Le texte plus haut me ttouche profondemment, car il dépeint mon existence...
Je me souviendrai toujours de pauvres pleurs de vieille mère adoptive, lorsque je lui ai annoncé un retour aux études. Déjè graduée comme secrétaire administrative, je voulais dès lors devenir une assistante sociale. Mère d'une famille d'accueil, et bénévole pendant 7 ans dans les différentes activités de ma paroisse, telles qu'enseignante aux enfants à l'école du dimanche, directrice de la chorale, enseignante aux adultes à l'école du dimanche, soeur visiteuse, etc...Tous ces activités m'avait donné un vécu pour étudier en étude familiale à un collège communautaire en Ontario.
Ce fut l'un des plus beaux deux anx de ma vie. Je fut sélectionnés d'après mes examens d'entrées parmis tant d'autres. Accadéméquement parlant, je me tenait bien dans la haute moyenne scolastique. Mes collegues des classe me demandais toujours de les aider dans leurs études et dans la rédaction de leur travaux. Je fut même connu de monopoliser le prof en philo sur les débats sur l'ADN, au moment même de sa découverte, sur les détonantions nucléaires des gamètes, sur Aristote, Platon. En polique sociciale, je n'avais que des A et des A+. De même en organisation sociale. Je réussait à en décourager un bonne gagne lorsque je pleurai parce que j'avais étudier pour un 95%, mais que ne n'avais eu 94.5% en français.
Ce qui baissa ma moyenne accadémique, fut les cours d'intervention en relation d'aide. J'étais pourtant fort intelligente, de réputation autodidate. Mon raisonnement fut le suivant, même si je ne suis pas brillante en math, ni en chimie, je réussie tout de même à comprendre de nombreuses choses que plusieurs personnes ne captes pas. Et évidemment, en pesant les pours et les contres, j'ai estimé en ligne de compte mes forts et mes faibles en communications orales et écrites. J'ai essayé d'être aussi réaliste que possible.
Mais vous savez, ceux d'entre nous qui avons un esprit social vif, ne sommes pas attirés vers le social pour rien. C'est parce que nous justement une conscience sociaile aiguisée, effilée. Nous sommes du genre beaucoup plus flexible envers l'interagissment des égo. Mais malgré celà, nous pouvons tout de même être plus rapidement alerter que d'autre à la misère sociale. Et par la sensibilité à la nature humaine fort innée chez moi, et par la formation semi-professionnelle que je recefais d'avaots, de phylosophe, de psychiatres, de travailleurs sociales, d'infirmière avec leur maîtrise, etc. je commencai à remarquer quelque chose chez moi qui n'allait pas. Je n'étais pas comme les autres dans ma classe. Plus tard sur le marché du travail, ça s'averrerait tellement flagrant que je ne parviendrai plus à le dissimuler.
Je suis lente. Pas SLOW dans le sens de prendre maturément mon temps. Mais lente... Et enfin je recherché d'obtenir des médecins appropriés (les spécialistes, pardon!) un diagnostique officiel, comme l'on dit. Pas seulement un prognostique sociale, mais un diagnostique). Plus haut, je ne recherchais aucunement à fanter mes prousses accadémiques, mon quotient intellectuel se maintien dans la moyenne seulement; dans le sens contraire de mes attentes et exigences envers moi-mêmes. Mais je suis lente. Je suis donc lente à développer mon sujet didactique, et souvent, au détriment de tout le monde, je suis lent de comprenure, comme on dit ici au Québec. Parcontre je "comprend" pourtant. Je suis plus lente que d'autre. Aussi, par ce fait même je peux devenir facilement frustré lorsque l'on n'accouche pas le point qu'autrui essaye de communiquer. Quel illogisme, et ceci surprant le monde, de façon générale. Sans compte que je suis andicaper de les fortes influences d'anglicismes dans mon éducation.
Moi, j'avais 43 ans quand j'ai vraiment pu être rigoureusement honnête avec moi-même, et de pouvoir en me l'admettre, j'étais hestimique avec une lenteur de motrécité du à un fracture crânienne du jeune âge. J'ai encore à apprendre à ne plus me frustrer, d'une part. Et à être franche avec mon prochain qui ne comprend pas ce qui ce passe.
