l'avis des musulmans de France sur l'excision
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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l'avis des musulmans de France sur l'excision
Ecrit le 10 août07, 23:40Bonjour,
j'aimerais avoir l'avis des musulmans de France sur cette pratique répandue dans le monde musulman.
j'aimerais avoir l'avis des musulmans de France sur cette pratique répandue dans le monde musulman.
- Al-Gazhali
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Re: l'avis des musulmans de France sur l'excision
Ecrit le 11 août07, 00:37Moi je suis contre, d'ailleur comme ma religion, l'excision pratique tradionnel pas seulement en pays musulmans.kursbuch a écrit :Bonjour,
j'aimerais avoir l'avis des musulmans de France sur cette pratique répandue dans le monde musulman.
Re: l'avis des musulmans de France sur l'excision
Ecrit le 11 août07, 00:37L’excision n’a aucun rapport avec l’Islamkursbuch a écrit :Bonjour,
j'aimerais avoir l'avis des musulmans de France sur cette pratique répandue dans le monde musulman.
L’excision est une pratique qui consiste à dénaturer la création de Dieu. Si Dieu a doté la femme de cet organe, c’est bel et bien pour une raison valable. On ne peut pas assimiler l’excision à la circoncision parce que, dans l’excision, il y a ablation d’organe génital ayant une fonction utile et importante, alors que la circoncision ne porte que sur la peau et non l’organe.
Le prophète a maudit celle qui dénature la création de Dieu par le tatouage, la chirurgie esthétique ou par tout autre moyen ou produit de pigmentation ou de transformation visant la forme, la couleur, la taille ou le sexe.
Allah a dit: «ô homme! Qu’est-ce qui t’a donc induit en erreur au sujet de ton Généreux Seigneur, qui t’a créé, puis modelé et constitué harmonieusement. Et quelle belle forme Il a bien voulu te donner.» Coran 82.6-8
Satan, le maudit, a juré d’inciter les fils d’Adam à la perversité, à la désobéissance et à des pratiques abjectes tendant à dénaturer et à travestir la création.
Ce n’est pas par hasard, sans doute, que le verset suivant, parlant de Satan, soit inclus dans la Sourate des femmes:
«Allah l’a maudit (le Diable) et celui-ci a dit: «Certainement, je prendrai un nombre déterminé de tes serviteurs, je les égarerai et je leur donnerai de faux espoirs; je leur donnerai un ordre et ils fendront les oreilles des bestiaux; je leur donnerai un ordre et ils altéreront la création de Dieu.» Coran 4.118,119
L’homme doit rester homme, la femme doit rester femme, toute tentative de transformation de nature sexuelle ou morphologique est d’inspiration satanique. L’excision de la femme n’est pas moins un acte de transformation de sa nature féminine, étant donné que l’ablation du clitoris lui enlève une partie plus ou moins importante de son désir sexuel. Elle modifie la sensibilité voire la prédisposition sexuelle de la femme telle que créée et voulue par Dieu.
Or, la deuxième raison d’interdiction de l’excision est liée à l’acte de transformation sexuelle.
La troisième raison d’interdiction tient aux souffrances occasionnées par cette pratique. Si l’Islam a interdit de faire souffrir les animaux, il n’est pas admissible qu’il ait toléré la souffrance pour les humains. L’excision, outre le fait qu’elle peut causer la stérilité ou la mort par l’hémorragie ou l’infection, elle engendre des souffrances atroces qui peuvent durer des mois, peut-être même des années en cas d’infection.
d) L’excision est une forme de castration qui peut entraîner la stérilité de la femme. Or tout acte qui empêche la procréation sans raison valable est un péché du fait qu’il va à l’encontre de la volonté de Dieu. De surcroît, la castration est une pratique interdite en Islam.
e) L’excision est une innovation (bid’a) rejetée par l’Islam.L’excision est une pratique introduite en Islam par les africains convertis à cette religion. Il s’agit en conséquence d’une impureté que l’Islam rejette parce que ni le Prophète Mohammed (psl) ni ses compagnons ne l’avaient pratiquée. le Prophète (psl) a dit:
«Suivez ma tradition et celle des Califes successeurs après moi.» Et il a dit :
«Toute chose étrangère à notre religion est rejetée.»
L’excision est une ‘bid’a’ et la bid’a, selon un hadith, est un égarement et tout égarement au feu.
