 23-28.

LaHaye, Tim 2003 Babylon Rising. New York: Bantam Books.

Jean

Jean

Ecrit le 21 juil.04, 07:29

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Jean

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Ecrit le 21 juil.04, 07:47

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Jean

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Ecrit le 21 juil.04, 08:03

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Jean

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Ecrit le 21 juil.04, 08:14

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Nickie

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Ecrit le 22 juil.04, 10:26

Message par Nickie »

[quote="Jean"]Je te conseil d'aller voir l'oeuvre Da vinci, surtout le tableau de la scène, et tu va voir que ce n'est pas jean mais marie-madeleine et je tient a te préciser que dans de très vieux évangiles apocryphe marie-madeleine est vraiment la compagne de Jésus...

Faut faire la lecture soi-même d'un livre avant de ce fier a une critique partial... (moi j'ai fait la lecture de ce livre)



Que tu es intéressant, Jean. Et que tu es cultivé en matière de spiritualité. Un vrai de vrai, "hérudits", va!!! :wink:

Je te remercie de me conceiller d'aller voir la toile elle-même. Si je n'ai pas pris le temps de lire ce livre là, The Da Vinci Code moi-même, c'est que ça déjà très longtemps que je suis exposé à la matière en question, mon ami. Donc je ne soumet pas un article sans en matriser le contexte.

Par exemple, je n'ai non seulement pas lui ce "ROMAN", mais je n'ai pas vu la toile de Da Vinci. Mai parcontre, je l'ai eu sous les eux pendant toute mon éducation et ma formation et ma vie en tant que Catholique Romain.

Deplus, je l'ai étudier encore plus longuement que toi, j'en suis, dirais-je une experte, mon cher :oops: , puisque j'en ai tissé moi-même et à la main une large toile. Et sur cette toile, il y avait bel et bien la physionomie masculine.

Parcontre, j'ajouterais ici, que lors de mon temps passé chez les mormons, c'était chose convenu que Marie-Madeleine a épousé Jésus.

Jean

Jean

Ecrit le 22 juil.04, 10:41

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Nickie

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Ecrit le 22 juil.04, 11:10

Message par Nickie »

Mon très chèr Jean,

Avec tout le respect que je te dois, tu as un bon sens de l'humour, en passant!!

La photo de la peinture de Léonardo da Vinci, telle que retrouvé sur le musé de l'internet, est tellement effacée que ça serait d'extrapoler à l'infinie étername d'y observer quelque ce soit, soit mâle ou femelle.

Parcontre, pour ne pas être de mauvais jeux, si s'aurait été une femme après tout, il est à noter que dans les civilisations et les cultures dans lesquelles la femme opprimée et oppressée se promenait souvent sous de pseudonyme masculin, et ce faisait passer pour un jeune homme en devenir.


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Patricius

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Message par Patricius »

[quote="cocotte"][quote="Jean"]Je te conseil d'aller voir l'oeuvre Da vinci, surtout le tableau de la scène, et tu va voir que ce n'est pas jean mais marie-madeleine et je tient a te préciser que dans de très vieux évangiles apocryphe marie-madeleine est vraiment la compagne de Jésus...

Une petite précision: il s'agit des Evangiles apostoliques et non apocryphes. Les Apocryphes sont pour l'essentielles de belles métaphores et allégories autour de la vie de Jésus et il est quasiment impossible d'en sortir de quelconques éléments historiques.

En revanche les Evangiles apostoliques (bien que sujètes à controverse quant à leur contenu et écartées par le Concile de Nicée) sont, d'une part, chargées d'une symbolique très forte et, d'autre part, la preuve qu'à l'émergence du christianisme il y a eu des "guerres" de succession et des "Antéchrist" (il ne s'agit pas du diable mais de "faux prophètes").
Il n'y a pas eu une Eglise puis des scissions à travers l'histoire; mais dès les premières années après la mort de Jesus, il ya eu plusieurs Eglises avant que les Catholiques ne prennent "le-dessus" !