Je relate beaucoup à cette Linda de par ces efforts dans sur le plan de sa scolarisation, et dans sa défaillance dans le milleu professionnel. Les académiques sont souvent tolérants à notre égards parce qu'il sont capables de faire le saut intellectuel requis pour solutionner le dilemme. Le dilemme étant celui-ci. La réussite accédique par rapport à avoir tout le temps au monde pour graduer. Vous voyez, la personne "lente" s'en va pas nulle part. Par ce que le monde du professionnelle, malgré toute ses bonnes intentions, ne possède pas la bonne forture de nous rénumér pour le 2 ou 3 fois plus de temps que nous prenons pour accomplir une tâche comparativement à un employé moyen.
Et si je fait du bla, bla, bla, c'est pour témoigner aux autres qui sont comme moi, s'il y en a qui en prendraient l'intérêt dans ce forum. Je désire témoigner aux autres comme moi, que même si nous sommes lent, le Seigneur nous permet tout de même la possibilité et l'intelligence, et nous donnes l'Esprit pour avoir la foi. La foi en Lui et en sa Parole. Nous, comme d'autre, avons aussi le droit de participer au vécu de notre société. ET nous aussi nous pouvons participer aux choses qui ont trait au Seigneur.
Le monde est prêt de nous faire de la place, il y a de bonnes personnes et il y de mauvaises personnes. Dans le sens, où il y a du monde flexible dans leur personnalité et qui sont tolérence. Ces gens nous servent d'exemples en matière du développement de la souplesse interactive. Et il y a des moins flexibles, il faut apprendre aussi à leur faire de la place dans notre vie. Il faut aussi que nous apprenions à inter-agir dans leur exhistance. Si nous vivons tout à fait isolé, nous dépirisserons au lieu de s'épanouir sur divers plan. i.e. la personnalité, le caractère, notre psychisme, et notre spéritualité aussi.
En plus, lorsque nous parlons des choses concernants Dieu, mais si on se tromperait et qu'on ferait des erreurs, le fun c'est d'avoir la possibilité de discuter, d'étudier, de rechercher, de raisonner, de comprendre, de penser, de bouffer, de réfléchir, les choses de Dieu... Et ce tout en s'occupant de notre mari, de la télé qu'il écoute, du téléphone qui sonne, des réunions à préparés, de réunions, du magasinages, des grands qui viennent te voir jusqu'en il y a quelque chose qu'il ne va pas dans leurs vie, comme un manque de l'argent. "As-tu $20.00, un $50.00 serait mieux." Des recherches à faire pour le bien commun des groupes, les chicanes de groupes, la préparation de code d'éthique, se préparer à argumer le code Morin et les quarum légales au Québec. Tous ça en se demandant que ferait Jésus à notre place. Jésus peut-il comprendre c'est quoi être lente?
Dans la Bible, ça parle des simple d'esprit. De ces naifs, innocents mêmes, la société leurs donnent toutes sortes de noms. D'autant plus que ça divers sens.
Lorsque j'ai fait ma quatrième étape bibliques, un vérité flagrante m'a frappée. Vous savez chez les cathokques, ils nous disaient que nous avions atteind " l'âge de la raison ". Je suis certains que la plus grand majorité des membres de ce forum ont très certainement atteind l'âge de la raison à 7 ans. Pour nous les cathos, il y avait le bon vieux (à cet âge là, il me s'emblait vieux du moins à mes yeux de petites filles de 7 ans), et voilà que monsieur le curé nous parlait de prendre la communion et de recevoir le Saint-Esprit et d'être confirmer avec une cendre si ma mémoire est bonne. Intellectuellement, je comprenais ce qu'il disait. Mais d'une autre façon, je ne pense pas que j'avais vraiment capter le sens de ce qu'il m'invitait à faire. Je crois sincèrement que je l'ai fait parce que c'était la chose à faire et que mon foi, n'était qu'une "confiance" dans les adultes qui me guidait à l'époque. La confiance-foi, comme on dirait bien. "Laisser venir les petits enfants!" Ce qui n'est pas mal en soi, mais qui n'est pas réellement la "foi". Dans la mian droite, avoir la foi impliquerait manger la nourriture de la Parole du Christ, de la main gauche, croire sans voir, n'est-ce pas!
