Dans la ville natale de l'évadé, la "Délivrance"

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Nickie

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Dans la ville natale de l'évadé, la "Délivrance"

Ecrit le 04 mai04, 02:38

Message par Nickie »

Une preuve que "de bonnes choses peuvent ressortir de situations terribles".

Un fait moderne et vécu tiré d'un article de journal en date de l'année 2004.




Dans la ville natale de l'évadé, la Délivrance
Texte original par: ANDREW JACOBS
Traduction par: Cocotte

Publié: Le 4 de mai, 2004



ACON, Miss., le 3 mai - En fin de tout, les gens de cette communauté profondément religieuse disent, les brigades de prières d'allentour-le-l'horloge et les semaines de soirées de vigiles à la chandelles ont payés.

Pour les résidents ici, la nouvelle que Thomas Hamill, un contrateur civil âgé de 43 ans de Macon, dimanche, a piché un "bee-line" en dehors de sa captivité de par les insurgents Iraqi, jusque dans les bras d'une patrouille militaire Américaine qui s'adonnait à passer par là était la preuve qu'une puissance supérieure avait écouté aux supplications de la ville.

"C'est comme si Dieu lui aurait ouvert la porte et lui avait montré la sortie," a dit Jerry Britt, un ami qui avait gardé compagnie avec la famille de M. Hamill au cours des 23 journées atroces pendant lesquelles il fut détenue captif.

Après des semaines de nouvelles décourageantes sortant d'Iraq, incluant la découverte des corps de quatre autres employés de la Halliburton dans une fausse peu profonde, la rescousse de Mr. Hamill fut accueilli avec un soupire de soulagement de la part de la nation Américaine et un spit d'étourdissement en tant que couverture télé-médiatique.

Ici à Macon, un ville de 3,100 âmes près des lignes d'Alabama, les gens claksonnaient avec joie au coeur, la brigade de pompiers volontaires a drappé la maison du père de M. Hamill avec un gigantèsque drapeu Américain, et la Mairesse Dorothy Baker Hines a annoncé que la communauté tiendrait un fête de bon retour "qui n'en finira plus." Au delà de deux douzaine de congrégations religieuses sont retrouvées ici, et tout le monde, ça semblerait, participèrent dimanche dernier aux services d'action de grâce.

"Je savais que d'une manière il reviendrait," a dit Vera Hamill la grand-mère de M. Hamill qui est âgée de 92 ans. "Je l'ai juste ressenti dans mon coeur que ça semple toujours pire et que Dieu fait toujours en sorte que tout soit pour le bien."

Avant de se rendre en Allemagne lundi matin pour rencontrer son époux à une hôpital militaire, Kellie Hamill, parlant les larmes aux yeux, a décrite l'appel téléphonique qu'elle reçu a 5:30 a.m. dimanche matin l'informant de son évasion.

"C'est le meilleur appel de réveille que j'aie jamais reçu," dit-elle.

Un laitier luttant pour se sortir de l'endettement, M. Hamill se rendit travailler en Iraq pour une subdivision de la Halliburton à l'été dernier, attiré par le prospect d'un salaire sans taxe de $80,000.

La job, conduisant un camion citerne entre Baghdad et Falluja, fut largement sans évènements jusqu'au 9 avril, lorsque son convoie fut attaqué et que lui et six autres contracteurs Américains furent pris en tant qu'otages. Une équipe de télivision Australienne l'on vidéotapé assis à l'arrière d'une auto qui était conduise par ses kidnappers, qui avaient dit qu'il le tuerait à moins que les forces Américaines termineraient leur état de siège de Falluja.

Deux soldats furent également saisie lors de l'attaque. La dépouille de l'un d'eux, Sergeant Elmer Krause, fut identifiée le 23 avril; l'autre, Privé Keith M. Maupin, manque encore à l'appel, tout autant que deux des six autres contrateurs.

En premier, le lieutenant Joe Merrill, un membre de la patrouille militaire qui a découvert M. Hamill qui courrait au travers un champ et qui branlait sa chemise au-dessus de sa tête, a pensé initiallement qu'il était un fermier Iraqi qui requièrait l'assistance auprès de l'unité. Mais "il était entrain de crier, ' Je suis un Américain, je suis un Américain, ' " a dit le lieutenant Merril lors d'une conférence de presse à Baghdad.

Au cours de ses trois semaine sous la lumière nationale, cette communauté où les résidents noirs et blancs l'entremêlent que rarement, se sont unies pour prier pour le retour sécuritaire de M. Hamill.

Les commerçants des deux races ont orné les devant de leurs boutiques sur la rue South Jefferson avec des rubans jaunes, et les églises locales ont organisé des relais de prières, assigant ainsi des crénaux aux monde de chacunes des congrégations. À chaque soir après l'aube, un group bi-racial sur le parterre de la Cours du Conté de Noxubee pour chanter des louanges et y allumer des chandelles.

Pourtant, il y a mésentente sur comment longtemps encore y perdurera l'harmonie. Macon, qui est à 70 pourcent noir, envoie encore ses enfants à de différentes écoles secondaire: les noirs vont à Noxubee County High, et les blancs à Central Academy, une école privée. À 506 Fashion, Samanth LaGrone, la propriétaire de la boutique, qu'elle n'est pas convaincue que les trois semaines de range, de prière et de délivrance à Macon se traduirait en une unité inter-raciale à long-terme. Bienque Mme LaGrone a récemment devenu "le premier noir" à déménager sur une rue entièrement blanche (all-white street), elle a dit qu'elle n'a pas encore reçue une visite sociale d'aucuns de ses nouveaux voisins.

"Je pense que celà est merveilleux comment tout le monde se sont unis," dit-elle. "Mais pour vous dire la vérité, aussitôt que Tommy Hamill sera de retour et que les parades seront terminées, ça va revenir à la façon que c'était."

Pas tout le monde en est si certain. "Ça été une expérience merveilleuse pour nos enfants de voir tout le monde se retourver," a dit Betty Bell, qui appartient, avec son époux, une pharmacie locale. "C'est dans des circonstances comme celles-ci que vous rendez grâce de vivre dans une petite communauté aux liens serrés."

Annie Hunter, qui comme Mme Bell est une blanche et qui opère le magasin de valeur, a dit encorraller toutes les client qui rentraient pour se joindre à elle en prière. "Je me fichais s'ils étaient noirs ou blancs, jeunes ou vieux, nous prierions ensemble," a dit Mme Hunter qui est âgée de 76 ans, assise dans une chaise berçante avec une Bible à la main et de la musique Chrétienne déversant de la radio. "Celà nous prouve que chacun de nous sommes servie par un puissant Dieu et que de bonnes choses peuvent ressortir de situations terribles.

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