J'm'interroge a écrit : ↑15 août19, 20:04
Bien ce que dit ABC est une évidence. Il n'y a que toi Inti, pour ne pas comprendre le bien fondé de ce propos. L' "observacteur" comme il dit, fait bien partie intégrante de l'ordre causal en soi. L' "obervacteur" scientifique augmenté de son équipement instrumental, est bien une réalité en soi au sein de la réalité en soi, non ?
Le monde connu objectif, formalisé par la physique, ce n'est pas une pierre qui le formalise ou le connaît. Si tu as entendu parler d'atomes, ce n'est pas une pierre qui t'en a parlé
Regarde ce que j'ai écrit ...
a écrit :C'est vrai que la science traîne aussi ses croyances malgré ses prétentions d'empirisme et constat. Un constat est le fondement d'une connaissance sur le matérialisme intégral et universel. Pas le fondement d'un fait de nature objectif. Pas besoin de la mesure pour être. C'est l'observateur qui a besoin de la mesure pour mieux comprendre et moins croire
Avec un constat scientifique on établit et édifie une connaissance ( approfondie) du réel. De là à croire que le réel fondamental a besoin du constat scientifique pour trouver un " sens organisationnel" y a qu'en théologie religieuse et théologie quantique qu'une cause intelligente ( dieu ou classes d'observateurs) exogène et supérieure au fait naturel devient nécessaire et déterminante.
C'est vrai que classe d'observateurs ça fait plus scientifique que principe créateur. Ta réflexion sur la pierre est tellement sotte qu'elle illustre justement la bêtise de l'idéalisme quantique sur la relation objectivité et subjectivé. Physique ( monde naturel inférieur incomplet) et subjectivité, intersubjectivité ( Métaphysique).
Le préjugé spiritualiste que transporte l'idéalisme quantique est tellement gros qu'une simple démonstration logique sur ce qu'est la relation monde physique et métaphysique ne réussit pas à susciter une moindre réflexion pour un rejet systématique de la proposition.
Facile à expliquer. Trop de chance que le divin scientifique perde son statut de sommité du cantique du quantique en reconnaissant que son dogme de l'observateur est plus de tendance Métaphysique que épistémologique.
Pas besoin de pierre JM. Un constat ou observation est toujours nécessaire pour établir une connaissance du réel fondamental peu importe le niveau d'organisation quantique ou dit classique.
J'ai très bien remonter la piste de l'idéalisme quantique avec le positivisme et son absolu du constat. Le positivisme est un sous produit épistémologique et culturel de la métaphysique comme philosophie première. Einstein voulait déchirer le positivisme comme grille de lecture. Voilà c'est fait!
Le dogme de l'observateur n'est plus une question d'épistémologie mais une question d'ego qui croit faire preuve d'une grande souplesse d'esprit en reconnaissant le caractère insolite, incertain de la physique quantique alors qu'il ne font que reprendre un préjugé spiritualiste sur " un sens organisationnel de la matière" qui est incomplet sans l'évocation d'un facteur " subjectif ou spirituel" se situant à un niveau supérieur, ce niveau supérieur étant
le constat scientifique qui n'est rien d'autre que le processus de connaissance humaine du réel fondamental. Mystiques et sceptiques sont reliés par le même nœud gordien.
Une fois la tête sortie du laboratoire ou de la bulle théologique euh théorique du quantique on sait bien que le matérialisme intégral ( quantique) et universel ( macroscopique) a trouvé son propre sens organisationnel et Universel sans nécessité d'invoquer la mesure du fait cosmique ou cadre théorique. Le nécessité du facteur subjectif est d'obédience Métaphysique et créationniste pas scientifique ni évolutionniste.
La physique quantique, le fait de nature subatomique, dispose probablement de son propre sens organisationnel et que c"est le constat qui est une lecture fragmentaire et incomplète des comportements quantiques insolites qui demeurent néanmoins le fondement complet du macroscopique ou déterminismes naturels et universels.
Il est où le principe d'incertitude au sein du fait cosmique? Y a volonté ou tout simplement dialectique des déterminismes naturels et universels? Le principe d'incertitude il est dans la quête de connaissance du réel. Les accusations de réalisme naïf viennent d'un préjugé spiritualiste sur la nature incomplète du monde naturel considéré inférieur par rapport au monde supérieur de la connaissance, le club des chiantifiques. Un mélange d'incogniscibilté kantienne et idéalisation de la Culture scientifique. Bref un idéalisme Philosophico scientifique qui tient lieu de "science moderne du futur". Désolé mais croire qu'un facteur subjectif ou spirituel supérieur au monde physique est nécessaire à la "réalité dans son sens organisationnel" est et demeurera une approche créationniste, spiritualiste, métaphysique pas physicaliste ni Philosophiquement réaliste. Comme si le monde avait encore plus besoin de surréalisme ontologique avec l'idéalisme quantique.
Le problème avec les idées... Est que quand on établit sa notoriété sur une fausse connaissance il devient difficile de l'abandonner sans y perdre de sa brillance. Le monde des idées ça peut être le monde des lumières ou de l'obscurantisme. Mieux comprendre et moins croire c'était l'objectif premier du positivisme? Et bien c'est raté! L'idéalisme quantique croit que la matière a besoin de la mesure pour s'organiser! Oui mais qui a mesuré au sein du spatio temporel? Pourtant le positivisme s'intéressait au " comment" pas à " qui". Preuve que le positivisme a réintroduit un peu de théologique au sein du magistère de la science