À l'âge de la raison, nous devions aussi aller à la confession. Et pour celà, monsieur le Curé et les bonnes soeurs enseignantes, et le maîtresses laics furent impécablement alertes, eux-autres ils nous connaissaient bien. Il fallait que j'apprenne à faire ce que j'appellerais aujourd'hui, un inventaire morale et minitieux de moi-même. I.E. "J'ai conté une mentrie, 3 fois mon Père!. Méa Culpa, Méa Culpa, Méa Culpa!
Tout ce que j'avais apprise en fin de compte c'était à avoir peur que le curé me poigne à cacher des péchés. Je m'imaginais qu'il me regardait là avec ses petits yeux de scrutateurs, sachant sonder mon âme. "Une âme de fille, héritière de l'art de la séduction et responsable de la chute de l'homme. Complice du "serpent" coullissant comme les pieuvre de l'autre bord de la clôture en arrière de chez-nous. J'avais-tu vraiment compris le sens spirituelle. Surtout, et doublement, avec une certaine lenteur comparée aux autres filles de mon âge. En plus de celà, il fallait descendre dans l'allée centrale, les filles vêtue en petites replicatat d'une robe de mariée, à côter d'un petit gars de ma grandeur, qui pauvre lui, qu'il faisait pitié, vêtu d'un beau petit habit noir et il me faisait pensé à un marier. Et ça devant tous les adultes de la paroisse! Et pour rendre la chose plus pénibles, rendu au bout de l'allée, en avant de l'autel principale, les filles et les gars se divisèrent en deux groupes distinctes. Les filles à la droite... les grars vers la gauche. Celà était sensé représenté notre choix de délaisser le péché originel, et de démontré à notre communauté que nous étions en âge de raison, nous étions maintenant à l'âge de la connaissance du bien et du mal! Quel humiliation publique...
Il y a quatre ans maintenant, je compris le vrai sens d'avoir l'âge de la raison, et la responsabilité que celà impliquerait. Que nous sommes "pressé" de grandir et de répondre de nos actions. Il y a aussi un slogon qui nous dit "agit aisément". Ce slogan veut dire, d'une certaine façon", prend ton temps, t'es pas pressé. Mais agie! Agie posément.
Ce qu'ils ont fait avec moi, c'est de me permettre, d'après les pleures de ma pauvre mère adoptive, de suivre mes copines de classes. De ne pas être traiter différemment dans le sens d'être rejeter par Dieu. "Laisser venir les petits enfants". Maintenant que je suis adultes, je me pose souvent la question: Que ferait Dieu à ma place? À votre place?
Mon pauvre chum. DEs fois il me regarde en voulant dire, où-c qu'elle sort celle-là? Puis il me sourit, un beau sourit qui réussit à me charmer à chaque fois! Et il se ralentit quelque peu pour prendre le temps de se demander la question: "Que ferait Dieu à ma place?" ET il s'assoit, prend un bon respire et prend plus de son précieux temps pour s'expliquer avec moi. Il partage en détail avec moi. Tout en me rappelant qu'il m'aime. Nous nous disons à tous les jours que nous nous aimons.
En parlant de Jésus et de l'amour de son prochain, ça me fait aussi penser à ceci. Avez-vous remarquer que les gens qui sont "différents", les simples d'esprits sont accueillants. Ils sèment de l'amour. Des fois, ça rend les hommes confus parce que je suis tendre de nature. Mais je suis findèle à mon mari, et lui, étant "un lent" lui aussi, il est tendre et fidèle envers moi.
Pour finir, avoir parvenue à une telle réalisation introspective je suis sur le bon chemin de pouvoir comprendre mes manquements, c.-à-d., mes défauts et mes défaillances, et tous synonimes. Je parviens en fin à l'âge spirituelle de pouvoir commencer à me remettre en questions et de l'assumer. Voir le poste sur "la tentation du suicide" les parties 1, 2 et, 3. Un processus qui fut entraver par les années d'intexications. L'on dit que si un homme a commencé à boire à 17 ans, et qu'il a développé un alcoolisme ou une toxicomanie, il a cessé sa propre progression en fait de maturité mentale à l'âge qu'il a commencé à boire; à 17 ans. Il doit assurément y avoir aussi une espèce de corélation entre la consommation et le développement spirituel aussi!? Sans conté, qu'en ayant consommé de telle façon, il a semé des ravages auprès d'aumoins 80 personnes dans son entourage immédiat.
On a pas toujours conscience de ce que nous faisons, même si on a l'air grand...