Sheik Yousuf Al-Qaradhawi: Female masturbation is more risky than male masturbation. Male masturbation is not as risky. Sometimes women insert finger, and some women insert objects that may be risky, especially since the hymen is very sensitive, and any playing with it may tear it. This might expose the woman to accusations.
Résumé : sois belle et tais toi... et surtout ... ne te touche pas.
Extrait
Résumé : sois belle et tais toi... et surtout ... ne te touche pas.
simplement moi
al-qaradawi n'est pas un sage de l'islam , c'est un pseudo sage célébre dans le monde des médias. les grands sages de l'islam ont prévenus tout musulman de son mal . il appartiens au groupe des ikhouanites qui veulent unir les musulmans sans une base du coran et de sounna, leur slogan c'est said kotb et hasen elbana et compagnie..., leur solution, une union sur ce qui peut nous unir et pardonné ce qui fait notre divergence (ça veut dire grosso modo, croire une moitier du livre et renier une autre comme c'est le cas des perdants), tous ce qu'ils veulent c'est le pouvoir et semé le mal sur la terre.
aujourd'hui malheureusement pour ma nation, les vrais sages de l'islam passent inaperçus.
John a écrit :Ce que j'ai compris c'est que la masturbation feminine a un risque sur la virginite de la fille.
Je pense que c'est vrai.
Le remede pour le desir sexuel chez l'homme et la femme en islam c'est de se marier et si ce n'est possible alors jeuner (Sawm ) et faire la priere.
Eh bien tu n'as lu que ce qui t'a convenu
Il dit clairement que la masturbation masculine... est MOINS RISQUEE et ce pour la raison que ce soit.
Et l'implication va plus loin en accusant les films et autres "occidentalités" de provoquer cette excitation féminine...aboutissant a une masturbation... et en préconisant qu'elles doivent se limiter a des actions... dont les hommes ne se privent pas : c'est cela le fond du discours, l'acte sexuel n'étant que la partie visible de l'iceberg...
aujourd'hui malheureusement pour ma nation, les vrais sages de l'islam passent inaperçus.
Si Hassan Al Bana... fondateur des Frères musulmans... est ta référence...
Si tu trouves que l'auteur de ce discours sur la masturbation n'est pas crédible... il faudrait peut être alors l'expliquer a ceux qui l'ont mis là ou il est.
Simplement moi a écrit :
Si Hassan Al Bana... fondateur des Frères musulmans... est ta référence...
Si tu trouves que l'auteur de ce discours sur la masturbation n'est pas crédible... il faudrait peut être alors l'expliquer a ceux qui l'ont mis là ou il est.
simplement moi
les ikhouanites sont les fréres musulmans dont vous parlez, leur cheikh est hasane el bana.
ne vous inquiétez pas , tout est expliqué sur cette terre , c'est la reconnaissance qui manque.
je te renvoies a un autre post parlant de femmes en burka interviewées
A la question "trouves tu qu tu es libre ?" la femme en burka répons "pourquoi tu poses cette question dans une pièce ou il y a des hommes ?" - tout est dit !!
mickael__keul a écrit :je te renvoies a un autre post parlant de femmes en burka interviewées
A la question "trouves tu qu tu es libre ?" la femme en burka répons "pourquoi tu poses cette question dans une pièce ou il y a des hommes ?" - tout est dit !!
Je ne sais plus... mais j'ai entendu exactement la même réponse dans un reportage sur le Yemen et les femmes vu.. sur FR3 récemment.
Elle se prénomme Amina.
Elle est âgée de 25 ans. Depuis 9 ans, elle est en prison, accusée d'avoir tué son mari. Alors que tout indique que le coupable serait un cousin.
Cette tragédie, illustre bien qu'au Yémen, les femmes ont toujours moins de droits que les hommes, même si la constitution proclame le contraire. Une réalisatrice yéménite, Khadija al Salami, a choisi de raconter son histoire. Mariée, comme elle, de force à l'âge de 11 ans, elle est parvenue à rencontrer Amina et lui consacre un documentaire.
Sachant que ce film n'avait aucune chance d'être diffusé à la télévision yéménite, elle a choisi de le projeter elle-même dans différentes villes du pays.
Pour que les choses changent au Yémen, pour faire comprendre aux hommes que le bonheur des femmes est aussi le leur, que leur donner l'égalité serait bénéfique à tout le monde et parvenir, enfin, à ce que la loi soit plus forte que la tradition.
Durant quelques jours, nous avons donc suivi Khadija alors qu'elle présentait pour la première fois son film dans son pays. Au fil des projections, nous avons ainsi rencontré et écouté des femmes courageuses. Elles nous ont montré que si le voile recouvre le visage, il ne recouvre pas toujours la parole et qu'en dépit des obstacles, les femmes yéménites ne se résument pas à ces« fantômes noirs » que l'on décrit si souvent.