Les Nations Unies avaient nommé un médiateur, le Comte Folke Bernadotte. Dans son premier rapport le Comte Bernadotte écrivait: "Ce serait offenser les principes élémentaires que d’empêcher ces innocentes victimes du conflit de retourner à leur foyer, alors que les immigrants juifs affluent en Pal estine et, de plus, menacent, de façon permanente, de remplacer les réfugiés arabes enracinés dans cette terre depuis des siècles. " Il décrit "le pillage sioniste à grande échelle et la destruction de villages sans nécessité militaire apparente. "Emilio a écrit :
Brave Bernadotte, expert en trahison apparemment : après tout Bernadotte , le vrai, c'est le nom d'un soi disant français traitre qui a commandé la coalition de 1813 contre Napoléon..
Ce rapport (U.N. Document A. 648, p. 14) a été déposé le 16 septembre 1948. Le 17 septembre 1948 le Comte Bernadotte et son assistant français, le Colonel Serot, étaient assassinés dans la partie de Jérusalem occupée par les sionistes.
Source: Sur l’assassinat du Comte Bernadotte, voir le rapport du Général A. Lundstrom (qui se trouvait assis dans la voiture de Bernadotte), rapport adressé, le jour même de l’attentat (17 septembre 1948) aux Nations Unies. Puis le livre publié par ce général pour le 200 anniversaire du crime, L’assassinat du Comte Bernadotte, imprimé à Home (éd. East. A. Fanelli) en 1970, sous le titre: Un tri buto alla memoria del Comte Folke Bernadotte. Le livre de Ralph Hewins: Coitnt Bernadotte, his life and work (Hutchinson, 1948). Et, dans l’hebdomadaire milanais Europa, les aveux de Baruch Nad(cités dans Le Monde du 4 et 5 juillet 1971)