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L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
Il est plutôt vrai que le Christianisme a pris environ 300 ans a prendre un réel ''envol''
Et environ 300 années plus tard c'est à cause des chrétiens que l'islam a prit naissance:
Çà et là, à travers toute l’Arabie, certaines familles et certains clans n’abandonnaient pas la vague idée du Dieu unique. Ces groupes chérissaient les traditions de Melchizédek, d’Abraham, de Moïse et de Zoroastre. De nombreux centres auraient pu répondre à l’évangile de Jésus, mais les missionnaires chrétiens des pays du désert formaient un groupe austère et inflexible, contrastant avec les missionnaires innovateurs des régions méditerranéennes, qui admettaient des compromis. Si les disciples de Jésus avaient pris plus au sérieux son injonction « d’aller dans le monde entier pour y prêcher l’évangile » et s’ils avaient été plus affables en le prêchant, moins stricts dans les exigences sociales collatérales inventées par eux-mêmes, alors bien des pays, y compris l’Arabie, auraient reçu avec joie le simple évangile du fils du charpentier.
Chrétien de Troyes a écrit :Désespoir, ce genre de discours va de paire avec la nullité actuelle des français. Le judéo-christianisme est riche et son message est profond. surement plus que celui des athés.
YEAH Gay PrideFeminisme LGBTQroldjfgkemkfkfkie. Changement de sexe et dénatalisation YEAH vive l'Occident déchristianisé YEAH vive le POT smoke that shit mannnnn
Y a pas quelqu'un qui peut m'aider à payer des cartes de crédits je me suis laissé emporté par le consumérisme matérialiste ATHÉ aidez moi PLEEAAAAAASSEEEEEEEEe
Je me suis fais avoir par Walmart IKEA et le pèere Noel bon sang!
C'est la main de Dieu qui s'abat sur vous
Je crois qu'on a bien compris ton message chrétien plein de miséricorde.
TU n'as pas à décider comment les AUTRES veulent vivre !
Et tu es hors sujet.
C'est parce que vous êtes des démagogues qui formulez des théories sur des choses que vous ne savez pas. Mais vous allez toujours faire semblant de ne pas comprendre ce que je veux dire parce que vous etes des démagogues.
Vous tentez d'expliquez le christianisme alors qu'il s'explique par lui même. Et comme d'habitude vous allez répondre une bêtise au lieu de cherchez à le comprendre lui-même vous allez essayer d'expliquer par vos théories de défoncés sur le crack les raisons de son expansion
C'est vrai qu'à l'époque, la hiérarchie sociale est figée. Un enfant d'esclave nait esclave, un aristocrate nait aristocrate et aucun philosophe ne remet cet ordre "naturel" en question. Cette société de "castes" est tout à fait normale pour les philosophes de l'époque, qui sont certainement plus écoutés par les gens instruits que par les esclaves de cuisine.
Le message de Paul dit que les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers.
Pas étonnant finalement que le christianisme se répande d'abord dans les couches pauvres de la société. On sait d'ailleurs que ce sont les riches qui vont garder le plus longtemps les rites païens.
Galileo la suite,
Après la consolidation de la souveraineté politique romaine et la propagation du christianisme, les chrétiens se trouvèrent avec un seul Dieu, un grand concept religieux, mais sans empire. Les Gréco-Romains se trouvèrent avec un grand empire, mais sans un Dieu qui puisse de manière satisfaisante servir de concept religieux pour le culte d’un empire et pour son unification spirituelle. Les chrétiens acceptèrent l’empire, et l’empire adopta le christianisme. Les Romains fournirent une unité de gouvernement politique, les Grecs, une unité de culture et d’instruction, et le christianisme, une unité de pensée et de pratique religieuses.
Rome triompha de la tradition du nationalisme par un universalisme impérial. Pour la première fois dans l’histoire, elle rendit possible à différentes races et nations d’accepter, au moins nominalement, une même religion.