Eu égard à ce qui précède, il apparaît clairement que l’excision est un péché vu les dangers que cela comporte, à savoir: l’hémorragie, l’infection, la stérilité, la douleur, l’extinction du désir sexuel de la femme, l’altération de la création divine.
Re: l'avis des musulmans de France sur l'excision
Ecrit le 11 août07, 00:50Comment se fait-il qu'elle se pratique dans tant de pays musulmans ? Par manque d'information ?abdel19 a écrit : L’excision n’a aucun rapport avec l’Islam
L’excision est une pratique qui consiste à dénaturer la création de Dieu. Si Dieu a doté la femme de cet organe, c’est bel et bien pour une raison valable. On ne peut pas assimiler l’excision à la circoncision parce que, dans l’excision, il y a ablation d’organe génital ayant une fonction utile et importante, alors que la circoncision ne porte que sur la peau et non l’organe.
Le prophète a maudit celle qui dénature la création de Dieu par le tatouage, la chirurgie esthétique ou par tout autre moyen ou produit de pigmentation ou de transformation visant la forme, la couleur, la taille ou le sexe.
Allah a dit: «ô homme! Qu’est-ce qui t’a donc induit en erreur au sujet de ton Généreux Seigneur, qui t’a créé, puis modelé et constitué harmonieusement. Et quelle belle forme Il a bien voulu te donner.» Coran 82.6-8
Satan, le maudit, a juré d’inciter les fils d’Adam à la perversité, à la désobéissance et à des pratiques abjectes tendant à dénaturer et à travestir la création.
Ce n’est pas par hasard, sans doute, que le verset suivant, parlant de Satan, soit inclus dans la Sourate des femmes:
«Allah l’a maudit (le Diable) et celui-ci a dit: «Certainement, je prendrai un nombre déterminé de tes serviteurs, je les égarerai et je leur donnerai de faux espoirs; je leur donnerai un ordre et ils fendront les oreilles des bestiaux; je leur donnerai un ordre et ils altéreront la création de Dieu.» Coran 4.118,119
L’homme doit rester homme, la femme doit rester femme, toute tentative de transformation de nature sexuelle ou morphologique est d’inspiration satanique. L’excision de la femme n’est pas moins un acte de transformation de sa nature féminine, étant donné que l’ablation du clitoris lui enlève une partie plus ou moins importante de son désir sexuel. Elle modifie la sensibilité voire la prédisposition sexuelle de la femme telle que créée et voulue par Dieu.
Or, la deuxième raison d’interdiction de l’excision est liée à l’acte de transformation sexuelle.
La troisième raison d’interdiction tient aux souffrances occasionnées par cette pratique. Si l’Islam a interdit de faire souffrir les animaux, il n’est pas admissible qu’il ait toléré la souffrance pour les humains. L’excision, outre le fait qu’elle peut causer la stérilité ou la mort par l’hémorragie ou l’infection, elle engendre des souffrances atroces qui peuvent durer des mois, peut-être même des années en cas d’infection.
d) L’excision est une forme de castration qui peut entraîner la stérilité de la femme. Or tout acte qui empêche la procréation sans raison valable est un péché du fait qu’il va à l’encontre de la volonté de Dieu. De surcroît, la castration est une pratique interdite en Islam.
e) L’excision est une innovation (bid’a) rejetée par l’Islam.L’excision est une pratique introduite en Islam par les africains convertis à cette religion. Il s’agit en conséquence d’une impureté que l’Islam rejette parce que ni le Prophète Mohammed (psl) ni ses compagnons ne l’avaient pratiquée. le Prophète (psl) a dit:
«Suivez ma tradition et celle des Califes successeurs après moi.» Et il a dit :
«Toute chose étrangère à notre religion est rejetée.»
L’excision est une ‘bid’a’ et la bid’a, selon un hadith, est un égarement et tout égarement au feu.
Eu égard à ce qui précède, il apparaît clairement que l’excision est un péché vu les dangers que cela comporte, à savoir: l’hémorragie, l’infection, la stérilité, la douleur, l’extinction du désir sexuel de la femme, l’altération de la création divine.
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Re: l'avis des musulmans de France sur l'excision
Ecrit le 11 août07, 04:06Oui par manque d'information.kursbuch a écrit : Comment se fait-il qu'elle se pratique dans tant de pays musulmans ? Par manque d'information ?
