Encore une fois, l'étude de l'ADN est passée sous silence et pourtant c'est une avancée scientifique majeure.
En étudiant l'ADN d'un individu on peut voir quels gènes sont récents, lesquels sont anciens, les mutations, les gènes qui ne sont plus exprimés, tout ce qui s'est passé, génétiquement, reste imprimé.
Du coup, si un ancètre a eu une modification génétique, toute sa descendance en garde une trace.
Il ne s'agit pas pour le coup de ressemblance, de points communs mais de défauts à des endroits précis qui permettent de dire avec certitude que tel animal est lié génétiquement à tel autre, ayant un lointain ancètre commun.
Par exemple, on sait avec certitude que tous les mammifères placentaires ont un même ancètre puisque l'apparition du placenta est dû à un accident génétique par action d'un rétrovirus endogène.
La complexité du vivant est, justement, la preuve de cette évolution puisque chaque évènement génétique amène à une différenciation mineure ou majeure.
Sinon, pourquoi un créateur aurait-il fait des lézards à queue en fouet se reproduisant par parthénogénèse mais où l'acte sexuel entre deux femelles est nécessaire pour lancer le processus reproductif ?
L'explication scientifique est logique, les femelles ont gardé le comportement sexuel différencié bien que n'ayant plus besoin de ça pour se reproduire.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cnemidophorus