Mon témoignage (2)

Sujet d'actualité Au Québec l'accommodement raisonnable, un sujet d'actualité.
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Nickie

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Mon témoignage (2)

Ecrit le 24 mars04, 18:06

Message par Nickie »

Bonjour! Mon sobriquet est Cocotte et je suis une alcoolique. Puisque l'anonymat est la base spirituelle de nos traditions, je ne dévoilerai pas ici mon vrai prénom.

Je vais vous parler de qu'est-ce qui m'a arrivé avant que j'arrive aux Alcooliques Anonymes, comment j'ai fait pour y arriver, et qu'est-ce qui m'est arrivée par la suite. Ce qu'est-ce que je vais dire, est entièrement mon opinion, et celà n'engage en rien les Alcooliques Anonymes. Puisque nous sommes dans un Forum Chrétien & Inter-Religieux, je vais aussi en profiter, ici, de parler de Dieu et comment je le conçois.

J'ai été adopté dans une famille à l'âge de trois mois d'une crêche qui était sous la direction des bonnes soeurs Catholiques, ici au Quéebec, Canada. L'Aide à l'enfance locale défrayait ma pension à l'orphelinat.

Ma famille d'adoption avait déjà à sa charge les deux neveux de ma mère nourissière. Ils sont donc 9 et 11 ans mes aînés. Même si mes parents d'adoption m'ont beaucoup aimé, mes frères ne m'ont pas accepté. Il est tout de même dit dans mon dossier que je me suis bien intégré dans ma famille.

Dès mon jeune âge, je n'était pas comme les autres; ils me décrivèrent comme celà. C'est certain que, quand j'étais petite, je ne comprenais pas ce que ça voulait dire de ne pas être comme les autres, mais aujourd'hui, je le sais trop bien. En plus d'être frêle, je souffrais déjà de la maladie de l'alcoolisme et de la toxicomanie, entre autres.

Me demanderiez-vous peut-être comment je sais celà. Parce que je l'ai apprise en faisant ma première étape avec les Alcooliques Anonymes eux-mêmes. La première étape dit: "Nous avons admis que nous étions impuissants devant l'alcool, et que nous avions perdu la maîtrise de nos vies". Toute jeune encore, je démontrais cette impussance vis-à-vis l'acool et les drogues, et ce même si je n'en avais pas encore consommer. De plus, dans les AA, nous apprenons que l'alcool n'est que 15% du problême. L'autre 85%, c'est les émotions. Moi, j'irai même jusqu'à dire que ça incluerait aussi ma vie sur les plans psychique et psychologique, mon caractère et ma personnalité, et mon état spirituel aussi.

Vers 3 ou 4 ans, je commensais déjà à développer mes défauts de caractères et mes manquements furent apparents. Je ne rentrerai pas plus en détails que ça à leurs propos puisque je ne ferai pas une 4e étape ici.

Plus que mes frères étaient méchants avec moi, ils allèrent jusqu'à abuser physiquement et sexuellement de moi, plus que j'étais prête à payer le pris, à tout prix, pour les ravoir. Autant que je pouvais être n'aive, déjà, autant que je pouvais être cruelle. J'étais déjà dans le "toute ou le pentoute dont font mention les AA!

Le 'toute ou le pentoute' pour un alcoolique est très grave! C'est soit que je ne voulais pas voir que l'on pouvait me faire mal, même si l'on m'avertissaient qu'ils avaient bien et bel l'intention de me le faire goûter. Et ce, à cause que j'avais colporter quelque chose, évidemment! Étant une fille, et tout petite en me comparant à eux, ce fut souvent ma seule déffense. Où bien, j'étais fort sage, jusqu'à ce que je vois mon trou. Ou bien, quand j'étais assez vite pour allumer au fait que là je les avais juste où je les voulaient. Parce qu'ils venaient de trop parler à leur propre sujet! Souvent mes frères se déclaraient et se pendaient
d'eux-même! :lol:

Mon père d'adoption ne buvait que rarement, à Noel et au Jour de l'an après les messes de minuit. Comme tout le monde, va. Ma mère aimait ça prendre un coup à l'hôtel. Et les lendemains étaient 'rufs' pour elle. Mon frère, le cadet des deux frères, servait la messe. Il buvait le vin de messe avec les autres garçons et, il revenait de plus en plus souvent, soûl. Il n'en était pas endurable parfois. Ça me stressait tout ça. Mais chez-nous, le mot alcoolisme ne s'appliquait que seulement en référence aux membres de la famille d'extension, la parenté, c'est-à-dire, et y en avait beaucoup dans la famille de ma mère.

