florence_yvonne a écrit :j'ai eut une mère carriériste et une nourrice pleine d'amour, j'ai gagné sur tous les tableaux, car j'avais une mère épanouie, autant d'amour que désiré et un exemple vivant qu'une femme peut se réaliser par son travail.
De plus, ma nourrice m'a appris tôt à me prendre en charge et à accepter la responsabilité de mes choix bon ou mauvais, ajoutez à cela une arrière-grand-mère qui vivait avec nous et qui m'a appris le sens des mots amour, respect, tolérance et pardon et vous verrez que la vision de la femme cloîtrée au foyer est obsolete.
quand à la femme qui ose dire que son ménage et ses enfants (quand ils ne sont pas à l'école) suffit à son bonheur, ou elle nous ment, ou (pire) elle se ment.
T'as de la chance parce que c'est ultra rare.
Mais une nourice entretient une relation physique alors tu peux pas comparer avec une bonne du type mercenaire et ta grand mere a compense pour l'absence de ta mere.
Quand a la femme qui se ment, tu voudrais avoir raison mais tu es dans l'erreur la plus totale. Les USA sont plein de "socker mothers" qui sont heureuses. Elle ont des associations et des activites extra menage que les europeenes n'ont pas, les coffee clash, les church activities, elles sont "cub scout" master, surveillantes volontaire dans les ecoles, ide medicale a l'hopital. etc
La femme qui reste a la maison fini par etre nevrosee, c'est sur. Les Americains ont compris ca depuis l'epoque des pionniers.
Les francais n'ont pas le sens du voisinage et de l'entraite.
Quand je suis arrive en Arabie, ca a ete un defile de bonnes femmes qui venaient "faire connaissances", puis ca a ete les "pot luck", les BBQ, les bazar, les cours de macarames, etc. Ma femme n'a pas eu le temps de chomer.