c'(2 Timothée 3:1-5) 3 Mais sache ceci : que dans les derniers jours des temps critiques, difficiles à supporter, seront là. 2 Car les hommes seront amis d’eux-mêmes, amis de l’argent, arrogants, orgueilleux, blasphémateurs, désobéissants à l’égard de [leurs] parents, ingrats, sans fidélité, 3 sans affection naturelle, sans esprit d’entente, calomniateurs, sans maîtrise de soi, cruels, sans amour du bien, 4 traîtres, entêtés, gonflés [d’orgueil], amis des plaisirs plutôt qu’amis de Dieu, 5 ayant une forme d’attachement à Dieu, mais trahissant sa puissance ; et de ceux-là détourne-toi [...]
est là un signe des temps le rejet des valeurs.
surtout le verset 5 ayant une forme d’attachement à Dieu, mais trahissant sa puissance .
SELON un sondage effectué en 1994, 96 % des Américains “ croient en Dieu ou en un esprit universel ”. Par ailleurs, il y a “ plus d’églises par habitant aux États-Unis que dans tout autre pays sur la terre ”, lisait-on dans U.S.News & World Report. Malgré ces apparences de dévotion, George Gallup, un statisticien de longue date, déclare : “ Chose surprenante, la plupart des Américains ne savent pas quelles sont leurs croyances ni pourquoi ils croient. ”
Les statistiques révèlent également le large fossé qui existe entre les convictions religieuses de nombreuses personnes et leur comportement. Par exemple, “ les sociologues constatent que certaines des régions du pays où le taux de criminalité est le plus élevé sont aussi des endroits où la croyance et la pratique religieuses sont les plus fortes ”, fait remarquer l’auteur Jeffery Sheler.
Cela ne devrait pas nous étonner, car, déjà au Ier siècle, l’apôtre Paul avait mis en garde ses compagnons chrétiens contre ceux qui “ déclarent publiquement qu’ils connaissent Dieu, mais [qui] le renient par leurs œuvres ”. (Tite 1:16.)