La vision que j'avais d'un alcoolique c'était, genre, mon grand-père qui a descendait la rue principale, soûl; avec ses culotte pleine de pisse... C'était toujours les hommes qui étaient des alcooliques, jamais des femmes, selon moi. Et dans mon temps de jeunesse innocente, nous entendions parler de "boot-legguers", mais jamais un seul mot au sujet d'hommes comme "pushers"...

Ils nous disent dans les AA, anciennement, que la diffinition de l'alcoolisme est comme suit: Une allergie physique doublée d'une obsession mentale. De nos jours, dans les nouveaux pamphlèt moderne, cà dit que la diffinition de l'alcoolisme est comme suit: Une obsession mentale doublée d'une assuétude physique. Cette nouvelle façon moderne de dire la chose la plus présice selon moi. Si nous lisons les 4 meilleurs articles de Bill, Bill identifie aussi le terme: "la dépendance". Comme l'on peut ainsi constater bien clairement, les AA aussi nous parlent de la maladie d"dépendance", mais ils nous demandent de s'identifier en tant qu'alcooliques et de parler, par respect à leur but premier, de l'alcoolisme.

La première fois que j'ai consommé de l'alcool, j'étais âgée de 14 ans. C'était à une fête que mon père faisait pour ses amis de longue date. Il avait acheté des barils de 'draft' qu'il servait fièrement lui-même à tous le monde, même à moi aussi. Ce fut en sorte sa façon de m'accueillir au monde du 'grand monde'!

Chez les AA, ils nous disent bien que l'alcoolisme est aussi le sydrome du Dr. Jeckel et de Mr. Hydr. Lorsque l'alcoolique consomme de l'alcool, sa personalité se transforme. Il devient très littéralement, quelqu'un d'autre que lui-même.

Courte et maigre, sous l'effet de la draft, je me suis sentis comme si j'étais plus grande et plus forte. Impuissante de m'affirmer, douce et timide, sous l'effet de la drafte je me sentais capable de faire face à toute la gagne en même temps. Pis, normalement bien élevée et gentille, je me suis tranformer en une "baveuse"!

Mon père qui travaillait dans une profession qui a trait directement au domaine de la foresterie, travaillait 3 jobs en toute et partout. Parce que souvant, ses frères lui amenait leurs enfants à faire garder pendant plusieurs mois. Et souvent, ils ne pouvaient même pas arriver à payer leurs propres hypothèques, ou loyer, donc mon père leur venait en aide financièrement. L'une de ses job était 'waiter'. Il en était fière. Il était fière de toute l'argent qu'il gagnait en faisant ce travail là, et il était fier de nous raconter comment il était capable, lui pis les autres 'garçons de table', de 'bouncer' les ivrognes dehors quand il y avait de la bataille à l'hotel. Vous devriez lui voir les mains sur cet homme là...

Ils disent aussi chez les AA, de ne pas prendre ton premier verre, parce que quand je pense qu'en prendr qu'un seul et unique, ça devient que j'oublierais moi-même combien j'en ai pris en fait. Donc mon père me servait un verre de draft après l'autre sans m'en empêcher autrement. Mais c'est quand je lui demanda mon 7e mug, il me le donna, ça oui, mais en disant seulement ceci: "Toi tu va avoir un problème de boisson!"

Puisqu'il était 'waiter', je respectais assez mon père pour savoir trop bien, qu'il savait, lui, de quoi il parlait. Et puisque je le dévisagea avec du ressentiment contre lui à cause qu'il venait de m'insulter, je décidai drès là de lui montrer que j'étais maintenant aussi homme que lui quand ça venait à prendre un coup. Moi une fille, une féminine à part de ça, je me suis transformer en fils qui pouvait être assez homme pour égaler son père.