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Re: l'avis des musulmans de France sur l'excision
Ecrit le 11 août07, 06:47c'est dans les pays d'afrique noire, ces personnes n'ont pas abandonnée leur ancienne coutume paienne, il y a meme encor des personne qui font de la sorcellerie, des marabou,.....kursbuch a écrit :
Comment se fait-il qu'elle se pratique dans tant de pays musulmans ? Par manque d'information ?
alors que tous ca est interdi en islam
Re: l'avis des musulmans de France sur l'excision
Ecrit le 11 août07, 07:25Cette pratique est répandue en Egypte il y a encore une fillette qui en est morte il y a quelques jours...abdel19 a écrit : c'est dans les pays d'afrique noire, ces personnes n'ont pas abandonnée leur ancienne coutume paienne, il y a meme encor des personne qui font de la sorcellerie, des marabou,.....
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Ecrit le 11 août07, 08:27
Umm Atiyyah al-Ansariyyah rapporte :
Une femme avait l’habitude d’exécuter la circoncision à Médine. Le Prophète (paix soit sur lui) dit à elle : Ne coupez pas sévèrement car c’est meilleur pour une femme et plus agréable pour un mari. Enregistré par Abu Dawood, authentifié par Al Albani.
Dans ce hadith certifié authentique, la circoncision de la femme est permise par Mohammed, à condition que la circoncision ne soit pas faite de manière exagérée. Probablement Mohammed veut indiquer que l’ablation ne doit pas être complète ou proche d’être complète, mais partielle.
Ecrit le 11 août07, 08:41
Les mutilations sexuelles féminines seraient pratiquées dans toute l'Egypte par les musulmans et les chrétiens. Selon l'OMS, cette pratique touchait 97 % des femmes en 1995. L'excision est la méthode la plus répandue alors que l'infibulation serait pratiquée dans les régions du sud de l'Egypte à proximité du Soudan. Toutefois, l'UIP ne dispose pas de statistiques officielles directes ni d'autres détails à ce sujet.
Législation :
Aucune loi pénale particulière n'interdit la pratique des mutilations sexuelles féminines. Toutefois, l'approbation et/ou l'exécution d'une mutilation sexuelle féminine constitue une violation de l'article 240 d'une loi pénale égyptienne, toujours en vigueur, qui dispose que "toute personne qui cause un dommage corporel à une autre personne ou qui la frappe de telle sorte qu'elle suspend, interrompt ou entrave la fonction d'un de ses organes, ou provoque sa cécité, sera punie d'une peine de 3 à 5 ans d'emprisonnement.
Si cet acte est commis plusieurs fois intentionnellement, la peine sera de 3 à 10 ans de travaux forcés". Un décret ministériel de 1959 interdisait les mutilations sexuelles féminines sous peine d'amende ou d'emprisonnement. Des changements ont été apportés à ce décret au cours des années.
Une série de décrets ministériels publiés par la suite autorisait certaines formes de mutilations sexuelles féminines, mais en interdisait d'autres. A un certain moment, il était aussi interdit aux médecins de pratiquer des mutilations sexuelles féminines dans les services publics de santé, et au personnel non médical de pratiquer ces mutilations.
En 1994 le ministre de la santé a pris un décret prévoyant que les mutilations sexuelles féminines ne pourraient être pratiquées qu'un jour par semaine dans les services publics uniquement par des membres du personnel médical qualifiés, et seulement s'ils ne réussissent pas à persuader les parents de renoncer à ces pratiques. Toutefois, ce décret a été abrogé par la suite (1995) à la suite de protestations internationales déplorant la médicalisation de ces pratiques.
En 1996, le Ministre de la santé et de la population a pris le décret N° 261 interdisant finalement ces pratiques sauf sur indications médicales, et uniquement avec l'accord d'un obstétricien qualifié. Le décret indiquait ce qui suit : "Il est interdit de pratiquer l'excision que ce soit dans les hôpitaux ou les établissements médicaux publics ou privés.
Cette pratique n’est admise qu'en cas de maladie et avec l'accord du chef du service d'obstétrique et de gynécologie à l'hôpital, et sur proposition du médecin traitant. L'exécution de cette opération dans d'autres conditions est considérée comme une violation des lois régissant la profession médicale.
Cette opération ne peut être pratiquée par du personnel non médical."Ce décret interdit aux médecins de pratiquer des mutilations sexuelles féminines dans des centres publics ou des établissements privés (sous peine de sanctions administratives). Toutefois, ce décret n'empêchait pas légalement de pratiquer des mutilations sexuelles féminines à domicile par un médecin ne relevant pas du secteur public.
