arrete de lancer des textes que peu de gens liront
Commence par expliquer le verset de la genèse
Genèse 35:18 - Qu'est ce que l'âme ?
- Saladin1986
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Ecrit le 19 août05, 16:49
Je vous l'ai peut-être dit fois mais je vais recommencer.L'âme est créé à la naissance.L'esprit a peut être lui toujours exister et je ne crois pas qu'il puisse se reproduire contrairemant à l'âme qui n'est qu'un corps astral.L'esprit,lui,habite l'âme et est l'essence même de la vie.Sans esprit ,aucun corps vivant n'existerait.
Gaétan
Gaétan
Ecrit le 19 août05, 22:14
Pour Platon, l’âme est déchue : elle est tombé dans le corps, alors qu’elle accompagnait les Dieux dans le monde des Idées. Elle comporte trois parties, les appétits inférieurs (faim, soif, etc.), les passions et la pensée qui seule est immortelle (mythe de l’attelage et du cocher dans le Phèdre). Dans le Phédon et La République, Platon développe le mythe de la métempsychose suivant lequel l’âme après la mort du corps rejoint le monde des Idées ou un autre corps suivant les catégories du juste ou du méchant.Âme
Définition: Dans les Écritures, le mot “âme” rend l’hébreu nèphèsh et le grec psukhê. D’après l’usage qu’en fait la Bible, ce terme désigne soit une personne, soit un animal, soit la vie qui anime l’un ou l’autre. Pour bien des gens, cependant, l’“âme” est la partie immatérielle ou spirituelle de l’être humain, qui survit à la mort du corps physique. Pour d’autres, il s’agit du principe de vie. En fait, ces dernières croyances ne sont pas bibliques.
Aristote fait l’économie du concept des Idées, l’âme et le corps ne sont plus deux réalités disctinctes, mais une seule et même substance qui a pour matière le corps (ce qui est en acte ) et pour forme l’âme (ce qui est en puissance ). Il pose trois degrés d’âme : végétative, sensitive et intellective, chaque degrés suppose le précédent et le dépasse.
Pour Épicure, l’âme est matérialisée donc devient mortelle. Elle est composée d’atomes dispersés dans notre corps. Épicure, contrairement à Platon et Aristote, ne pense pas que l’âme participe d’un Tout, d’une âme divine, pour lui les dieux ne s’occuppent pas des choses humaines.
Avec le stoïcisme, l’ensemble du monde est corps. Cette conception du corps est étrangère à notre conception comptemporaine, par exemple la nuit est un corps, de même l’âme est un corps. L’âme est un feu, un souffle igné, en fait une partie du souffle divin. Il existe une réelle différence avec Platon et Aristote sur les distinctions dans la nature de l’âme, pour les stoïciens, la distinction est génétique, elle participe d’une ontogenèse : âme du fœtus, âme de l’enfant, âme de l’adolescent, âme de l’adulte. La conception stoïcienne de l’âme comme souffle (pneuma) continu à travers tout le corps se distribue en huit parties : Les cinq sens, la zone reproductrice, la zone de la voix et une région où se concentre toutes les autres, l’hêgemonikon.
L’âme est pour Descartes une substance indépendante, et seul l’homme a une âme. Cette âme est le substrat de nos qualités spirituelles, c’est une essence particulière différente du corps. Il y a en effet pour Descartes une grande différence entre l’âme et le corps, une différence qui les distingue radicalement : l’âme est une substance pensante, la matière est une substance étendue.
Occasionalisme (Malebranche) : l'action du corps sur l'esprit et de l'esprit sur le corps est impossible.
Leibniz
Sa théorie de l’union de l’âme et du corps suit naturellement son idée de la monade. Le corps est un agrégat de monades, dont les rapports avec l’âme sont réglés dès le départ comme deux horloges que l’on aurait synchronisées. Leibniz décrit ainsi la représentation du corps (i.e. du multiple) par l’âme :
« Les âmes sont des unités et les corps sont des multitudes. Mais les unités, quoiqu’elles soient indivisibles, et sans partie, ne laissent de représenter des multitudes, à peu près comme toutes les lignes de la circonférence se réunissent dans le centre. »
Ecrit le 20 août05, 05:43
2 Corinthiens 5:8
TMN==>Mais nous avons bon courage et nous aimons mieux nous trouver loin du corps pour aller demeurer auprès du Seigneur.
Segond==>nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur.
Quel est donc l’effet de la possession de la vie en Christ appliqué à la mort et au jugement, les deux objets naturels des craintes de l’homme, le fruit du péché? [5:6] Si nos corps ne sont pas encore transformés, [5:4] et si ce qui est mortel n’est pas encore absorbé par la vie, [5:6] nous sommes également pleins de confiance, parce que, [5:5] étant formés pour la gloire, [5:8] et Christ, qui a manifesté la puissance victorieuse qui Lui a ouvert le chemin du ciel, étant notre vie, si nous quittons cette tente et sommes absents du corps avant d’être revêtus de la gloire, cette vie que nous possédons reste intacte ; elle a déjà, en Jésus, triomphé de tous les effets de la puissance de la mort. Ainsi, si nous mourons, nous serons présents avec le Seigneur ; [5:7] car nous marchons par la foi, non par la vue des choses excellentes que nous espérons. [5:8] Ainsi nous préférons être absents du corps et être présents avec le Seigneur. [5:9] C’est pourquoi nous cherchons à Lui être agréables, soit que nous soyons trouvés absents de ce corps, ou présents dans ce corps, lorsque Jésus viendra pour nous prendre à Lui et nous faire partager sa gloire.