Pour un alcoolique, c'est de vivre dans le toute ou le pentoute! Alors, je me suis humilier moi-même, et mon père fut le meilleur que moi-même. Parce que ce ne fut pas moi qui pris soin de lui aux petits heures du matin, au contraire, ce fut lui. Ce fut lui qui, dehors sur le parterre, à la noiceure, me guèttait pendant que j'étais malade sur le parterre de son meilleur ami... :oops: Je suis donc parti de ne pas boire du tout, à pu être capable de m'arrêter. Je ne savais pas moi, que c'était le resultat d'avoir pris mon premier verre.
Modifié en dernier par Nickie le 24 mars04, 18:46, modifié 1 fois.

Nickie

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Ecrit le 24 mars04, 18:21

Message par Nickie »

:D À 17 ans, j'ai enfin épousé le grand garçon que j'avais demandé en mariage quand je n'avais que 4 ans. Un alcoolique ça planifie toujours ça vie d'avance, parfois des années d'avance. Ça ne vit pas dans le moment présent.

Lui il était déjà un membre des alcooliques anonymes et de l'accordère. Normalement, avoir un homme qui arrête de boire pendant 2 années strait comme l'avait fait mon fiancé, une femme normale, du commun des mortels en aurait été fière de son homme. Pas moi! Parce qu'une alcoolique ça besoin du sex, drugs, and rock & roll!... Pis le mien, je le trouvais plate à mort. Je l'aimais peut-être mais au conditionnel, et ça ce n'est pas de l'amour. Je l'informa donc que ma mère avait order du vin pour la noce, donc, s'il m'aimait, il était aussi bien de boire quand tout le monde boiraient à notre santé, et en notre honneur.

Bien, ne va pas jamais donner la permission à un alcoolique de boire parce qu'il va prendre ça juste comme une autre excuse pour boire! Pis étant donné que je ne voulais pas me permettre de voir et de réaliser c'est quoi un alcoolique, bien j'ai demandé pour. Je débarque de l'auto de mon père rendu à l'Église paroissiale, et ma mère vient à ma rencontre en pleurant. Elle me disait: "Cocotte, va tu t'en aller?" Je ne savais pas quoi dire, puisque je ne savais pas le pourquoi je m'en irais peut-être. Mon promis était bien là, mais il était tellement ivre qu'il avait de la misère de se tenir debout. Et le cadet de mes frères, qui est lui aussi aujourd'hui est un alcoolique admis, est venu à m'a rencontre pour s'expliquer. Dans les photos de noces, et oui je l'ai marié à cause qu'il venait de mettre du piquant dans ma petite vie, il est canté à droite et à gauche entrain de tomber...

Pendant la lune de mielle, 7 jours d'affilés, mon nouveau mari passait tout son temps en bas au bar de l'hotel où nous vacancions à boire tu Taquila (du t'es qui là?). Il est dit dans les AA, de ne pas prendre son premier verre. Moi je ne connaissais pas ce slogan AA du premier verre. Tout ce que je savais dans ce temps là, c'était que j'aimai ça me souler moi.

Me fichant royalement de l'absence de mon mari, et la considérant comme étant en fait un bon débarras, il me vient à la penser une réalisation. (Il nous disent dans AA que l'acoolique se trouve toujours une bonne excuse pour boire!) Donc, intelligente comme je pensais que je l'étais, je constatait et me sentais enfin libre! Libre de la surveillance et de l'autorité parentale. Et libre d'un mari qui serait trop souvent présent dans ma vie!... Et puisque pour un alcoolique 1 + 1 font deux, je me fit monter à la chambre du champagne, des zombies, du champagne et du zoombie. Pas de problème pour payer non plus, il y avait en abondance les fameux chèques de voyages... En ce temps là, dabord que nous remplissions notre devoir conjugale, c'était tout ce qui contait pour nous deux. La boisson aussi, il va sans dire!

