J'm'interroge a écrit : 03 nov.25, 11:07
Je ne sais pas ce que tu entends par le mot "âme", mais puisque nous sommes des sujets conscients, si l'on parle d'une résurrection qui nous concernerait vraiment, il s'agirait plutôt de notre réintroduction à la participation à une autre vie, et non d'une mémoire de ce que nous sommes dont Dieu ferait des copies, qui en tant que telles ne peuvent pas être ce que nous sommes, autrement dit : des sujets conscients.
Pour être conscient il faut être un sujet. Une mémoire même parfaite en Dieu n'est certainement pas un sujet conscient et ne peut en aucun cas assuree une continuité de conscience.
Gérard C. Endrifel a écrit : 03 nov.25, 20:53
Un sujet mort n'est en aucune façon un sujet conscient.
C'est une erreur de conclure a priori que le corps soit le sujet conscient.
J'm'interroge a écrit : 03 nov.25, 11:07Toi tu définis la mort comme le contraire de la vie, moi je la définis simplement comme la cessation des fonctions vitales d'un organisme vivant.
Gérard C. Endrifel a écrit : 03 nov.25, 20:53
C'est bien ce que je dis, vous réécrivez les définitions :
CESSATION DE LA VIE ! C'est quand même pas compliquée ? Pourquoi rajouter des notions qui n'existent même pas ?
C'est donc bien ce que j'ai dit : pour un organisme vivant, la mort est la cessation de ses fonctions vitales, rien d'autre.
Gérard C. Endrifel a écrit : 03 nov.25, 20:53
Mort, antonyme: Vie.
Antonyme définition : Mot qui, par le sens, s'oppose directement à un autre (
opposé à synonyme).
Une pierre qui n'est pas vivante serait donc morte selon toi ?
Réfléchis 5 minutes.
Gérard C. Endrifel a écrit : 03 nov.25, 20:53
Vous pouvez tourner en dérision les croyances de Témoins de Jéhovah, aucun dictionnaire ne vous donne raison.
Tu peux te forcer à le croire..
Les définitions dans les dictionnaires ne sont pas toutes cohérentes, ni identiques, ni même toujours logiquement équivalentes d'un dictionnaire à un autre, et il est même très fréquent qun dictionnaire peut donner pour un même mot plusieurs définitions...
Par conséquent, invoquer les dictionnaires constitue donc un argument extrêmement faible.
J'm'interroge a écrit : 03 nov.25, 11:07Comment ça j'aurais tort ? J'aurais tort parce que je mets le doigt sur le non-sens de cette histoire de copie sur une base mémorielle censée selon les témoins de Jéhovah nous garantir une résurrection qui nous concernerait réellement ?
Gérard C. Endrifel a écrit : 03 nov.25, 20:53
Le non sens, c'est de s'imaginer qu'à votre mort vous continuez de vivre en croyant encore être la version originale.
HS. Je n'ai jamais rien affirmé de tel.
Gérard C. Endrifel a écrit : 03 nov.25, 20:53
De s'imaginer qu'un sujet conscient, à sa mort, continue d'être conscient et d'être l'originale alors qu'il aura perdu au moins la moitié de ce qu'il était.
Même remarque.
Gérard C. Endrifel a écrit : 03 nov.25, 20:53
Le non sens, c'est de s'obstiner à croire que le contraire de la vie, c'est la vie, sous n'importe quelle forme juste parce que l'idée de la mort vous terrifie.
Le non-sens c'est de croire qu'une résurrection nous concernerait de près ou de loin, si le sujet conscient meurt avec le corps.
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- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !