L'hérésie de Marie pour reine
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 27 juil.16, 00:14question, est ce que la formule chrétienne aurait pu etre au nom du père (l esprit le logos) de la mère (la matière) et du fils (l'amour) qui peut ainsi se manifester sur terre ?
finalement le coté féminin semble vouloir se frayer un chemin dans les consciences en revenant sous la forme du culte mariale (c'est une supposition) ?
finalement le coté féminin semble vouloir se frayer un chemin dans les consciences en revenant sous la forme du culte mariale (c'est une supposition) ?
Ne pas railler, ne pas déplorer ni maudire, mais comprendre. Baruch Spinoza
- Jean Moulin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 4235
- Enregistré le : 22 févr.08, 10:12
- Localisation : Arles
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 28 juil.16, 22:09Quel rapport avec une (éventuelle) contradiction ? Ce que tu appelle le "recrutement" ne s'est pas fait en un unique endroit !Saint Glinglin a écrit :D'ailleurs le recrutement des premiers disciples selon Jean est complémentaire du recrutement selon les Synoptiques, le Jourdain étant à cent mètres de la mer de Galilée comme chacun sait...
- Coeur de Loi
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 10898
- Enregistré le : 25 avr.10, 18:59
- Localisation : France
-
Contact :
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 28 juil.16, 23:20Cette infame hérésie vise à mettre un nouvel intermédiaire, hors seul Jésus est l'intermédiaire pour aller vers Dieu. Il n'y a pas d'autre intermédiaire, quelqu'il soit.
1 Timothée 2.5 :
Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme,
---
Un vrai chrétien n'écoute que le Christ et les explication des apotres de la Bible.
1 Timothée 2.5 :
Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme,
---
Un vrai chrétien n'écoute que le Christ et les explication des apotres de la Bible.
La vérité = la réalité
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 29 juil.16, 01:54On est toujours l hérétique de quelqu' un ☺
Ne pas railler, ne pas déplorer ni maudire, mais comprendre. Baruch Spinoza
- Jean Moulin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 4235
- Enregistré le : 22 févr.08, 10:12
- Localisation : Arles
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 30 juil.16, 06:19Mais ce qui est grave, c'est lorsqu'on est l'hérétique de la Bible.komyo a écrit :On est toujours l hérétique de quelqu' un ☺
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 30 juil.16, 06:43Ou du sutra du lotus, ou du coran, ou du tenant d'un système politique, pour résumer quand on va a l'encontre de l'idéologie de quelqu'un qui chéri son dogme. Quand en plus il est un peu dérangé comme c'est le cas des islamistes radicalisés...



Ne pas railler, ne pas déplorer ni maudire, mais comprendre. Baruch Spinoza
- Jean Moulin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 4235
- Enregistré le : 22 févr.08, 10:12
- Localisation : Arles
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 31 juil.16, 06:03Non, ce qui est vraiment grave concernant l'hérésie, c'est la vraie hérésie, l'hérésie vis à vis de la Bible, donc vis à vis de Dieu.komyo a écrit :Ou du sutra du lotus, ou du coran, ou du tenant d'un système politique, pour résumer quand on va a l'encontre de l'idéologie de quelqu'un qui chéri son dogme. Quand en plus il est un peu dérangé comme c'est le cas des islamistes radicalisés...![]()
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 01 août16, 01:32Dans le mesure ou je pense que la Bible a été écrite par des gens plus ou moins inspirées, et qu'elle est étudiée, décortiquée et expliquée par des gens qui le sont tout autant. Cette définition de qui est hérétique a vos yeux, n'a de sens que pour ceux que j'ai cité plus haut ! 

