XYZ, je propose que tu commences par t'appliquer à toi-même les jugements que tu as faits sur les propos des autres.XYZ a écrit :As tu oublié que Qv a dit que tout a un commencement ?
Si c'est le cas, le temps a aussi un commencement. Logique !
Dans un second temps, je t'invite à remettre sa remarque dans son contexte.
Pas obligatoirement. Pourrais-tu définir ce que tu appelles "commencement" ?XYZ a écrit :Le temps ayant un commencement cela sous entend qu'il n'a pas toujours existé.
Car si tu le définis comme "moment (au sein de l'histoire) où la chose apparaît", en effet nous avons une belle chimère épistémologique (l'apparition du temps à un moment donné du temps, ce qui n'a aucun sens, bien sûr).
En revanche, si tu le définis comme "dans un référentiel donné et dans une direction de ce référentiel donnée, point à partir du quel la chose est objectivable", nous sommes non seulement en cohérence avec les faits scientifiquement établis mais en plus rien n'oblige à ce qu'il y ait dans ce référentiel un point antérieur (surtout s'il coïncide avec la limite asymptotique dudit référentiel).
J'espère qu'à la lumière de ces précisions (qui sont en fait des reformulations de ce que j'ai déjà dit), tu peux enfin percevoir la logique de tout cela.XYZ a écrit :Lorsque le temps n'existe pas rien n'existe.
A moins que tu me dises qu'est ce qui existe quand le temps n'existe pas !
Quand tu me dis que tu ne vois pas le probleme quand le temps et l'espace n'existent pas, je trouve que tu as un gros probleme de logique.
Nous sommes d'accord : il ne peut en effet rien y avoir avant le Big Bang, ce serait un non sens. (Ce qui n'est absolument pas incompatible avec le fait qu'un système de représentations permette de définir un horizon spatiotemporel de l'univers, ce à quoi correspond précisément le Big Bang.) Et comme il ne peut rien y avoir, il ne peut pas même y avoir de dieu.XYZ a écrit :Comment veux tu qu'il se passe quelque chose quand rien n'existe ?
Comment veux tu qu'il y ait big bang si rien n'existe ?
Si tu penses qu'il n'y a pas de paradoxe, a mon avis il vaut mieux laissser tomber.