Jean a écrit :
Bien des accusation gratuite, j'aime pas ! Et prend donc le temps puisque moi je le prend ! Moi aussi j'ai autre chose a faire que de répondre a des fausseté ou a des questions absurde.
+
Ben non, désolée jean, j'ai un mari et deux fils, pas plus de temps !
Témoignage d'un avortement, par Nancy Jo Mann
par nicolas
Mon bébé commença à se débattre. La solution saline brûlait sa peau, ses yeux, sa gorge. Elle était à l'agonie, essayant de s'échapper Après que le liquide amniotique ait été retiré, il m'injecta 200cc de solution saline très concentrée (Technique des nazis. Le bébé est brûlé comme au napalm). A partir de ce moment, ce fut terrible.
Mon bébé commença à se débattre. C'était comme un match de boxe. Elle souffrait (c'était une fille). La solution saline brûlait sa peau, ses yeux, sa gorge. Cela l'étouffait, la rendait malade. Elle était à l'agonie, essayant de s'échapper...
Pour diverses raisons, je n'avais jamais réalisé qu'avec un avortement, elle allait mourir. Je ne voulais pas que mon bébé meure. Je voulais simplement me débarrasser de mon "problème".
Mais c'était trop tard pour revenir en arrière. Il n'y avait plus moyen de la sauver.
Alors je lui ai parlé. J'ai essayé de la réconforter. J'ai essayé d'atténuer sa douleur. Je lui ai dit que je ne voulais pas lui faire cela, mais que c'était trop tard pour arrêter. Je ne voulais pas qu'elle meure. Je l'ai suppliée de ne pas mourir. Je lui ai dit que j'étais désolée, qu'elle me pardonne, que j'avais tort, que je ne voulais pas la tuer. Pendant 2 heures, je pouvais sentir sa lutte à l'intérieur de moi.
Puis, aussi soudainement que cela avait commencé, elle s'est arrêtée. Encore aujourd'hui, je me souviens de son tout dernier coup sur mon côté gauche. Elle n'avait plus de force. Elle mourut épuisée.
En dépit de ma culpabilité, j'étais soulagée que sa douleur ait finalement cessé. Mais je n'ai plus jamais été la même. L'avortement n'avait pas seulement tué ma fille. Il avait tué une partie de moi.
Avant que l'aiguille ne traverse mon abdomen, j'avais une certaine estime pour moi-même. Mais quand l'enfant que j'avais abandonnée soudainement commença sa lutte en moi, j'ai commencé à me haïr moi-même. Il en a été ainsi rapidement. Toute notion d'estime de moi-même, toute valeur que j'avais respectée, tout espoir que j'avais toujours gardé. tout était anéanti par le poison de ce seul acte inutile. Tout souvenir de joie était maintenant souillé par l'odeur de la mort.
Il n'y avait aucun moyen de l'arrêter Il n'y avait aucun moyen de tout remettre comme avant.. Je n'avais plus aucun contrôle, aucun choix. J'étais sans puissance, faible. J'étais une meurtrière.
Un petit moment après que mon bébé ait arrêté de bouger, ils m'ont fait une injection pour stimuler le travail. Pendant 12 h, toute la nuit, j'étais en travail. Lorsque finalement j'ai accouché, les infirmières n'étaient pas dans la pièce.
J'ai accouché ma fille moi-même à 5h30 le matin suivant. Après lui avoir donné naissance, je l'ai prise dans mes mains. Je l'ai regardé de haut en bas. Elle avait une tête avec des cheveux, ses yeux étaient ouverts. J'ai regardé ses petits pieds et mains. Ses doigts avaient même des ongles et des empreintes. Tout était parfait. Elle n'était pas un "foetus". Elle n'était pas le "produit de la conception". Elle était un petit être humain. Elle était ma fille. Déformée par l'agonie. Silencieuse et immobile. Morte.
Cela m'a semblé duré 10 mn ou plus, bien que cela n'ait peut-être duré que 30 s. Les infirmières sont venues et m'ont arraché ma fille des mains et l'ont jetée -littéralement jetée- dans une cuvette et l'ont emmenée"...