Le christianisme gagna la faveur de Rome à un moment de lutte ardente entre les vigoureux enseignements des stoïciens et les promesses de salut du culte des mystères. Le christianisme apporta une consolation reposante et un pouvoir libérateur à un peuple spirituellement affamé, dont le langage ne comportait pas de mot signifiant « désintéressement ».
Le christianisme tira son plus grand pouvoir de la manière dont ses croyants vécurent une vie de service, et même de la manière dont ils moururent pour leur foi durant les premiers temps de persécutions rigoureuses.
L’enseignement concernant l’amour du Christ pour les enfants mit bientôt fin à la pratique généralisée d’exposer à la mort les enfants qui n’étaient pas désirés, et particulièrement les filles.
Les premières formes de culte chrétien furent largement copiées sur celles des synagogues juives, modifiées par le rituel mithriaque. Plus tard, on y ajouta beaucoup d’apparat païen. Les Grecs christianisés, prosélytes du judaïsme, formaient l’ossature de l’Église chrétienne primitive.
Le deuxième siècle après le Christ fut le meilleur temps de toute l’histoire du monde pour qu’une bonne religion puisse progresser dans le monde occidental. Durant le premier siècle, le christianisme s’était préparé, par des luttes et des compromis, à prendre racine et à se répandre rapidement. Le christianisme adopta l’empereur, et plus tard l’empereur adopta le christianisme. C’était une grande époque pour la diffusion d’une nouvelle religion. On jouissait de la liberté religieuse, les voyages étaient universels et la pensée ne subissait pas d’entraves.
L’élan spirituel donné par l’acceptation nominale du christianisme hellénisé atteignit Rome trop tard pour empêcher son déclin moral bien amorcé ou pour compenser sa dégénérescence raciale déjà bien établie et croissante. Cette nouvelle religion était une nécessité culturelle pour la Rome impériale, et il est extrêmement malheureux qu’elle ne soit pas devenue un moyen de salut spirituel dans un sens plus large.
Même une bonne religion ne put sauver un grand empire des résultats certains du manque de participation des individus aux affaires du gouvernement, d’un excès de paternalisme, d’impôts exagérés comportant des abus grossiers dans leur recouvrement, d’un commerce déséquilibré avec le Levant qui drainait l’or, de la folie des plaisirs, de la standardisation romaine, de l’état dégradant où était tenue la femme, de la décadence raciale et de l’esclavage, des calamités physiques et d’une Église d’État qui devint à tel point une institution qu’elle frisa la stérilité spirituelle.
Les conditions n’étaient cependant pas aussi mauvaises à Alexandrie. Les premières écoles conservèrent beaucoup d’enseignements de Jésus, libres de compromis. Pantène enseigna Clément, puis suivit Nathanael aux Indes en proclamant le Christ. Bien que certains idéaux de Jésus aient été sacrifiés pour bâtir le christianisme, il faut constater en toute équité que, vers la fin du deuxième siècle, la quasi-totalité des grands penseurs du monde gréco-romain était devenue chrétienne. Le triomphe approchait de son parachèvement.
Et cet empire romain dura suffisamment longtemps pour assurer la survie du christianisme même après son propre effondrement. Nous avons souvent cherché à imaginer ce qui serait arrivé à Rome et dans le monde si l’évangile du royaume avait été adopté à la place du christianisme grec.
Saint Glinglin a écrit :L'islam vient du judaïsme et non du christianisme.
En Arabie il y avait des juifs et des chrétiens avant la naissance de l'islam.
Peu de temps après la destruction de Jérusalem, Antioche devint le quartier général du christianisme paulinien, tandis que Philadelphie restait le centre du royaume des cieux abnérien. D’Antioche, la version paulinienne des enseignements de Jésus et à propos de Jésus se répandit dans tout le monde occidental. Partant de Philadelphie, les missionnaires de la version abnérienne du royaume des cieux se répandirent dans toute la Mésopotamie et l’Arabie, jusqu’à l’époque ultérieure où ces émissaires intransigeants des enseignements de Jésus furent débordés par le soudain développement de l’islam. Les disciples d'Abner étaient intransigeants, intolérants et sévères.