En Egypte... on est très tendre

[Simplement moi]

Petites aides a l'aveu
http://www.youtube.com/watch?v=WqJyJSpWkrw

D'autres.... Images dures, s'abstenir de les regarder car chocantes

>


>


>
Comment faire avouer une femme....
http://www.youtube.com/watch?v=VhQRFz65M6s

http://www.youtube.com/watch?v=ngrVmM7sqT8

[IIuowolus]

Mise à part que ça se fait pas et pardon au famille tout ça...

C'est quand même des petits natures...
Tout est dans la tête, combien pleurent avant que les coup commence...
On est quand même loin de l'image de la torture psychologique ou physique que l'on se fait des interrogatoire.

Je me rapelle d'un amis qui me racontais son enfance c'était pas triste...
la guerre des boutons, c'était à coup de schtekre sur la gueule, la premier fois il s'est pisser dessus tellement il avait peur, les bataille de pive à coup de caillou. les paysans les chassait à coup de gros sel de leur terre.
et il était pas rare que ça soit le voisin ou une connaissance qui leur retourne une baffe.
A l'école c'était la régle et le cachot en maison de redressement le schtekre et chez les flic c'était les coup de poing dans la gueule et trois mois en isolement.

On pourrait croire que tout ça est fini, mais quand j'était petit moi c'était le tape tapis puis la cravache, la cave, un fois je me suis même ramasser un coup de poing dans la gueule les dent bougait par groupe de deux.
Des potes, c'était le ceinturon ou les humilations publique.

Et les flics sont pas en reste, un fois j'était appeller comme témoin dans un affaire ou une personne c'était suicider et j'était dans les dernières personne à l'avoir vu.
Pour me mettre en condition, il ont commencez par me dirent que c'était de ma fautes, logiquement j'ai dit tout la vérité sur ce qu'il s'était passer.
et ensuite il m'on dit que c'était pas de ma faute alors qu'il le savait depuis le début, mais le traumatisme psychologique était là.

la dernière fois c'était il y a 5 ans, le cousin d'un pote fessait des braquages à mains armé, les flics l'on arrêter, il c'est foutu de leur gueule
alors il l'on tabasser au point qu'il avait le visage en sang, tumefier etc..
il l'on garder au secret et personne n'en aurais rien su et personne ne l'aurais cru si un autre potes l'avait pas croiser dans les couloirs en allant déposer une plainte.

Un autre fois c'est un flic qui me fessait une strangulation parce que je voulais m'assoir et lui ne voulait pas, il a finalement arrêter quand je lui ai dit d'une fois étrangler qu'il pouvait me tuer j'en avais rien à foutre...
la il s'est rendu compte jusqu'ou il était aller après il voulait plus me voir.

On peut aussi se demander lutiliter des bottin de téléphone dans des salles d'interrogatoire il n'y a pas de téléphone...

Bref les ripoux, comme les hommes qui battent les femmes,
y'en a partout et surtout pas chez soi...

[Simplement moi]

Mise à part que ça se fait pas et pardon au famille tout ça...

..../.....

On peut aussi se demander lutiliter des bottin de téléphone dans des salles d'interrogatoire il n'y a pas de téléphone...

Bref les ripoux, comme les hommes qui battent les femmes,
y'en a partout et surtout pas chez soi...

Je n'ai jamais dit qu'il y avait exclusivité égyptienne en la matière...LOIN S'EN FAUT !!!

Certains regrettent en Espagne par exemple l'époque bénie du franquisme ou l'on avait bien plus de "liberté d'expression corporelle" dans les rangs "uniformés" et que plus d'affaires se solutionnaient vite ....avec un taux de récidive... proche de zéro.

Je l'ai mis car selon certains seul l'occident dépravé serait coutûmier de ces pratiques "non pacifiques".

[IIuowolus]

Je l'ai mis car selon certains seul l'occident dépravé serait coutûmier de ces pratiques "non pacifiques".

Gamins...

[Filter Flash]

l'être humain est une belle saloperie...

[IIuowolus]

l'être humain est une belle saloperie...

C'est pas lui c'est sont ressentis de la réalité, ya un trés bonne expérience là dessus avec un type qui doit électrocutés un patient
qui doit répondre à des questions...
Pour finir les gens tester envoyait des 300V à 500V uniquement sous
pretexte que c'était le but de l'expérience et qu'il était obligé.