Ne pas railler, ne pas déplorer ni maudire, mais comprendre. Baruch Spinoza
- Jean Moulin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 4235
- Enregistré le : 22 févr.08, 10:12
- Localisation : Arles
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 01 août16, 04:45Mouais, autrement dit, ta conception de l'hérésie est très vague, et ta croyance en l'inspiration de la Bible très floue. Ceci explique cela.komyo a écrit :Dans le mesure ou je pense que la Bible a été écrite par des gens plus ou moins inspirées, et qu'elle est étudiée, décortiquée et expliquée par des gens qui le sont tout autant. Cette définition de qui est hérétique a vos yeux, n'a de sens que pour ceux que j'ai cité plus haut !
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 15 août16, 03:04lu cette intéressante contribution en ce jour de l'assomption !
http://fr.aleteia.org/2016/08/14/le-sen ... ssomption/
Le 15 août, d’une certaine manière, c’est sacré : jour chômé, fête de l’été à son zénith. En dehors du fait que c’est dans le calendrier une agréable ponctuation que personne ne remet sérieusement en cause, la justification en échappe aux radars médiatiques. Il sera, dans le meilleur des cas, mentionné en passant que les catholiques célèbrent l’Assomption de la Vierge Marie. Or c’est plus hermétique que Noël – où chacun sait tout de même qu’il s’agit de la naissance de Jésus –, que Pâques – pour sa Résurrection –, voire que la Pentecôte – en mémoire du don de l’Esprit Saint à ses disciples.
Il y a d’abord, bien sûr, que l’Assomption n’a été proclamée comme dogme qu’en 1950 (bien que nul ne conteste qu’elle a été crue depuis les premiers siècles du christianisme) et qu’on la distingue souvent mal de l’Immaculée Conception (fêtée à un moment moins favorable de l’année, le 8 décembre, et « officialisée » à peine plus tôt, en 1854). En cherchant un peu, on trouve : on n’a jamais cherché le tombeau de la Mère de Jésus parce qu’à la fin de sa vie terrestre, elle n’est pas morte, mais s’est endormie et a été « élevée au ciel » (c’est l’Assomption, aussi nommée « Dormition » en Orient). Et c’est l’aboutissement de ce que les retombées de la déchéance d’Adam et Ève (la séparation d’avec Dieu, donc la propension à pécher et la mort) lui avaient été épargnées dès le sein de sa mère Anne (c’est l’Immaculée Conception), afin que soit pure (c’est-à-dire sainte) celle en qui le Fils de Dieu prendrait chair.
Des cathos peu mariolâtres
Tout cela se tient parfaitement. Mais au-delà de cette logique, évidemment un peu raide pour qui regarde toutes ces histoires résolument de l’extérieur, force est de constater que le culte de la Sainte Vierge est désormais marginalisé dans la culture contemporaine – ou du moins dans les images que celle-ci se donne d’elle-même. Lourdes a beau continuer d’attirer des foules et les autres sanctuaires mariaux de faire le plein, ce n’est pas des événements qui méritent qu’on en parle et encore moins qu’on s’interroge doctement en affolant les populations.
Une part des catholiques porte une part de responsabilité dans ce refoulement, dans la mesure où la Vierge est réduite à la portion congrue dans leur comportement et leur discours. Ils ont l’impression que l’attention portée à la Mère semble parfois se fixer sur elle au point d’occulter que c’est au Fils qu’il faut s’unir. De plus, les dévotions mariales sont surtout formelles et paraissent naïvement superficielles. Tout cela peut avoir un charme vieillot qui n’est pas sans attrait par les temps qui courent. Cependant, la récitation du chapelet et les pèlerinages à n’importe quelle Notre-Dame locale, mais réputée, incitent peu à lire et méditer les Écritures, comme s’applique désormais à le faire la théologie et comme la spiritualité contemporaine y encourage (ce qui concerne Marie est relativement mince, quoique décisif).
