VENT a écrit :Je te retourne ton raisonnement, "tu n'en sais absolument rien si cette mère s'est mise à pigner !"
Contrairement à vous, monsieur le juge "oint", je n'ai rien affirmé de catégorique, j'ai émis une hypothèse comme en témoigne mon utilisation du "si... alors" dans mes propos que vous citez. Voulez-vous que je les mette en évidence pour palier à votre acuité visuelle déficiente ? J'ajouterais que dans la mesure où ni vous, ni moi, ni personne d'autre ne savons réellement ce qu'il s'est passé, l'attitude la plus convenable qu'il aurait été souhaitable de vous voir tenir, c'est le principe de neutralité.
Mais je comprend, monsieur le juge "oint", que la neutralité ne puisse sans doute pas être une qualité présente chez vous. On ne peut pas passer son temps à juger tout le monde et être neutre.
VENT a écrit :(...) ce qu'il ne fait pas d'ailleurs, mais fait reposer toute la responsabilité de cette décision sur le dos de la fille !
Et monsieur le juge "oint" transforme encore une de ses spéculations en vérité absolue pour nous balancer une sentence. Auriez-vous auditionné le CC sur cette question ? Pourrions-nous avoir accès au compte-rendu d'interrogatoire ?
VENT a écrit :Je ne blâme pas la fille, je constate les faits comme je l'ai déjà dit, et je retiens aussi ceci : "Anne a été profondément émue par la supplication de sa mère" Cela dit la fille n'a pas exprimé une quelconque souffrance d'avoir refuser la miséricorde envers sa mère ! C'est pourquoi je pose la question si un jugement divin a eu lieu sur cette mère pour que cela annule la miséricorde enseignée dans la parabole de Jésus en Luc 10:29 à 37 ?
Objection monsieur le juge "oint", on peut savoir à quel moment, dans les faits, il est dit que la fille refuse la miséricorde à sa mère ? Encore un de vos jugements sans fondements, ça en devient lassant.
VENT a écrit :Et bien qu'on me les donne les tenants et aboutissants de cette situation au lieu de me présenter un jugement !
S'il y en a bien qui juge ici, monsieur le juge "oint", c'est vous-même comme le prouve ceci:
- Cette mère qui a manifesté à sa fille, une profonde souffrance, n'a reçu aucune miséricorde (...) La situation de cette mère était équivalente à cette homme laissé sur le bord de la route.
- Cela dit la fille n'a pas exprimé une quelconque souffrance d'avoir refuser la miséricorde envers sa mère !
D'ailleurs pourquoi voulez-vous les voir juger ? Pour pouvoir vous en laver les mains et jouer les choqués à nouveau ? Pourquoi vous les jugez, la mère, la fille et le CC ? Qui vous a établi juge, d'abord, monsieur le "oint" ? Pourquoi désirez-vous les tenants et les aboutissants ? Pour instruire un nouveau procès et les juger à nouveau monsieur le juge "oint" ?