Ce décret a été contesté devant les tribunaux par les fondamentalistes et médecins islamistes favorables à cette pratique. Le 24 juin 1997, un tribunal administratif a annulé le décret, qu'il a jugé anticonstitutionnel.
Toutefois, en décembre 1997, la validité du décret a été reconnue par la Haute Cour administrative de l’Egypte avec pour conséquence que, même en l’absence d’une loi pénale proprement dite contre les MSF, celles-ci sont proscrites en Egypte.
Structure opérationnelle :
Dans le cadre de la Direction de la Population du Ministère de la Santé et de la Population, une campagne a été lancée contre les MSF pour sensibiliser les chefs traditionnels des zones rurales aux dangers des MSF.
Autres informations : Les dirigeants religieux et les médias publics égyptiens organisent des campagnes pour faire comprendre aux populations que les MSF ne sont pas prescrites par les religions et pour les sensibiliser aux incidences néfastes des MSF sur la santé des filles et des femmes.
propagande ? désinformation? inventions? je m'attend a tout avec salah al din
Législation :
Aucune loi pénale particulière n'interdit la pratique des mutilations sexuelles féminines. Toutefois, l'approbation et/ou l'exécution d'une mutilation sexuelle féminine constitue une violation de l'article 240 d'une loi pénale égyptienne, toujours en vigueur, qui dispose que "toute personne qui cause un dommage corporel à une autre personne ou qui la frappe de telle sorte qu'elle suspend, interrompt ou entrave la fonction d'un de ses organes, ou provoque sa cécité, sera punie d'une peine de 3 à 5 ans d'emprisonnement.
Si cet acte est commis plusieurs fois intentionnellement, la peine sera de 3 à 10 ans de travaux forcés". Un décret ministériel de 1959 interdisait les mutilations sexuelles féminines sous peine d'amende ou d'emprisonnement. Des changements ont été apportés à ce décret au cours des années.
Une série de décrets ministériels publiés par la suite autorisait certaines formes de mutilations sexuelles féminines, mais en interdisait d'autres. A un certain moment, il était aussi interdit aux médecins de pratiquer des mutilations sexuelles féminines dans les services publics de santé, et au personnel non médical de pratiquer ces mutilations.
En 1994 le ministre de la santé a pris un décret prévoyant que les mutilations sexuelles féminines ne pourraient être pratiquées qu'un jour par semaine dans les services publics uniquement par des membres du personnel médical qualifiés, et seulement s'ils ne réussissent pas à persuader les parents de renoncer à ces pratiques. Toutefois, ce décret a été abrogé par la suite (1995) à la suite de protestations internationales déplorant la médicalisation de ces pratiques.
En 1996, le Ministre de la santé et de la population a pris le décret N° 261 interdisant finalement ces pratiques sauf sur indications médicales, et uniquement avec l'accord d'un obstétricien qualifié. Le décret indiquait ce qui suit : "Il est interdit de pratiquer l'excision que ce soit dans les hôpitaux ou les établissements médicaux publics ou privés.
Cette pratique n’est admise qu'en cas de maladie et avec l'accord du chef du service d'obstétrique et de gynécologie à l'hôpital, et sur proposition du médecin traitant. L'exécution de cette opération dans d'autres conditions est considérée comme une violation des lois régissant la profession médicale.
Cette opération ne peut être pratiquée par du personnel non médical."Ce décret interdit aux médecins de pratiquer des mutilations sexuelles féminines dans des centres publics ou des établissements privés (sous peine de sanctions administratives). Toutefois, ce décret n'empêchait pas légalement de pratiquer des mutilations sexuelles féminines à domicile par un médecin ne relevant pas du secteur public.
Ce décret a été contesté devant les tribunaux par les fondamentalistes et médecins islamistes favorables à cette pratique. Le 24 juin 1997, un tribunal administratif a annulé le décret, qu'il a jugé anticonstitutionnel.
Toutefois, en décembre 1997, la validité du décret a été reconnue par la Haute Cour administrative de l’Egypte avec pour conséquence que, même en l’absence d’une loi pénale proprement dite contre les MSF, celles-ci sont proscrites en Egypte.
Structure opérationnelle :
Dans le cadre de la Direction de la Population du Ministère de la Santé et de la Population, une campagne a été lancée contre les MSF pour sensibiliser les chefs traditionnels des zones rurales aux dangers des MSF.
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