La signification du culte marial
Pour se convaincre qu’il s’agit là d’une étroitesse non seulement de la piété, mais encore de l’intelligence de la foi et de l’intelligence tout court, il suffit de se reporter au livre d’un des tout meilleurs théologiens français du XXe siècle, que l’on est en train de redécouvrir : le P. Louis Bouyer (1913-2004) – né protestant et donc rebelle à toute « mariolâtrie », converti au catholicisme et devenu prêtre de l’Oratoire, dont les Mémoires, parus en 2014 au Cerf, ont déjà été réimprimés. Le livre en question a un titre plutôt ésotérique : Le Trône de la Sagesse. Il a été publié en 1957, mais réédité au Cerf en 2009 (on peut donc se le procurer sans peine). Le sous-titre est significatif : Essai sur la signification du culte marial.
Il y est expliqué dès les premières pages que le prototype de l’humanité telle que Dieu notre Père la désire dans son amour n’est pas le Christ, son Fils éternel fait homme dans l’histoire, mais sa Mère, celle dont il a pris la chair, qui y a librement consenti et dont le « oui » demeure l’exemple de référence et comme la matrice de toute foi – ce qui fait d’elle spirituellement la Mère de tous les croyants. Exonérée la première du péché et de la mort, elle ne cesse de nous inviter à faire ce qu’elle a elle-même fait et conseillé aux serviteurs de la noce de Cana : « Faites tout ce qu’il vous dira » (Jean 2, 5). Et non contente de nous y encourager, elle nous prend comme les frères et sœurs adoptifs de son Fils, ainsi qu’il le lui a demandé sur la Croix à travers son disciple bien-aimé (Jean 19, 28-27), et elle ne cesse de nous accompagner comme une mère n’abandonne jamais ses enfants.
Regarder la Vierge pour découvrir à quoi nous sommes appelés
L’Assomption ne nous redit donc pas simplement que Marie est montée « au ciel », mais qu’elle n’y reste pas assoupie dans une béate inactivité. Son écoute de son Fils, « en agonie jusqu’à la fin des temps » (selon l’intuition de Blaise Pascal), demeure le modèle que non seulement elle nous propose, mais encore qu’elle désire et prie que nous soit donné la grâce de suivre. Et notre espérance, c’est son destin, qui ne se limite pas à trouver le bonheur auprès de Dieu, mais d’amener notre prochain à l’accueillir.
Décidément, le culte de la Vierge Marie n’est pas un accessoire folklorique ni une tradition marginale. Ce n’est pas un parmi d’autres, mais le moyen qui nous est donné de comprendre pleinement ce que nous sommes et notre vocation en tant qu’êtres humains qui avons besoin d’un Père et d’une Mère dans les cieux. Et s’il entre là-dedans une part de sentimentalité, voire de naïveté puérile, tant mieux ! Réjouissons-nous, car cela prouve que nous ne sommes pas des idéologues desséchés, et c’est aux enfants et aux simples d’esprit que le Royaume est promis (Matthieu 18, 1-5) – à ceux qui sentent qu’en Marie, la Sagesse divine a le trône qui la rend visible et où même les savants et autres myopes qui se prennent pour des aigles peuvent la reconnaître sans devenir idiots, bien au contraire.
http://fr.aleteia.org/2016/08/14/le-sen ... ssomption/
Le 15 août, d’une certaine manière, c’est sacré : jour chômé, fête de l’été à son zénith. En dehors du fait que c’est dans le calendrier une agréable ponctuation que personne ne remet sérieusement en cause, la justification en échappe aux radars médiatiques. Il sera, dans le meilleur des cas, mentionné en passant que les catholiques célèbrent l’Assomption de la Vierge Marie. Or c’est plus hermétique que Noël – où chacun sait tout de même qu’il s’agit de la naissance de Jésus –, que Pâques – pour sa Résurrection –, voire que la Pentecôte – en mémoire du don de l’Esprit Saint à ses disciples.