De retour à l'apparte, je ne me suis pas arrêter de voire non plus. C'était un party par derrière l'autre. Et puisque c'était moi qui fournissait la boissaon gratuitement à tout le monde, suivant la bonne exemple de mon père, c'était moi le waiter. Et je faisais bien certain aussi, que personne ne toutchait ma sorte de drink, parque je ne voulais surtout pas en manquer. Ils en avaint en abondance la leur, pas touche la mienne. Eux c'était la bierre, et moi le volka. Eux, ils s'arrétait parce qu'ils ne pouvaient pas me suivre, et moi l'on disait que je prenais un coup fort. Ma brosse dura approximativement 9 mois. Pour enfin s'arrêter quand j'en avais assez.

Après quelques moi demeurant en tout sagesse, je me suis transformer en buveur périodique. J'ai même arrêté pendant 7 ans pour élever une famille. Moi je ne bois pas quand il y a des enfants sous ma charge. Parce que je me sentais trop responsable pour celà. Mais comme je vous ai dite, un alcoolique se trouve toute sorte d'excuse pour boire!

Quelque chose de très grave arriva aux enfants sous ma charge, et je ne pouvais plus en prendre de ce genre de responsabilité. J'envoya donc les enfants chez leurs père naturels. Ce n'est qu'en faisant ma première étape, que j'en suis venu à l'évidence de mon impuissance et de la perte de la maitrise de ma vie. Parce que je me suis préparer un rechute monumentale après 7 ans d'abstinence que j'ai faite sans l'aide des AA.

L'alcoolique se téléphone et se croit, nous disent les AA. Et je n'en suis pas une exception. Un bon jour, je téléphone les père des p'tit et lui dit que j'étais trop malade pour continuer à prendre soin de ses p'tits. Malgré qu'il insistait que se deux garçons étaient trop bien chez-moi pour les sortir de mon foyer, j'insisté de mon bord.

Je me disais en moi-même, que j'étais à bout de force et que la solution serait de ne plus avoir les p'tits à ma charge. En plus de ça, je me suis dite en moi-même qu'une fois les petits partis, je pourrais enfin boire un petit peu de temps à autre. N'est-ce pas. Mais ça n'en fit pas le cas du tout.

Car, je me suis préparer un rechute phénoménale, pour une bonne mère de famille! Je rentra dans un dépaneur pour m'acheter une bouteille ordinaire de vin rouge. De la même sorte que ma mère buvait, elle. Je vie la bouteille et aussi les verres en stérophomes. Ça m'en prennait qu'un seulement! Zute! On dit aussi dans AA, que l'alcoolique est un vite.
J'ai regarder plus bas dans l'étagère, et je spottais une grosse cruche de vin St-George! Il me sembla qu'il serait meilleur celui-là, et je me suis vendu l'idée de l'emporter au collège pour le partager sur le gazons avec mes collègues de classes. Donc, j'ai sortie du dépanneur avec deux grosse cruche de vin St-George et un paquet complèt de verre blanc en stérophomes.

Elles, toutes les cinque des mes amies de classes, m'avouèrent qu'ils étaient membres des alcooliques anonymes et ne buvaient pas. Bein ils disent dans AA qu'un alcooliques est tout ce qui finit en eur: menteur, tricheur, manipulatuer, voleur. Je les ai manipuler et même réussit à leur faire prendre chacune d'elles, seulement qu'un verre avec moi. Et puisqu'elles n'avaient prise que seulement qu'un verre chaque, il me restait amplement de vin dans les deux cruches! Ce que je regretta plustard. Rendu chez-moi, je vida en deux, à moi seule, les deux cruches de vin St-George! J'ai été malade, le sang me bouillait et mon mari dû me nourrire de la soupe Lipton à la petite cuillère, et nettoyer mon pot cassé.

Nickie

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Ecrit le 24 mars04, 20:03

Message par Nickie »

J'avais donc bu de ce vin St-George pendant 2 jours, et j'en fut malade au lit pendant un autre 2 jours. Quand je suis retourné au collège, une des collègues que j'avais convaincu de prendre un verre de vin avec moi est venue à ma rencontre. Elle me dit: "Cocotte, je suis une alcoolique et j'aimerais ça que tu m'aiderais maintenant en m'accomgnant à un meeting des Alcooliques Anonymes et venir de me voir prendre mon jeton de nouveau." Je ne sais vraiment pas pourquoi, mais j'ai trouvé ça une excellente idée des plus logiques pour "elle" et je l'ai accompagné à ce meeting là. Je n'ai rien compris pentoute. Aujourd'hui, je sais pourquoi. Parce que j'étais pas désintoxiqué et que j'étais encore dans la brume.