Pour ajouter à la douleur, après que ma fille ait été emmenée, ils ont amené une autre femme dans la chambre pour finir son travail. Mais cette femme n'avait pas un avortement. Non, elle a eu un beau petit garçon, en bonne santé. Aucun mot ne peut dire combien cela me fut pénible.
Je suis sortie de l'hôpital 8 jours après l'accouchement. Le compte-rendu officiel rempli par mon avorteur déclarait que le procédé s'était effectué 'sans complications'. Trois jours plus tard j'ai recommencé d'avoir ce que je ressentais comme les douleurs du travail, et j'ai perdu un morceau de placenta presque de la taille de ma main... Bientôt par la suite, j'ai choisi d'avoir une ligature des trompes. Je ne pouvais vivre avec l'idée que je pourrais peut-être tuer encore. C'était trop dévastateur... Mon corps qui avait le pouvoir de créer la vie était trop facilement un fantôme de mort.
J'ai commencé à être tourmentée par des pensées de mort. Je fantasmais au sujet de la manière dont je mourrais. Mon bébé avait lutté pendant deux heures. J'ai essayé de m'imaginer moi-même en train de mourir d'une mort similaire...
Quatre mois après mon avortement, les pertes de sang et l'infection continuaient. Trop honteuse pour aller chez mon propre gynécologue-obstétricien, je suis retournée vers le Dr. Fong et il a fait un D. et C. pour nettoyer l'utérus. Il a sectionné le col et a laissé ce qu'il y avait en moi. Trois semaines plus tard j'étais gravement surinfectée.
Sept mois plus tard, à l'âge de 22 ans, j'ai été contrainte de subir une hystérectomie totale - tout cela à cause de cet avortement légal "sûr et simple". A cette époque, je n'étais plus préoccupée de savoir si je vivais ou mourais encore... Je haïssais le monde au moins autant que je me haïssais moi-même. (9:XVI-XIX)
Extrait de "When does life begin?" - John ANKERBERG ET John WELDON
Nancy JO MAN est la fondatrice de "Women Exploited By Abortion" (WEBA)
Publié sur le site de Chrétiens Pour la Vérité
kate a écrit :Si on vous annonce que votre enfant a le syndrome de Down, cela vous incitera-t-il à penser à l'avortement ?
Il faudrait être dans le cas pour pouvoir répondre mais je pense que oui . La vie est déjà si difficile pour un être humain "normal", alors pour un handicapé c'est le parcours du combattant mais il revient à chaque couple de décider .
Tu veux connaître le chiffre des enfants handicapés abandonnés par leur famille dans des centres ??
camélia, il y a quelques années, je me suis occupée, bénévolement, d'enfants ayant ce syndrome dans un centre.
Ce sont des enfants qui donnent tellement d'amour !
Je les aime, ils sont merveilleux.
Si leurs parents les abandonnent, ils peuvent être accueillis dans des familles qui leur donneront tout l'amour dont ils ont besoin.
Crois moi, cet amour, ils le rendent au centuple.
Al a écrit :A quel moment doit on reconnaitre l'humanité de l'être qui est porté dans le ventre d'une femme? A une seconde, une Heure, un jour, un mois?
A quel moment le Christ porté par Marie est-il un humain en son sein, dès que l'Esprit de Dieu lui insuffle l'enfant ou à X semaines de développement?
Marie et Joseph ne sont-il pas les exemples à suivre eux qui ont accepté un enfant contre toute raison et tout doute?
Al
Un être humain est en route dès la première seconde de la fécondation.
Cela ne fait pas partie d'une croyance de telle religion, c'est un fait.
Si des hommes décident si oui ou non, à telle semaine de son développement, que cette vie en formation soit un futur bébé ou non, est absurde.
Donc, et je l'affirme, tout avortement tue une vie.
Laissons aux seules femmes le pouvoir de legiferer sur ce cas bien precis, a trouver un consensus, car si la nature avait imposee aux hommes de tomber enceintes cela ferait belle lurette que le droit a l'avortement serait legaliser et bien au dela de ce qui est aujourd'hui permis! Assez d'hypocrisie.