Il y a d’abord, bien sûr, que l’Assomption n’a été proclamée comme dogme qu’en 1950 (bien que nul ne conteste qu’elle a été crue depuis les premiers siècles du christianisme) et qu’on la distingue souvent mal de l’Immaculée Conception (fêtée à un moment moins favorable de l’année, le 8 décembre, et « officialisée » à peine plus tôt, en 1854). En cherchant un peu, on trouve : on n’a jamais cherché le tombeau de la Mère de Jésus parce qu’à la fin de sa vie terrestre, elle n’est pas morte, mais s’est endormie et a été « élevée au ciel » (c’est l’Assomption, aussi nommée « Dormition » en Orient). Et c’est l’aboutissement de ce que les retombées de la déchéance d’Adam et Ève (la séparation d’avec Dieu, donc la propension à pécher et la mort) lui avaient été épargnées dès le sein de sa mère Anne (c’est l’Immaculée Conception), afin que soit pure (c’est-à-dire sainte) celle en qui le Fils de Dieu prendrait chair.
Des cathos peu mariolâtres
Tout cela se tient parfaitement. Mais au-delà de cette logique, évidemment un peu raide pour qui regarde toutes ces histoires résolument de l’extérieur, force est de constater que le culte de la Sainte Vierge est désormais marginalisé dans la culture contemporaine – ou du moins dans les images que celle-ci se donne d’elle-même. Lourdes a beau continuer d’attirer des foules et les autres sanctuaires mariaux de faire le plein, ce n’est pas des événements qui méritent qu’on en parle et encore moins qu’on s’interroge doctement en affolant les populations.
Une part des catholiques porte une part de responsabilité dans ce refoulement, dans la mesure où la Vierge est réduite à la portion congrue dans leur comportement et leur discours. Ils ont l’impression que l’attention portée à la Mère semble parfois se fixer sur elle au point d’occulter que c’est au Fils qu’il faut s’unir. De plus, les dévotions mariales sont surtout formelles et paraissent naïvement superficielles. Tout cela peut avoir un charme vieillot qui n’est pas sans attrait par les temps qui courent. Cependant, la récitation du chapelet et les pèlerinages à n’importe quelle Notre-Dame locale, mais réputée, incitent peu à lire et méditer les Écritures, comme s’applique désormais à le faire la théologie et comme la spiritualité contemporaine y encourage (ce qui concerne Marie est relativement mince, quoique décisif).
La signification du culte marial
Pour se convaincre qu’il s’agit là d’une étroitesse non seulement de la piété, mais encore de l’intelligence de la foi et de l’intelligence tout court, il suffit de se reporter au livre d’un des tout meilleurs théologiens français du XXe siècle, que l’on est en train de redécouvrir : le P. Louis Bouyer (1913-2004) – né protestant et donc rebelle à toute « mariolâtrie », converti au catholicisme et devenu prêtre de l’Oratoire, dont les Mémoires, parus en 2014 au Cerf, ont déjà été réimprimés. Le livre en question a un titre plutôt ésotérique : Le Trône de la Sagesse. Il a été publié en 1957, mais réédité au Cerf en 2009 (on peut donc se le procurer sans peine). Le sous-titre est significatif : Essai sur la signification du culte marial.
Il y est expliqué dès les premières pages que le prototype de l’humanité telle que Dieu notre Père la désire dans son amour n’est pas le Christ, son Fils éternel fait homme dans l’histoire, mais sa Mère, celle dont il a pris la chair, qui y a librement consenti et dont le « oui » demeure l’exemple de référence et comme la matrice de toute foi – ce qui fait d’elle spirituellement la Mère de tous les croyants. Exonérée la première du péché et de la mort, elle ne cesse de nous inviter à faire ce qu’elle a elle-même fait et conseillé aux serviteurs de la noce de Cana : « Faites tout ce qu’il vous dira » (Jean 2, 5). Et non contente de nous y encourager, elle nous prend comme les frères et sœurs adoptifs de son Fils, ainsi qu’il le lui a demandé sur la Croix à travers son disciple bien-aimé (Jean 19, 28-27), et elle ne cesse de nous accompagner comme une mère n’abandonne jamais ses enfants.