Puisque nous ne sommes pas dans une réunion d'Alcooliques Anonymes ici dans ce forum, je me permetterais donc de parler de la drogue. Il y a de ceux qui sont des membres spéciales des AA parce qu'ils ont une double problématique. J'en suis une d'entre ceux-ci.

Avant je ne prenais pas de la drogue. Premièrement, parce que j'étais une alcoolique, et deuxièmement parce que j'en avais peur. Je ne connaissais, ni ne faisais confiance au fameux 'buzz'. Moi ce que je cherchais, c'était la sentsation de la perte du contrôle procurer par l'acool et de connaître à nouveau la sensation de toute puissance que celà m'a procuré la toute première fois.

Mon premier marriage fini par un divorce. Je fis la rencontre d'un autre avec qui j'ai vécu pendant 2 ans, et nous étions même fiancé. Mais ça n'a pas marché à cause que je buvais, et je commencais pendant que je restais avec lui, à voulaire faire l'expérience avec le hash. Je ne savais qu'est-ce que je faisais à cette époque là. Dans les AA ont appellent "vouloir se rendre là plus vite". Ma maladie de l'alcoolisme progressait, et cette fois-ci plus rapidement. Je commencais donc à mêler alcoole et ash, ensemble! Je ne le savais même pas non-plus que j'étais une "bi-polaire". Mauvaise combinaison!.... Et quand lui, il est devenu plact ce nouveau fiancé, je le trompai. Cette relation fini éventuellement elle aussi, à cause de mon alcoolisme. "Sex, drugs, and rock & roll!)

Pour enfin rencontrer, qui je pensais bien, serais mon roc, mon pilier. Il avait hérité, donc prêtait de l'argent à une banque pour des hypothèques. C'était un écossais qui est devenu mon meilleur ami. L'important pour moi à cette époque là, avec lui, c'était du bon sex en premier lieu, de la bonne compagnie, de la boisson et de la drogue.

Lui, il m'enseigna à rentrer dans le sien son monde. Dans ce temps là, je ne savais pas qu'est-ce que ça voulait dire la dépendance affective pour un alcoolique toxicomane. Je choisit consciemment de le suivre dans son "buzz" à lui. Ma maladie c'était effectivement rempirer. Elle changeait progressivement. Nous nous sommes mariés pour n'aboutir nous aussi au divorce. Puisque je le mettais quasiment dehors le matin pour boire jusqu'à ce que je tombe endormi par la boisson, et les valiums. Pour ne me réveiller qu'en tant pour lui faire son souper, et nettoyer vite faite l'apparte.

Et c'est là que je rencontré mon bas fond!

Les AA nous parlent de comment c'est nécessaire de passer par le bas fond du verre de boisson pour enfin parvenir à s'en sortir. Et je n'en fut pas une exception à la règle! Je ne pouvais plus travailler, ni subvenir à mes propres besoins. J'étais en dépression. Les docteurs me dirent de tels mots commes: "avec ce que tu as", mais quand je leurs demanda ce que j'avais, ils passèrent tout sous silence.

Ils disent que l'alcoolisme t'emmène soit à trois places: en prison, à l'hôpital, où à la morgue! De nombreuses fois les polices furent impliqué pour prendre soin de moi. Souvent, si je n'ai pas été à l'hôpital c'était parce que j'étais trop intoxiqué et que j'ai été mardeuse comme l'on dirait dans le language vulguère. L'on m'emmenait au lieu, à l'hôpital parce que je leur demandais de l'aide.