Philippiens 1:23
TMN==>Je me trouve pressé par ces deux choses ; mais ce que je désire vraiment, c’est la libération et être avec Christ, car cela, bien sûr, est de beaucoup le meilleur.
Segond==>Je suis pressé des deux côtés: j`ai le désir de m`en aller et d`être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur
Ici, un serviteur laborieux élève ses regards, du milieu de ses champs de travail, et il exprime son désir ardent de s’en aller dans la présence de son Maître. Il est dans l’alternative : son esprit désire partir, mais il jette un regard d’affection sur ceux qui éprouveraient si douloureusement sa perte ; en pensant à eux, il arrête son désir. « Il est plus nécessaire à cause de vous », dit-il aux Philippiens, « que je demeure dans la chair. Et ayant cette confiance, je sais que je demeurerai et que je resterai avec vous tous pour l’avancement et la joie de votre foi ». Quel dévouement ! Il aspire à être avec Christ ; mais il est nécessaire qu’il reste avec eux, et il est prêt à rester. En ce qui le concernait personnellement, partir était « de beaucoup meilleur » ; mais pour ce qui concernait les autres, rester était « plus nécessaire ». Plein de l’esprit de Christ, il était prêt à se sacrifier pour leur profit.
En Luc 23, on voit une personne sauvée, prise immédiatement au paradis. En Actes 7, on voit quelqu’un à qui il fut permis de souffrir le martyre pour le nom de Jésus. En 2 Corinthiens 5, on voit un chrétien qui gémit, qui est chargé, qui désire mettre de côté sa tente pour être présent avec le Seigneur. En Philippiens 1, on voit un serviteur laborieux, entouré de ses gerbes précieuses, regardant vers son Maître et aspirant à trouver sa place à ses pieds.
TMN==>Mais nous avons bon courage et nous aimons mieux nous trouver loin du corps pour aller demeurer auprès du Seigneur.
Segond==>nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur.
Quel est donc l’effet de la possession de la vie en Christ appliqué à la mort et au jugement, les deux objets naturels des craintes de l’homme, le fruit du péché? [5:6] Si nos corps ne sont pas encore transformés, [5:4] et si ce qui est mortel n’est pas encore absorbé par la vie, [5:6] nous sommes également pleins de confiance, parce que, [5:5] étant formés pour la gloire, [5:8] et Christ, qui a manifesté la puissance victorieuse qui Lui a ouvert le chemin du ciel, étant notre vie, si nous quittons cette tente et sommes absents du corps avant d’être revêtus de la gloire, cette vie que nous possédons reste intacte ; elle a déjà, en Jésus, triomphé de tous les effets de la puissance de la mort. Ainsi, si nous mourons, nous serons présents avec le Seigneur ; [5:7] car nous marchons par la foi, non par la vue des choses excellentes que nous espérons. [5:8] Ainsi nous préférons être absents du corps et être présents avec le Seigneur. [5:9] C’est pourquoi nous cherchons à Lui être agréables, soit que nous soyons trouvés absents de ce corps, ou présents dans ce corps, lorsque Jésus viendra pour nous prendre à Lui et nous faire partager sa gloire.
Philippiens 1:23
TMN==>Je me trouve pressé par ces deux choses ; mais ce que je désire vraiment, c’est la libération et être avec Christ, car cela, bien sûr, est de beaucoup le meilleur.
Segond==>Je suis pressé des deux côtés: j`ai le désir de m`en aller et d`être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur
Ici, un serviteur laborieux élève ses regards, du milieu de ses champs de travail, et il exprime son désir ardent de s’en aller dans la présence de son Maître. Il est dans l’alternative : son esprit désire partir, mais il jette un regard d’affection sur ceux qui éprouveraient si douloureusement sa perte ; en pensant à eux, il arrête son désir. « Il est plus nécessaire à cause de vous », dit-il aux Philippiens, « que je demeure dans la chair. Et ayant cette confiance, je sais que je demeurerai et que je resterai avec vous tous pour l’avancement et la joie de votre foi ». Quel dévouement ! Il aspire à être avec Christ ; mais il est nécessaire qu’il reste avec eux, et il est prêt à rester. En ce qui le concernait personnellement, partir était « de beaucoup meilleur » ; mais pour ce qui concernait les autres, rester était « plus nécessaire ». Plein de l’esprit de Christ, il était prêt à se sacrifier pour leur profit.
En Luc 23, on voit une personne sauvée, prise immédiatement au paradis. En Actes 7, on voit quelqu’un à qui il fut permis de souffrir le martyre pour le nom de Jésus. En 2 Corinthiens 5, on voit un chrétien qui gémit, qui est chargé, qui désire mettre de côté sa tente pour être présent avec le Seigneur. En Philippiens 1, on voit un serviteur laborieux, entouré de ses gerbes précieuses, regardant vers son Maître et aspirant à trouver sa place à ses pieds.
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Re: Genèse 35:18 - Qu'est ce que l'âme ?
Ecrit le 19 déc.14, 11:26Merci Medico t as bien commente.
Dieu nous dit que l âme c est mon affaire ,c est mon ordre,ce n est plus la peine de chercher sur la question de l âme,parce que elle dépasse la capacité scientique humaine,c est comme dire combien d atomes dans l univers,c est comme cracher au soleil pour l éteindre, voilà cher Medico,l âme conserne que dieu seulement
........ton collègue ( aitouche abderrahmene de Sétif ).
Dieu nous dit que l âme c est mon affaire ,c est mon ordre,ce n est plus la peine de chercher sur la question de l âme,parce que elle dépasse la capacité scientique humaine,c est comme dire combien d atomes dans l univers,c est comme cracher au soleil pour l éteindre, voilà cher Medico,l âme conserne que dieu seulement
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