Regarder la Vierge pour découvrir à quoi nous sommes appelés
L’Assomption ne nous redit donc pas simplement que Marie est montée « au ciel », mais qu’elle n’y reste pas assoupie dans une béate inactivité. Son écoute de son Fils, « en agonie jusqu’à la fin des temps » (selon l’intuition de Blaise Pascal), demeure le modèle que non seulement elle nous propose, mais encore qu’elle désire et prie que nous soit donné la grâce de suivre. Et notre espérance, c’est son destin, qui ne se limite pas à trouver le bonheur auprès de Dieu, mais d’amener notre prochain à l’accueillir.
Décidément, le culte de la Vierge Marie n’est pas un accessoire folklorique ni une tradition marginale. Ce n’est pas un parmi d’autres, mais le moyen qui nous est donné de comprendre pleinement ce que nous sommes et notre vocation en tant qu’êtres humains qui avons besoin d’un Père et d’une Mère dans les cieux. Et s’il entre là-dedans une part de sentimentalité, voire de naïveté puérile, tant mieux ! Réjouissons-nous, car cela prouve que nous ne sommes pas des idéologues desséchés, et c’est aux enfants et aux simples d’esprit que le Royaume est promis (Matthieu 18, 1-5) – à ceux qui sentent qu’en Marie, la Sagesse divine a le trône qui la rend visible et où même les savants et autres myopes qui se prennent pour des aigles peuvent la reconnaître sans devenir idiots, bien au contraire.
Ne pas railler, ne pas déplorer ni maudire, mais comprendre. Baruch Spinoza
- Jean Moulin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 4235
- Enregistré le : 22 févr.08, 10:12
- Localisation : Arles
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 15 août16, 03:45Non, c'est bien pire, c'est une hérésie !komyo a écrit :Décidément, le culte de la Vierge Marie n’est pas un accessoire folklorique ni une tradition marginale.
- Saint Glinglin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 25865
- Enregistré le : 11 févr.13, 22:07
-
Contact :
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 15 août16, 04:00Tiens donc ! Et quel sont les disciples recrutés respectivement d'un côté et de l'autre ?Jean Moulin a écrit :D'ailleurs le recrutement des premiers disciples selon Jean est complémentaire du recrutement selon les Synoptiques, le Jourdain étant à cent mètres de la mer de Galilée comme chacun sait...
Quel rapport avec une (éventuelle) contradiction ? Ce que tu appelle le "recrutement" ne s'est pas fait en un unique endroit !
Jn 1.40 André, frère de Simon Pierre, était l'un des deux qui avaient entendu les paroles de Jean, et qui avaient suivi Jésus.
1.41 Ce fut lui qui rencontra le premier son frère Simon, et il lui dit: Nous avons trouvé le Messie (ce qui signifie Christ).
1.42 Et il le conduisit vers Jésus. Jésus, l'ayant regardé, dit: Tu es Simon, fils de Jonas; tu seras appelé Céphas (ce qui signifie Pierre).
Au Jourdain : André et Simon
Mc 1.16 Comme il passait le long de la mer de Galilée, il vit Simon et André, frère de Simon, qui jetaient un filet dans la mer; car ils étaient pêcheurs.
1.17 Jésus leur dit: Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d'hommes.
1.18 Aussitôt, ils laissèrent leurs filets, et le suivirent.
En Galilée : Simon et André
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 15 août16, 05:13Jean Moulin a écrit :Non, c'est bien pire, c'est une hérésie !
décidément, c'est un slogan que tu aimes bien !

si le culte mariale ouvre le coeur de certains, c'est le principal !

