
"Chapelet" vient de "chapel" (« chapeau ») ! En religion, c'est un collier de grains enfilés !
Et quand les idées s'entrechoquent... C'est la lumière qui jaillit !!!
C'est à partir de la matière noire que sont fabriquées les deux supercordes à déroulement infini de l'auréole et de la sphère qui y est enchâssée !
Je reprends ce que j'ai écrit dans un autre fil de discussion :
L'imaginaire et le réel sont distincts, et rigoureusement les mathématiciens les ont défini :

Mais ce que les mathématiciens n'ont pas compris, et les physiciens non plus, c'est qu'il s'agit de la particule quantique primordiale discoïdale à l'origine de l'Univers dont la cinématicité est assurée par le développement infini des transcendants Pi et e. Le sens de la rotation est : "1 i vers..." (« univers ») ! Le point originel à la base de l'émergence de la particule est le centre O d'attribution algébrique 0. Par l'application de la loi : PV = kT, à la température absolue de 0°K, la pression négative (Wikipedia / Pression négative) crée un point central quand il y a augmentation en volume. La particule primordiale est un disque dans sa sphère d'espace. En coupe :

L'Univers s'est développé en base 4 (jusqu'à l'ADN universellement répandu dans les Mondes où la vie s'est développée) car dimensionnellement il a à l'origine été apte à différencier le point 0 (à la fois réel et imaginaire), le rayon 1 (réel), le transcendant algébrique e : 2,... et le transcendant géométrique Pi : 3,...

Universellement, la division par 0 n'existe pas puisque : 0!=1

On retrouve chez l'humain cette aptitude de distinction instantanée avec le subitizing : "Le subitizing est une connaissance innée des petites quantités. Il s’agit de la perception d’une quantité sans avoir recours au comptage. Selon Mandler et Shebo (1982), le subitizing fonctionne jusqu’à 4." (La quantification : le subitizing)
En réalité, une supercorde se développe continûment par accolement de particules primordiales discoïdales les unes après les autres, particules de matière noire qui se trouvent absolument partout.
Pour déclencher le déroulement d'une supercorde, il faut une énergie négative (dans le sujet L'auréole des Saints, un lien intéressant : Pour la Science / L'énergie négative) d'égale valeur à celle de cinématisation particulaire formant un disque pour stopper la rotation.
Deux particules primordiales suffisent pour déclencher le processus : Il se produit alors un accolement des sphères d'espace tel que les diamètres (le rayon 1 est réel, le diamètre l'est tout autant !) font une jonction entre leurs extrémités : i²-1-i²-1. Ce premier accolement induit (par le transfert de l'énergie négative initiale) les suivants (et ainsi de suite à l'infini).
Une supercorde est comme un fil en 1D qui se forme par une suite de segments particulaires : i²-1-i²-1-i²-1-i²-1-i²-1-i²-1... Il faut voir ces diamètres de particules primordiales comme des barreaux aimantés qui s'assemblent : c'est le magnétisme à l'état fondamental !
Reste à comprendre pourquoi, naturellement, une des supercordes fait une auréole et l'autre une sphère ? Est-ce le sens de développement de la supercorde qui détermine la configuration géométrique ? Pour l'une : i²-1-i²-1-i²-1-i²-1-i²-1-i²-1... et pour l'autre : 1-i²-1-i²-1-i²-1-i²-1-i²-1-i²... ?