Chaque femme est libre de faire son choix en son ame et conscience tout en insistant bien sur le fait que l'avortement n'est pas un acte anodin mais chaque histoire decoulant sur cet acte reste particuliere (en couple, apres un samedi soir bien arrose, viol, malformation), mais plutot que de basculer dans des idees retrogrades ne serait il pas preferable que l'on se penche a faire encore plus d'efforts sur les moyens de prevention (moyens de contraception plus qu'efficaces aujourd'hui et education).
Petite question aux integristes religieux (integristes pour integres a vos principes) de ce forum qui se prononcent contre le droit fondamentale des femmes a avorter, quel est votre avis pour les femmes enceintes et seropositives?
SALUT
SI L'AVORTEMENT EST POSSIBLE C'EST BIEN PARCE QUE DIEU L'A VOULU,SINON CETTE POSSIBILITÉ N'EXISTERAIT PAS.
CELA PEUT SEMBLER ENORME,CEPENDANT L'AVORTEMENT NATUREL ,NON PROVOQUÉ EXISTE DEPUIS TJRS,ET LE FAIT QU'IL SOIT NON PROVOQUÉ,"NATUREL", N'EN EST PAS MOINS LA FIN D'UNE VIE.
LA ENCORE ,CE N'EST PAS LA DÉCISION DE DIEU,LE CORPS EST UNE "MACHINE"QUI PEUT OU PAS AMENER A TERME UNE GROSSESSE,LE REJET DU FOETUS PEUT SURVENIR POUR UNE FOULE DE RAISONS QUI N'ONT RIEN A VOIR AVEC DIEU.
BIEN DES VIES SONT ARRETÉES DE BIEN DES FAÇONS QUI SONT ACCEPTÉES ET POURTANT PAS EN ACCORD AVEC LE :"TU NE TUERAS POINT". SEPTOUR
septour a écrit :SALUT
SI L'AVORTEMENT EST POSSIBLE C'EST BIEN PARCE QUE DIEU L'A VOULU,SINON CETTE POSSIBILITÉ N'EXISTERAIT PAS.
CELA PEUT SEMBLER ENORME,CEPENDANT L'AVORTEMENT NATUREL ,NON PROVOQUÉ EXISTE DEPUIS TJRS,ET LE FAIT QU'IL SOIT NON PROVOQUÉ,"NATUREL", N'EN EST PAS MOINS LA FIN D'UNE VIE.
LA ENCORE ,CE N'EST PAS LA DÉCISION DE DIEU,LE CORPS EST UNE "MACHINE"QUI PEUT OU PAS AMENER A TERME UNE GROSSESSE,LE REJET DU FOETUS PEUT SURVENIR POUR UNE FOULE DE RAISONS QUI N'ONT RIEN A VOIR AVEC DIEU.
BIEN DES VIES SONT ARRETÉES DE BIEN DES FAÇONS QUI SONT ACCEPTÉES ET POURTANT PAS EN ACCORD AVEC LE :"TU NE TUERAS POINT". SEPTOUR
DIEU est contre l'avortement!
les actes ne valent que par les intentions
si tu agis pour tuer la matrice, alors tu es couipable!
si une femme perd sa matrice sans faire exprès, elle n'est pas coupable, puisque les actes ne valent que par les intentions!
DIEU veut que nous procréons!
il nous interdit la fornication et l'adultère car c'cela qui cause le plus les avortements!
Juste un epetite intervention à propos de ce qui semble une évidence pour certains et qui ne l'est qu'en apparence !
"Parce que mettre au monde appartient au domaine de la femme, il semble naturel que ce soit la femme qui devrait légiférer en lamatière." L'intention est séduisante... mais pernicieuse et dangereuse.
Ah bon ?
