Cite moi les versets concernés. Si tu parles d'adultère par exemple : "quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur", il est ici question de convoitise, la convoitise dont je t'ai parlé précédemment en citant Jacques, qui est bien différente de la pensée insulte ou injure qui est dite en paroles ou écrite. Entre convoiter quelque chose et simplement penser à dire une insulte mais sans la dire car prenant conscience que c'est mal, ce n'est pas la même chose. Convoiter c'est avoir un désir pour quelque chose, or on peut avoir une pensée d'insulte sans l'avoir désirée, la regretter à peine venue et la chasser, parce que la mémoire de l'homme ancien avec ses comportements mauvais demeure en nous, et au début de notre naissance de nouveau, elle fait souvent surface de manière non désirée, tel un mécanisme automatique qui disparait dans le temps et que, quoiqu'il en soit, nous maitrisons parfaitement, ce que tu penses péché est alors hors du corps puisque pensée indésirable, non désirée, venue malgré nous et qui n'était pas dans notre coeur, seulement dans notre mémoire d'avant, automatisme qui vient du coeur ancien mais qui n'est pas dans le nouveau, et c'est bien pour cette raison que nous sommes incapables d'insulter ou d'injurier, parce que la nouvelle créature en Christ ne le peut tout simplement pas.
Notre échange va s'avérer vain à partir du moment où d'un message après l'autre, tu occultes ce qui a été écrit précédemment. Je t'ai dit précédemment qu'il n'y a pas de péché à dire la vérité qui vient de Dieu, parce que dire sa Vérité ne sera jamais pécher et Jésus parlait non de lui-même homme mais par le Père en lui.
Quand tu me dis "c'est religieux", garde à l'esprit que ma religion, vu ainsi, c'est l'amour du prochain comme soi-même, cela n'a donc pas le sens que tu lui attribues.
Je t'ai déjà répondu : sans Lui, l'Esprit du Seigneur, nous ne sommes rien et ne pouvons rien faire de bon car en nous, il y a l'arbre à la racine du bien et du mal, et après conversion, c'est Lui qui ôte en nous et la retranche la racine du mal une fois pour toutes, elle ne repousse pas, seul la racine du bien croit, la bonne semence, et tu vois bien que dans cette parabole, il n'y a qu'une catégorie de personne qui reçoit la semence dans la bonne terre. Il n'y a qu'uni à son Esprit, en Lui, que notre coeur est nouveau, l'esprit bien disposé, ce qui est de l'homme ancien disparait, mais toi, la personne que tu es ne disparait pas, elle devient nouvelle, changée, transformée, le péché du monde a été ôté, et le malin ne nous touche plus, il a été vaincu.d6p7 a écrit : ↑29 nov.23, 10:25 quand tu dis cela, il faut comprendre non pas que jésus dit produisez de bon fruit, mais que vous le pouvez pas car vous êtes pourri ! comprends le, regarde la parabole du semeur, est-ce que jésus dit soyez un belle arbre pure et bon ? non, la graine qui est la semence étant la parole de dieu tombe dans une terre, quelle terre ? la terre de nos coeurs, pourquoi ? pour qu'il y ait une nouvelle arbre, or de question de réparer l'ancien arbre
ça aussi c'est erroné et mon précédent message en atteste : quand je parle d'oeuvres, je parles d'oeuvres d'amour du prochain comme soi-même, rien de moral ici, tout vient du coeur, de la compassion et de la miséricorde qui sont en lui.
Tu t'es fait des préjugés à mon égard, si tu me lis en les conservant, je vais répéter sans cesse les même choses, mais si tu essaies de me comprendre avec un regard nouveau, ils disparaitront. Ce que je te dis, je l'ai vécu, je t'en parle donc selon ce que j'ai vécu et vivrai jusqu'à mon dernier jour. Ainsi quand je t'écris : "tel un mécanisme automatique qui disparait dans le temps et que, quoiqu'il en soit, nous maitrisons parfaitement", ce nous qui maîtrise, c'est par Christ dans notre coeur, prise de conscience et maîtrise. J'en ai déjà attesté, au début de ma naissance de nouveau, quand j'allais pour dire ou faire quelque chose d'incorrect, aussitôt, pensée à peine émise, il me disait "non, pas ça", doucement mais fermement, rappel à "moi" (au "moi" nouveau, l'enfant de Dieu, Lui en ce "moi"), l'ancien "moi" pourtant disparu, sa mémoire engendrait des automatismes, et je ne faisais donc pas "ça", allant jusqu'à lui demander pardon rougissante pour une chose non commise, parce que je venais de naître, toute petite encore, maîtrise non parfaitement acquise en ce temps. C'est comme l'ancienne alliance, elle est près de disparaitre lorsque nous sommes nés de nouveau, mais elle est encore en mémoire quand bien même nous sommes passés à la nouvelle, sous l'Esprit et dans l'Esprit de la grâce. C'est l'ancienne alliance qui est religieuse, la nouvelle se résume en une seule parole : tu aimeras ton prochain comme toi-même, parole qui s'accomplit, et ce toi-même tu fais plus que l'aimer lorsque le Seigneur a fait sa demeure en toi parce qu'il est ton Dieu que tu aimes de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta force, ta pensée, alors comprend l'amour qu'il te donne et met en ton coeur pour aimer ton prochain... tu donnerais ta vie pour lui.
"Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes". Matthieu 22.
Quand tu saisis que ce n'est plus un commandement mais une prophétie qui s'accomplit, combien grande est l'allégresse dans ton âme et combien ton esprit se réjouit en Dieu ton Sauveur !