En quelques mots, les Evangiles apostoliques permettent d'identifier une querelle sur l'héritage de l'Eglise de Jesus et même sur l'interprétation des paroles du Seigneur (eh oui dès le début) entre plusieurs "chapelles". L'un des plus bruyant, fut sans doute Paul (depuis canonisé) qui fonda l'Eglise d'antioch et qui permit la conversion des peuples païens (alors que Jesus l'avait interdit).
Retenons que Paul appelaient les apôtres "faux-frères" dans "son" évangile.
Quant à "Marie-Madeleine", il n'est pas "grotesque" d'émettre l'hypothèse qu'elle ait été mélée à cette "guerre" des Chefs.
Quoiqu'il en soit, Elle a eu la bonne idée de venir se réfugier, par la suite, ... en Ardèche ! :lol:


Voili, voilou, c'est tout :lol:

Pasteur Patrick

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Ecrit le 25 déc.04, 03:33

Message par Pasteur Patrick »

Eh bien voiulà, c'estfait, je viens d'acheter le Da Vinci Code en français de Dan Brown traduit pas daniel roche et azussi Le Code Da Vinci décrypté de Simon Cox...
Je me ferai mon opinion dès que j'aurai terminé et espère que ce n'est pas un livre qui va me faire désespérer du genre humain! J'espère qu'il vaut la peine de le lire et que je ne succombe pas à une "mode" puisqu'on m'en a tellement vanté les mérites et que je lis des citations ou des références faitesà ce livre.

Ciao

françois

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Ecrit le 04 janv.05, 02:24

Message par françois »

Ma critique de « Da Vinci code » en tant que ROMAN est excellente. A tous points de vue.

Roman historique n’est pas vérité historique !

L’auteur possède des qualités certaines en tant qu’écrivain. Il s’agit vraiment d’un artiste en la matière et son livre est un chef-d’œuvre !

Dan Brown capte l’attention du lecteur qui ne peut faire autrement que de rentrer dans le récit avec passion pour suivre l’épopée policière, d’espionnage, historique dans un suspens excessivement bien tenu.

Pour le travail de recherche et d’expertise de l’auteur, si certains ne le qualifient pas de parfait, il en est toutefois proche, de la perfection.

L’environnement du roman est d’autant plus fascinant pour l’amateur d’art, davantage encore pour le Chrétien (que je qualifierais de) « critique » . . . que je suis.

Quant à ma passion pour la littérature, elle est comblée.

Le but de ce livre n’est pas à confondre avec son sujet ! Il ne s’agit pas de livrer au monde, une vérité usurpée et cachée !

S’il veut faire part d’une thèse qu’il soutient, un auteur ne choisit pas le roman mais adopte une autre forme de littérature.

Les convictions personnelles de l’auteur ne sont pas à rechercher dans le cadre d’un roman.

Ce roman devrait chatouiller la curiosité du lecteur qui se sent concerné, de par sa Foi, sa culture ou tout simplement de par un intérêt quelconque. Et l’inviter à étudier ou se documenter plus sérieusement et de manière plus approfondie, sur certains sujets y traités.

Là ou ma critique devient plus sévère, c’est que je pense que pour des raisons de MARKETING (donc de profit, d’argent), on n’insiste pas assez sur le fait qu’il s’agit d’un roman et on laisse une partie, peut-être moins avertie du lectorat, en situation de questionnement réel quant au fond du sujet traité.

Il est certain que la politique de marketing suivie pour la sortie de ce livre est nettement plus « payante » qu’une politique d’avertissement plus claire et précise !

Après la réussite COMMERCIALE de ce bouquin, combien d’exemplaires du prochain livre de Brown sont-ils « déjà vendus », pensez-vous ?

Quant au sujet traité, devrait-il y avoir des sujets tabous ?

Je ne le pense pas.

Au contraire, traiter de certains sujets, a le bénéfice de faire réfléchir certains qui seraient prêts à suivre aveuglément n’importe quel doctrine, ou adopter certaines thèses, pour des raison culturelle ou autres. Sans réfléchir davantage.

Mais il s’agit là d’une arme à double tranchant, car ces mêmes personnes sont peut-être aussi capables de se laisser endoctriner par n’importe quelle thèse, démonstration ou ineptie leur présentée à contrario.

IL NE FAUT JAMAIS PRENDRE POUR COMPTANT, TOUT CE QU’ON ENTEND, TOUT CE QU’ON VOIT OU TOUT CE QU’ON LIT !

Que Dieu nous garde et nous éclaire par son Esprit-Saint afin que nous ayons le discernement nécessaire pour faire le tri dans tout ce qui se présente à nous.

Une donnée peut être analysée d’une manière spécifique par rapport à un fait historique ou artistique et interprété de manières différentes (sur l’aspect spirituel par exemple).

Si l’on prend l’exemple de l’œuvre de Vinci, « le dernier repas ».

Le tableau est bien réel. Mais quant à son interprétation, si certains ne voyaient pas les particularités précisées dans le contexte de ce roman et qu’ils les découvrent aujourd’hui, cela ne veut pas dire qu’ EFFECTIVEMENT, Vinci a codé son œuvre !

Comme le soutiennent certains autres, il s’agit peut-être aussi tout simplement d’une plaisanterie, d’un pied de nez à l’Eglise catholique romaine par Vinci !
En supposant que Vinci ait bien été le grand maître du Prieuré de Sion. Il n’en a pas pour autant nécessairement codé ses œuvres !

Pasteur Patrick

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Ecrit le 04 janv.05, 04:41

Message par Pasteur Patrick »

Salut,

J'ai terminé ce livre depuis avant-hier. Et ce livre m'a passionné.
Comme tu le dis, c'est un roman avec un fond historique et théologique. Mais la clé est bien à la fin.
Pendant le déroulement du récit, j'ai été assez surpris par cette espèce de théologie de bas étage et cette conception historique peu banale. L'engouement pour lemystère et les code chiffré. C'est la base de son récit bien évidemment. Ceci montre qu'il a été bien entouré par une équipe spécialisée. Je me suis dit, voilà quelqu'un qui a de l'imagination fertile et de bonnes connaissanvce en art, en histoire etc.! Mais pas plus.Il n'y a rien de bien sérieux et on reste bien dans les lois du genre.

Par contre, dire que nous avons là un chef d'oeuvre, j'en suis moins certain... Un chef d'oeuvre, c'est la postérité qui en décidera et pour le moment nous sommes "dans l'événement commecial".

Je peux me tromper ( je ne serais pas le premier, errare humanum est), mais je crois plutôt qu'il s'agit d'un bon roman, sans plus, dont la "chute" est plutôt décevante et tirée par les cheveux.
Ceci étant, dans le cours du récit fictif, on apprend pas mal de choses qui font réfléchir. Mais tout est mélangé, le vrai avec le faux... comme dans tout bon roman de fiction policière.
J'ai passé de bons moments avec ce livre.

françois

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Ecrit le 04 janv.05, 06:07

Message par françois »

A mon avis, il s'agit bien d'un chef d'oeuvre au point de vue des techniques de l'art littéraire.

Pour la suite, si "le code Da Vinci décrypté" de Simon Cox est intéressant, "les secrets du code Da Vinci" de Dan Burstein est encore plus détaillé et précis. Il apporte aussi des réactions très intéressantes de personnes directement concernées par le roman. Très complet.

Pasteur Patrick

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Ecrit le 04 janv.05, 07:19

Message par Pasteur Patrick »

Comme tu l'écris, c'est "ton avis". De là à croire qu'il s'agitd'unchef d'oeuvre, faut laisser à l'oeuvre le temps pour se faire.
rarement on a vu des contemporains comprendre qu'ils avaient affaire à des chef d'oeuvre. Ce sont les générations suivantes qui en décideront, aps nous.
De leur vivant, Bach et Mozart furent méconnus. Pa sl petit génie dans son jeune âge, mais le Mozart devenu inintéressant dès qu'il est devenbu adulte, càd le Grand Mozart. Même chose avec Bach qui est mort misérablement et aveugle, en étant connu des musiciens spécialistes de l'orgue.
Combien de grands écrivains se sont cru de grands auteurs, et aujourd'hui c'est à peine si on se souvient d'eux et si on les lit en dehors de quelques réseaux élitistes de spécialistes !
De grands écrivains ont eattendu le grand âge pour être parfois apprécié.
Aujourd'hui, on affuble n'importe qui de fabueux, de génial là oùil n'y a que bonne écriture et bonne mise en scène ou bons ressorts scéniques.

Tolkien, avec ses Hobbits et le travail gigantesque accompli sur The Lord of the Rings passera la rampe. Dans le même domaine, dira-t-on la même chose pour la geste du petit élève-sorcier Harry Potter, immense succès planétaire qui pourtant a fait redécouvrir la lecture à bien de nos enfants occidentaux et rendu milliardaire une journaliste au chômage ??
Va savoir, petit frère...
Le succès n'est pas gage degénie littéraire. As-tu seulement lu Umberto Ecco pour voir le génie appliqué à l'art ?
Bonne soirée

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