Au sommet une statue dorée de l'archange Michel qui aurait demandé à un moine catholique de faire une cathédrale sur cette ile.
De moine croyant que c'était un démon était troublé, l'ange lui aurait mis le doigt sur le front et un creux lui resta sur le front déformant le crane, la marque de son doigt.
Plus sérieusement, le Mont Saint-Michel fut un monastère bénédictin qui recopia quantité d'ouvrages. Un chercheur du CNRS a pu ainsi démontrer que la belle légende dorée des copistes mahométans ayant sauvegardé les œuvres des philosophes grecs de l'Antiquité, était nulle et non avenue. Ce furent ces siècles de moines copistes, loin de tout, et discrets, qui firent ces merveilleuses sauvegardes.
Pour servir l'Histoire.
« Avant le christianisme, le Mont-Saint-Michel s’appelait le Mont-Bélen, parce qu’il était consacrait à Bélénus, un des quatre grands Dieux qu’adoraient les Gaulois. Il y avait sur ce mont un Collège de neufs Druidesses ; la plus ancienne rendait des oracles ; elles vendaient aussi aux marins des flèches qui avaient la prétendue vertu de calmer les orages, en les faisant lancer dans la mer par un jeune homme de 21 ans qui n’avait pas encore perdu sa virginité. Quand le vaisseau était arrivé, on députait le jeune homme pour porter à ces Druidesses des présents plus ou moins considérables ».
Coeur de Loi a écrit :« Avant le christianisme, le Mont-Saint-Michel s’appelait le Mont-Bélen, parce qu’il était consacrait à Bélénus, un des quatre grands Dieux qu’adoraient les Gaulois. Il y avait sur ce mont un Collège de neufs Druidesses...
Demande de référence précise sur cette légende et ce long copié/collé.
Marmhonie.
"Ethnographie des âmes en peine" -expression poétique de P.V. qui me fait rêver... (Variété -Etudes philosoph. p 960) "Dieu oublié, plus rien n'est digne de mémoire" Carlyle
Le Patriarche de l'Église apostolique arménienne à Constantinople, Mgr AVETIK, ABETIK, a été kidnapé par l'ambassadeur de France sous Louis XIV et envoyé prisonnier en France. Il fut incarcéré au large de Marseille ("Le Masque de Fer") puis détenu au Mont Saint Michel.
De là il fut envoyé à Paris en résidence surveillée. Refusant pendant toutes ces années d'abjurer sa foi arméno-apostolique, il le fit finalement, à l'Église Saint-Sulpice de 75006.Paris.
Modifié en dernier par InfoHay1915 le 04 oct.22, 19:37, modifié 2 fois.
C’est un crime que désapprouve l’humanité, l’islam et tous les musulmans ; mais ceux qui ignorent la vérité ne manqueront pas d’en jeter la responsabilité sur le fanatisme religieux. Témoignage oculaire 1915-1916 du génocide des arméniens par le chef bédouin syrien et avocat, Faïez El-Ghocein (Le Caire 1917)
InfoHay1915 a écrit : 04 oct.22, 19:10
Le Patriarche de l'Église apostolique arménienne à Constantinople, Mgr AVETIK, ABETIK, a été kidnapé par l'ambassadeur de France sous Louis XIV et envoyé prisonnier en France. Il fut incarcéré au large de Marseille ("Le Masque de Fer") puis détenu au Mont Saint Michel.
Le fait du patriarche est historique, mais sans rapport avec l'homme au masque de fer. Cette histoire de l'associer au masque de fer est de Marius Topin en 1870. Pour le reste, le Mont Saint Michel fut bien une prison.