La Révélation des Mystères de Dieu

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Le christianisme est une religion monothéiste et abrahamique, issue d'apôtres célébrant la vie et les enseignements de Jésus. Les chrétiens croient que Jésus de Nazareth est le Messie que prophétisait l'Ancien Testament, et, hormis quelques minorités, Fils de Dieu, ou Dieu incarner, néanmoins Prophete.
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Elimélec

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La Révélation des Mystères de Dieu

Ecrit le 06 nov.07, 11:11

Message par Elimélec »

1 Corinthiens, chapitre 4

En lisant le Nouveau Testament, nous voyons combien de mystères il contient. Nous y trouvons :

- le mystère du corps de Christ (Éph. 3:4 ; Col. 4:3)
- le mystère de Dieu (son conseil pour la gloire de Christ) (Col. 2:2)
- le mystère de Sa volonté (Éph. 1:9)
- le mystère de l’Épouse (Éph. 5:32)
- le mystère de la venue du Seigneur (1 Cor. 15:51)
- le mystère de l’Évangile (Éph. 6:19)
- le mystère de Christ parmi les gentils (Col. 1:27)
- le mystère de la foi, celui de la piété (1 Tim. 3:9, 16)
- le mystère d’iniquité (2 Thess. 2:7).

Ces mystères, c’est-à-dire ces secrets de Dieu, n’étaient pas connus dans l’Ancien Testament, car il est dit dans le Deutéronome : «Les choses cachées» sont pour Dieu ; mais dans le Nouveau Testament, les choses cachées sont pour nous. Dieu ne garde pas pour lui un seul de ses secrets éternels ; il nous les a tous révélés ; il fait pour nous bien plus que pour Abraham, quand il disait : «Cacherai-je à Abraham ce que je vais faire ?» (Gen. 18:17), car il dit maintenant : Cacherai-je à mes enfants ce que j’ai de plus secret dans mon coeur ? Un mystère est toujours un secret révélé, et Dieu a employé l’apôtre Paul pour nous les faire connaître tous, comme administrateur de ces merveilles. Pouvait-on dire que Paul n’avait pas été fidèle dans cette administration ? Ceux qui lui faisaient opposition parmi les Corinthiens essayaient d’asseoir leur autorité aux dépens de la sienne. Il dit : «Il m’importe fort peu, à moi, que je sois jugé par vous, ou de jugement d’homme» (v. 3). Ce mot ne signifie pas proprement «prononcer un jugement», mais «faire subir un interrogatoire à un accusé pour qu’il rende compte de lui-même ou de ses actes », afin de décider si son ministère était acceptable ou non. Cela importait fort peu à Paul. Personne, dit-il, n’a le droit de me dire : «Nous allons te faire passer devant notre tribunal». Ce n’était pas aux Corinthiens, mais au Seigneur, qu’il était responsable de son service. Non pas que l’enseignement d’un serviteur de Dieu ne puisse pas être contrôlé par l’Assemblée, au moyen de la Parole — c’est ce que firent les gens de Bérée à l’égard de Paul lui-même — ou que, si ce serviteur fait du mauvais ouvrage, l’Assemblée n’ait le devoir de le reprendre — mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit ici. Paul avait reçu un ministère de la part de Dieu : Il arrivera un moment, dit-il, où j’aurai à répondre de la manière dont je m’en suis acquitté ; «Celui qui me juge, c’est le Seigneur» (vers. 4, 5).
"no podemos entender el presente, sin acudir al pasado"
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