Sibbekaï Houshatite a écrit :
Ca faisait belle lurette que les pharisiens et les saduccéens n'étaient plus établis par Dieu. Dieu avait déjà divorcé d'Israël depuis longtemps.
Leurs jugements n'avaient aucune valeur, ni aucune légitimité pour Jésus Christ et Dieu.
Tu as l'air de soutenir l'idée que la condamnation du Sanhédrin était la condamnation de Dieu !
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Psaumes 82
82.1 Psaume d'Asaph. Dieu se tient dans l'assemblée de Dieu ; Il juge au milieu des dieux.
82.2 Jusques à quand jugerez-vous avec iniquité, Et aurez-vous égard à la personne des méchants? Pause.
82.3 Rendez justice au faible et à l'orphelin, Faites droit au malheureux et au pauvre,
82.4 Sauvez le misérable et l'indigent, Délivrez-les de la main des méchants.
82.5 Ils n'ont ni savoir ni intelligence, Ils marchent dans les ténèbres ; Tous les fondements de la terre sont ébranlés.
82.6 J'avais dit: Vous êtes des dieux, Vous êtes tous des fils du Très Haut.
82.7 Cependant vous mourrez comme des hommes, Vous tomberez comme un prince quelconque.
82.8 Lève-toi, ô Dieu, juge la terre ! Car toutes les nations t'appartiennent.
D'autant que la Psaumes 82 condamne les pharisiens
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Rappelez-moi quand la Loi a prit fin ? Dieu avait doté Israël d'un corps de juges où les lévites participaient au jugement dans les portes. Il en est venu à ce que à l'époque de Jésus, le Sanhédrin faisait office de cour suprême, les juges possédaient le statut de représentant légaux de juges de YHWH. Ils étaient censé rendre la justice de Dieu selon la Loi, ils étaient puissant par l'autorité. Le grand représentant du Sanhédrin était le grand pretre.
Jésus citera le psaume 82 justement pour souligner que la parole était venu contre ceux-là, ceux qui le jugeront. Il fut jugé, mais en violation de la Loi. Il fut condamné dans ce jugement pour blasphème, ce qui veut dire dans la Loi maudit; donc devant être attaché sur un poteau, et la géhènne représentant la destruction totale (comme Jésus l'enseigna lui-meme).
Dès lors, il fut présenté publiquement comme un homme condamné par Dieu, et le peuple ne l'oublions pas le condamna. Pourquoi la mort ne pouvait-elle pas le retenir alors qu'il avait été jugé par le Sanhédrin et par la nation comme blasphémateur et sédition contre César ? Caïphe pouvait même invoquer la parole qu'il dit "il était de l'intérêt de la nation que cet homme meurt", bien qu'il ne comprenait pas du tout la teneur du message, sa portée prophétique, car il prophétisa parce qu'il était grand prêtre.
Aussi, le fait qu'il ressuscite montre que Dieu est intervenu dans le jugement. d'où ma citation du psaume 82. Imaginez un peu l'embarras du Sanhédrin, de la cour suprême de voir les disciples de Jésus proclamés qu'il est ressuscité et avec le soutien d'oeuvres de puissance.