Ils disent que le monde médicale est le dernier à qui un alcoolique va être honnête avec au sujet de son alcoolisme. Ce fut comme ça dans mon cas. Si j'aurais été honnête, celà aurait impliquer discuter de vivre dans la platitude de la vie, ajeun. J'avais même demander de l'aide dans un centre de désintoxication, mais ils ont menacé de téléphoner toutes mes différentes pharmacies respectives pour leur parler de mon cas. Celà était avant que les pharmicies utilisent les ordi.

Un jour, dans une hôpital psychiatrique, j'ai fait connaissance avec un gentil psychiatre qui me fut fort sympathique lui. Je ne peut mettre le doigt dessus, mais mon coeur lui demande de l'aide. J'étais décourager faut croire! Je lui exposa mon désire d'aller demander de l'aide à des programmes commes AA ou NA. Mais que je ne savais pas si j'étais une Alcoolique ou une Taxicomane. Il me dit que j'étais les deux. Et il me demanda d'aller où je me sentais bien. Je répondit que je me sentait bien dans AA. Il s'avoua lui-même en tant que membre des Alcooliques Anonymes, et fit ce que nous appelons, une douxième étape avec moi.

Je fis ma première réunion pour moi. J'y suis allé pendant un an. Mais ça n'a pas marcher, je n'ai pas accrocher. Je ne buvais pas, mais j'étais stone à tous les jours. Et j'aurais trop honte de vous dire comment je faisai pour m'en procurer. Je partais des AA pendant des années, et y revenais. Je faisais ce que nous appelons, du "in and out" de AA.

Nickie

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Ecrit le 24 mars04, 20:20

Message par Nickie »

Je ne me souviens quasiment prèsque pas de ma trantaine, ni du début de mes quarantaine. J'étais trop soûl ou bien intoxiqué, ou déprimé pour m'en rappeler. Ce sont des années couvertes de rechutes l'une en appelait une autre. Mais je revenais toujours à AA.

Quelqu'un avec qui je buvais un soir, m'a dit que selon son infaillible connaissance supérieure à la mienne, que puisque j'avais prise ma première bienne, que je ne "pouvais jamais retourner à AA". Je m'argumentais avec lui, du fait que je savais très bien par expérience personnelle que les AA te reprennent toujours, et à chaque fois.

En 1998, j'ai donné ma vie à Dieu. J'ai demandé une guérison de malade pour ma dépression et mon alcoolisme, et ma toxicomanie. Les choses se sont améliorés après celà, mais j'ai continué à en arracher encore pendant une autre année.

En 1999, rendu au bout de ma corde. Ayant bu mais pas mangé depuis trois jours, je me suis finalement mise à genoux. Je me suis personnellement et directement adresser à Dieu lui-même. Et en mes propres mon je me suis confier à lui. Ils disent que les membres des Alcooliques Anonymes en ont la preuve qu'il y a un Dieu. Parce qu'Il est celui-là même qui les a arrêté de boire!...

Pendant que j'étais encore agenou priant mon Dieu d'amour, j'ai entendu au fond de mon oreille, une espèce de chuchottement. J'ai entendu comme d'une façon sourde, une petite voix m'adressant la parole et disant: "La vie est belle, elle vaut la peine d'être vécue". Et je lui ai répondit: "Puisque la vie est belle Seigneur, je vais désormais faire en sorte qu'elle soit belle pour moi, et de la vivre". Ce que je fis depuis lors. Et depuis lors, je n'ai jamais pris aucune goutte d'alcool, même pas dans mon rince bouche! Je n'ai jamais consommé aucune autre drogue, ni abusé de médicament. Les seuls médicaments que je prend, me sont prescrit pour la pi-polarité.

Cette fois-ci AA m'a accrocher. L'on m'a dit de faire du S.T.P., du Sauve Ta Peau! Et j'ai demandé comment je pourrais faire ça sauver ma peau. Et l'on m'a dit, de faire 90 meeting en 90 jours, de me prendre une maraine. Et de m'impliquer.

J'ai rempli différentes tâche dans les AA. Je me suis prise une maraine et j'ai faite mes étapes. L'on m'a dit de faire du café, je l'ai faite. Je suis R.S.G. dans mon groupe d'appartenance, et je fais de la douzième.

Mais l'on m'a principalement suggérer de ne pas prendre mon premier verre!

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