Sofian a écrit :L'evolution la science, la théorie M , les cordes super cordes, recherches de d'Alain caune, l'évolution (à laquelle je "crois") me sont d'autant moins étrangères qu'elles sont mon sujet d'étude depuis plus de vingt ans.
Mais je reformule le problême : Si l'évolution (ou autre) n'est pas l'auteur de son propre être, alors elle a fatalement sa source en-dehors d'elle-même...

(Sans compter que le concept même d'évolution induit l'idée de finalité)
Je conclue de votre post que vous avez déplacé le problême, sans y répondre. Car l'évolution est par définition évolution de quelque chose. Et ce quelque chose vient d'où ? Et s'il n'est pas l'auteur de son propre être, il a forcément sa source en-dehors de lui-même...

A pathétique pathétique et demi.
Ô, mille excuses, je croyais m'adresser à un énième dévot de bas étage...
J'aurais du faire plus attention à la forme

Ton discours est basé sur la création de l'univers il semblerait. Tu admets l'évolution, tu y 'crois' (même si une théorie scientifique n'a pas besoin de foi, mais de faits), mais tu voudrais savoir d'où vient le déclencheur premier.. Qu'y avait-il avant ! Mais personne ne peut y répondre, et si la réponse est Dieu, ou la licorne mauve des anneaux de Saturne, personne ne peut prouver quoi que ce soit, quel qu'en soit le sens (réfuter ou affirmer)
L'homme en lui-même est la résultante dernière de l'évolution telle que décrite en premeir par Darwin. Il est 'apparu' par sélection naturelle...
On peut penser que tout le processus d'évolution de la vie sur Terre est inéluctable depuis sa création. Entre sa position géostationnaire autour d'un astre, entre son atmosphère originelle , tout a physiquement et chimiquement contribué à faire apparaitre les océans, puis la 'vie' telle que nous l'entendons... Pour moi la vie correspond à la transmission et la préservation de caractères phénotypiques. On peut lire que les premières molécules de la vie étaient des Acides Aminés, des molécules assez simples donc, que des chercheurs ont réussi à créer à partir de rien, et en se basant sur des hypothèses sur la composition de l'atmosphère originelle. Ces acides aminés ayant un niveau d'énergie plus stable que des éléments mononucléiques, et par une loi physique toute conne et bien connue qui dit qu'une molécule quelle qu'elle soit essaye d'atteindre un niveau d'énergie stable, ces acides aminés se sont accumulés entre eux, donnant (le processus est connu, mais bon, j'ai été étudiant y'a 15 ans), à la fin, la 1ère cellule, renfermant le strict nécessaire pour permettre à cet état stable d'énergie de se transmettre encore et encore...
Pour moi la vie n'est qu'un processus biochimique, dont l'homme est la machine la plus complexe de par la configuration de son cerveau et de son accès à la conscience. L'évolution n'est qu'un processus naturel qui permet la transmission de la vie en s'adaptant au milieu extérieur.
J'ai oublié de parler de ça :
(Sans compter que le concept même d'évolution induit l'idée de finalité)
Entre parenthèses, quasiment inaperçu alors que je pense que c'est fondamental.
D'où tu sors pareille affirmation?
Pourquoi y aurait-il une finalité à l'évolution? Serions-nous les derniers chainons de cette évolution?
Imaginons que ce soit le cas... cela voudrait dire que l'évolution, dans ton raisonnement, n'est là que pour arriver à l'homme tel qu'on le connait??
Ce serait fichtrement présomptueux de croire que nous somme la finalité de quelque chose, ne crois-tu pas?
C'est pour ça que je pense que cette 'affirmation' balancée entre () est primordiale parce qu'elle montre bien que vous placez l'homme au dessus, à la fin.. comme le but ultime de la vie, alors que nous ne sommes qu'une étape vers un état d'énergie encore plus stable.