Bon "éon" = période de temps indéterminée.
Chacun y mettra ce qu'il veut bien y mettre: siècle, âge, ère etc. Tout peut convenir... mais il faut alors expliquer ses choix. Chaque traducteur se doit de le faire et s'expose dès lors à la critique de ses choix et / à leur défense, par lui ou par d'autres.
C'est vrai pour l'ensemble d'un tavail de traduction et pas seulement sur un concept.
Ici nous réfléchissons sur un seul concept.
C'est utile, mais c'est limité.
Un concept "en soi" ne se conçoit bien qu'à l'intérieur d'une pensée qui se développe. Chaque occurence doit être examinée là où elle est apparue.
Un auteur peut faire usage d'un mot mais avec une subtilité de sens qui lui est personnelle. Je ne dirais pas comme septour que la pensée d'un auteur est inaccessible d'une manière si systématique car c'estune position exagérée (ilaime l'emphase

Lorsque quelque chose de nouveau et d'inédit vous tombre dessus, les mots manquent pour dire ou décrire et exprimer ces choses correctement. Les poètes connaissent bien cfes obstacles et les surmontent en créant des néologismes ou en puisant dans les mots anciens ou dans leur "culture classique".
La méthode Strong n'est utile que si l'on veut suivre un concept et ses corollaires. Utile, sans plus. Car la chaine donne les occurences du mot ouassocie des idées similaires. Tout le travail de recherche est facilité...
Le vrai problème de la méthode Strong est qu'elle lit la Bible de manière complètment a-historique. On y passe par toutes les époques et tout s'y mélange platement, sans relief. Si je prends le mot "alliance", je suppose que la chaine Strong va me faire naviguer d'Abraham à Noé,à Moïse à Josué, à Jésus et à Paul. Mais la chaine ne dira rien sur le contenu du concept à ces époques si éloignées l'une de l'autre.
En fait cette méthode est surtout utile pour des prédicateurs ou des pasteurs qui ont derrière eux un solide bagage biblique. Elle leur est une aide comme d'autres méthodes ou comme une Synopse, une Encyclopédie, des dictionnaires etc.
Salut