A ce niveau de perception, je suis d'accord.indian1indian1 a écrit :Voila, donc le ciel n'est pas toujours bleu. ni pour les aveugles ni les daltonies... d'ailleurs.
Mais ... en fait si, dans les conditions que j'ai données, de jour et ensoleillé.
La couleur est déterminée par les longueurs d'onde émises (bleu étant très vague et serait plutôt une amplitude) du spectre lumineux, cette onde ne change pas que tu sois aveugle ou daltonien. On a pas besoin de nos yeux pour déterminer la couleur d'un objet. En fait même, on devrait les oublier. Ainsi que la sémantique utilisée qui est imprécise.
Et là on ne parle que du spectre "visible" de la lumière, celui auquel on peut appliquer le concept de couleur tel qu'on peut le percevoir avec nos yeux.
C'est le cas sur terre.indian1indian1 a écrit : Tes deux boules??? ont elle les même diemnsions? même fini de surface? mêmes formes exactemetn? Tu sais les facteurs d'échalle ne sont pas toujours linaire pour tous les phénomènes... la resistance au vent (mécanique des fluides) tu connais?
Mais, on parle de comprendre la force d'attraction d'un corps, ici, pas de la capacité de l'air à la freiner. On ne cherche pas à définir la portance d'un corps dans l'air.
Pour cela, si tu veux faire l'expérience sur terre, tu dois minimiser ou égaliser l'impact de, ici en prenant des objets de même forme, ou annuler, cette force contraire.
Deux boules, une en bois de 1kg de 30 cm de diamètre et une en métal de 100 kg de 50 centimètres de diamètre, par exemple. Fais le test. C'est connu depuis Galilée.
Dans le vide, une plume "tombe" aussi vite qu'une boule de pétanque.
Les objet 'lourds" ne tombent pas plus vite. Pour faire simple.
Tout comme si tu veux calculer la température d'ébullition de l'eau, tu dois le faire dans la même pression atmosphérique. Quand on dit que l'eau boue à 100° C, on devrait ajouter au niveau de la mer, à l'air libre et avec la même pression atmosphérique 1.
Parce qu'en altitude c'est moins. Dans un espace sous pression, comme une cocote, c'est plus.
On peut même augmenter ce seuil en "purifiant" l'eau de l'air et autres poussières qu'elle contient et en ayant un récipient propre sans sites de nucléation, comme des fissures. (endroits où les bulles se forment, comme pour un verre de champagne).
Car tant que tu n'as pas de formation de bulles, tu n'as pas d'ébullition. Théoriquement, il est possible de chauffer l'eau sans jamais la mettre en ébullition.