En vertu de quels principes la femme est concenrée par la mise au monde et le processus générationnel qui le précède ? Certes l'accouchement est bien féminin. Le réceptacle féminin est approprié pour ce faire mais est-il sa propre cause ? A-t-on vu une femme produire la vie indépendamment de l'homme ? "Dieu créa l'Humanité homme ET femme", déclare la Genèse. En hébreu, "mâle & femelle".
Pourquoi diviser l'humanité en deux ? Faut-il alors tout diviser en deux: deux civilisations, deux sociétés, etc.
On pourrait aller plus loin et tirer les conséquences logiques de cette affirmation et cela nous mènerait où exactement?
Je rappelle que pour les Juifs comme pour les chrétiens avec une belle unanimité, l'humanité se réalise dans le couple ! Les "enfants" sont une "bénédiction" du ciel, même si les processus en oeuvre sont bien humains !
Un enfant est déjà là bien avant sa procréation car il est "projet" avant tout. Je pèse mes mots et je n'oublie pas bien sûr que bien des femmes "subissent" leur grossesse plus qu'elles ne le désirent en pratique.
Mais essentiellement, un "enfant" càd un "être non fait" (in - fans) se construit,se réalise, se fabrique ... s'éduque etc. à partir des éléments mâles et femelles qui le constitue en tant qu'être à part.
A partir de quand est-il un "citoyen" ? A partir de quand ceci ou cela ?
Questions importantes et c'est à la société d'y répondre justement.
Ce qui meparait intéressant, c'est que le jugement de la société n'estpas "sans jugement de valeur" et indique bien ce que l'on attend ou espère de l'enfant. Curieusmeent, dans nos sociétés occidentales où l'enfant est roi, l'enfant estcelui qui est leplus enclin à entraver les égoïsmes démesurés des adultes. L'enfant fait l'objet d'étude de marché car il est un consommateur dès l'âge leplus tendre etles adultes y consentent de plus en plus et en même temps,on lui dénie des droitsélémentaires comme celui de vouloir vivre par lui-même et de décider de sa vie lorsque le processus est en marche !
Décidément, la société va mal. Comment accueille-t-elle les générations à venir: oh, il suffit de rgarder notre environnement et cela suffit déjà à frémirdevant tant d'horreur. Vautil mieux alors ne pas naitre? Certains sages l'ont dit et écrit... mais pour le dire, ila fallu qu'ils naissent et aient un regard désabusé sur la vie que leurs parents leur avaient permis de vivre ici-bas. Ne sont-ils donc pas suspects ?
Le droit à la vie et le droit à lamort ou à la mise àmort des plus faibles d'entre nous ! Qu'on appelle cela de mots ronflants ou pas, le geste létal esttoujours une déscision à n epas prendre à la légère car il est irréversible. J'ai une connaissance qui a avorté à 17 ans et en a aujourd'hui plus de 40. Depusi elle a eu trois enfants,heureux... mais elle dit qu'elle en a quatre ! C'était il y a 23 ans, elle était jeune, ses parents n'en voulait pas etc. etc.
Triste, non ?
L'avortement, par définition, est toujours mal vécu... même pour une femme qui a été agressée dans sa chair et qui recourt à l'interruption volontaire de grossesse. Le erme l'indique clairement: j'interromps un processus qui est bel et bien en routee dont l'aboutissement "naturel" est la vie.
Même les tenants de l'avortement affirment que l'avortement est un pis aller et qu'il vaut toujours mieux agiravant de recourir à cette intrusion irréversible, cruelle sans doute aussi, et qui laisse des traces psychologiques, sinon physiques.
Lorsque des "humains" font des lois, ils les font pour tous au nom de tous,sans distinction de race, d'âge ou de sexe ou de classe sociale... même si des lois spécifiques ne concernent pas tout le monde précisément.
La vie touche aussi bien les hommes que les femmes, que je sache. Et jusqu'à preuve du contraire, un ovule aura nécessairement besoin d'être fécondé par un spermatozoïde. Comment ? oh, les moyens sont multiples et la loi doit se prononcer sur la validité de tel procédé et condamner sans appel tel autre en fonction de déterminations qu'elle seule doit préciser dans ses attendus.