http://fr.aleteia.org/2016/02/15/lave-m ... ux-larmes/
Ne pas railler, ne pas déplorer ni maudire, mais comprendre. Baruch Spinoza
- Saint Glinglin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 25865
- Enregistré le : 11 févr.13, 22:07
-
Contact :
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 15 août16, 05:42Vatican II est passé par là en s'alignant sur le protestantisme.komyo a écrit :Des cathos peu mariolâtres
Tout cela se tient parfaitement. Mais au-delà de cette logique, évidemment un peu raide pour qui regarde toutes ces histoires résolument de l’extérieur, force est de constater que le culte de la Sainte Vierge est désormais marginalisé dans la culture contemporaine – ou du moins dans les images que celle-ci se donne d’elle-même. Lourdes a beau continuer d’attirer des foules et les autres sanctuaires mariaux de faire le plein, ce n’est pas des événements qui méritent qu’on en parle et encore moins qu’on s’interroge doctement en affolant les populations.
Une part des catholiques porte une part de responsabilité dans ce refoulement, dans la mesure où la Vierge est réduite à la portion congrue dans leur comportement et leur discours. Ils ont l’impression que l’attention portée à la Mère semble parfois se fixer sur elle au point d’occulter que c’est au Fils qu’il faut s’unir. De plus, les dévotions mariales sont surtout formelles et paraissent naïvement superficielles. Tout cela peut avoir un charme vieillot qui n’est pas sans attrait par les temps qui courent. Cependant, la récitation du chapelet et les pèlerinages à n’importe quelle Notre-Dame locale, mais réputée, incitent peu à lire et méditer les Écritures, comme s’applique désormais à le faire la théologie et comme la spiritualité contemporaine y encourage (ce qui concerne Marie est relativement mince, quoique décisif).
- Jean Moulin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 4235
- Enregistré le : 22 févr.08, 10:12
- Localisation : Arles
Re: L'hérésie de Marie pour reine
Ecrit le 15 août16, 08:55Jean Moulin a écrit :D'ailleurs le recrutement des premiers disciples selon Jean est complémentaire du recrutement selon les Synoptiques, le Jourdain étant à cent mètres de la mer de Galilée comme chacun sait...
Quel rapport avec une (éventuelle) contradiction ? Ce que tu appelle le "recrutement" ne s'est pas fait en un unique endroit !
Ok. Et les autres ?Saint Glinglin a écrit :Tiens donc ! Et quel sont les disciples recrutés respectivement d'un côté et de l'autre ?
Jn 1.40 André, frère de Simon Pierre, était l'un des deux qui avaient entendu les paroles de Jean, et qui avaient suivi Jésus.
1.41 Ce fut lui qui rencontra le premier son frère Simon, et il lui dit: Nous avons trouvé le Messie (ce qui signifie Christ).
1.42 Et il le conduisit vers Jésus. Jésus, l'ayant regardé, dit: Tu es Simon, fils de Jonas; tu seras appelé Céphas (ce qui signifie Pierre).
Au Jourdain : André et Simon
Mc 1.16 Comme il passait le long de la mer de Galilée, il vit Simon et André, frère de Simon, qui jetaient un filet dans la mer; car ils étaient pêcheurs.
1.17 Jésus leur dit: Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d'hommes.
1.18 Aussitôt, ils laissèrent leurs filets, et le suivirent.
En Galilée : Simon et André
Jean Moulin a écrit :Non, c'est bien pire, c'est une hérésie !
Un slogan ? Non, un fait !komyo a écrit :décidément, c'est un slogan que tu aimes bien !
Vraiment ? Et, il ouvre le cœur de certains vers quoi, sinon vers l'idolâtrie en contradiction directe avec les Ecritures ?komyo a écrit :si le culte mariale ouvre le coeur de certains, c'est le principal !
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 13 Réponses
- 1616 Vues
-
Dernier message par Andrès
-
- 55 Réponses
- 3198 Vues
-
Dernier message par Saint Glinglin
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : SemrushBot et 38 invités