Parce que sans ce sacrifice tu seras incapable de te souvenir que Dieu est bon????Bonté-d'ALLAH a écrit : Se réjouir du sacrifice, demandé par dieu, C se souvenir de la miséricorde et de la bonté qu'il a fait part au prohpète Abraham.../...et nous perpetuons ce sacrifice pour ne pas oublier la bonté la miséricorde dieu a légard de notre grand prophète Abraham.....
Tu as besoin de voir souffrir et mourrir un animal pour épanouir ta mémoire??
Pfff! Dans n'importe quel abattoire les animaux souffrent. Dire que l'un est mieux que l'autre c'est complètement nul et aberrant!!!Bonté-d'ALLAH a écrit :C un honneur se sacrifice!!
http://www.reseaulibre.net/rage/rituel3.html
Il t'es donc facile de prouver ce que tu affirmes avec un lien!Bonté-d'ALLAH a écrit :autres chose, il est prouvé scientifiquement par tous les véto du monde que tuer une bete de cette manière est la moins douloureuse, la bete souffre moins, contrairement au mode d'abbatge occidentale,
C'est fou ce que vous aimez cette phrase: "il est prouvé scientifiquement" c'est tellement devenu banal si tu savais!!!
J'aimerais avoir tes commentaires toi et tes "frères" en islam de ce site...
http://www.geocities.com/abattagerituel/
clique sur SOMMAIRE, ensuite Dossier illustré
Voici un extrait, mais il serait mieux de le lire au complet...
J'ai mal au coeur...je ne mangerais plus de viande hallal...que cela plaise ou non à mon mari!!!La bête se débat, beaucoup de sang jaillit ; il coule partout, dans les yeux exorbités, dans les narines de l'animal, lequel tente de respirer en un râle impressionnant. La bouche se remplit d'écume, des spumosités salissent la trachée, la langue pend au dehors de la cavité buccale.
Cette lente agonie durera plus de quatre minutes. Puis, enfin, l'animal sera évacué du box rotatif et finira par perdre connaissance tout à fait. Alors, le suivant prendra place à son tour.
Ce qui est regrettable dans l'abattage musulman, c'est que le couteau n'a pas toujours la taille voulue en fonction de la grosseur du cou de l'animal et qu'il ne coupe pas toujours suffisamment. Dans ce cas, le sacrificateur cisaille la gorge avec son couteau, ce qui provoque des douleurs supplémentaires à l'animal.
Il convient aussi de rappeler qu'au moment du tranchage de la trachée artère et des carotides, le cerveau contient encore suffisamment de sang pour tenir. De plus, lors de la section, la moelle épinière n'est pas touchée : celle-ci contient une petite quantité de sang, donc de l'oxygène qui continu d'alimenter le cerveau par le bulbe rachidien. Ceci explique le fait que l'animal puisse vivre plusieurs minutes après un acte d'abattage rituel : il reste conscient, ressent la douleur, peut se relever et même courir durant la phase agonique. De plus, on peut observer la persistance d'un réflexe cornéen, lequel sert de critère pour la perte de conscience : .../...
Lors du tranchage de la gorge, l'œsophage est lui aussi sectionné. Du fait des réactions physiques de l'animal conscient et d'un stress maximal, la bête peut vomir. Les contenus de l'estomac appelés "bols alimentaires" ou "résidus stomacaux" contiennent beaucoup de bactéries, des parasites, du suc gastrique (acide). Lors de cette régurgitation, cette vomissure souille la plaie de la gorge tranchée, se mélange au sang expulsé et se répand sur les viandes du cou consommables appelées "collier" ou "chaînette". Le vomi peut également entrer dans la trachée artère de l'animal et ainsi passer dans le poumon, ce qui aura pour effet de contaminer la cage thoracique.