Simplisme. On dit « connaissance directe en son essence ». Ca laisse la place à connaissance indirecte et analogique, par les effets, à savoir le monde créé.vic a écrit : a écrit :Christian k a dit : Ca équivaut un peu à L’absence de connaissance directe de Dieu en son essence, très bien reconnue par St Thomas.
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Justement, Bouddha mettait en garde contre ce genre de spéculation métaphysique : il considérait que chercher à connaître une essence divine inaccessible était une distraction mentale, détournant de l’expérience directe de la réalité telle qu’elle est. Si une entité est par nature inconnaissable, alors tenter de la définir, ou même de croire en elle, revient peut-être à projeter nos propres idées — à prier non pas une réalité, mais notre propre imagination de cette réalité. En as tu conscience ?
La métaphysique bouddhiste, de type parménidien et présocratique, est moins subtile…