la cité du Vatican & le dirigeant d'un État
Depuis 1929, les gouvernements considèrent le pape de Rome comme le dirigeant d'un État souverain distinct, la cité du Vatican. C'est pourquoi l'Église catholique romaine est la seule organisation religieuse habilitée à envoyer des représentants diplomatiques, les nonces, auprès des différents gouvernements du monde (Jean 18:36). On décerne au pape de nombreux titres, tels Vicaire de Jésus Christ, Successeur du Prince des Apôtres, Pontife suprême de l'Église universelle, Patriarche d'Occident, Primat d'Italie, Souverain de l'État de la Cité du Vatican. On le déplace en grande pompe, et on lui assigne les mêmes honneurs qu'à un chef d'État.
[Catholique] la cité du Vatican & le dirigeant d'un Éta
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Ecrit le 11 nov.03, 02:55- Georges_09
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Re: [Catholique] la cité du Vatican & le dirigeant d'un Éta
Ecrit le 18 juin13, 03:17Le pape François veut des chrétiens "révolutionnaires"
Le pape François a souhaité lundi 17 juin, dans une des homélies les plus radicales qu'il ait jamais prononcées, que les chrétiens "révolutionnaires" propagent l'Évangile par leur "témoignage". "Aujourd'hui, un chrétien, s'il n'est pas révolutionnaire, n'est pas chrétien !"a lancé le pape argentin aux milliers de participants du Congrès ecclésial du diocèse de Rome. Au cours d'une intervention haute en couleur, le pape a notamment fustigé les communautés chrétiennes "fermées".
Dans la grande Salle Paul VI, au Vatican, le pape François a prêché pendant une demi-heure, debout, parfois grave et parfois blagueur. "Je ne comprends pas les communautés chrétiennes qui sont fermées", a confié le pape avant de s'exclamer : "Dans l'Évangile, il est beau le passage qui nous raconte que le berger revient et s'aperçoit qu'il lui manque une de ses 99 brebis et part la chercher... Frères et soeurs, mais nous en avons une seule, il nous en manque 99 !". "Nous devons demander au Seigneur la générosité, le courage et la patience pour sortir et annoncer l'Évangile", a poursuivi le pape, reconnaissant que c'était "difficile".
"Il est plus facile de rester à la maison avec notre unique brebis, pour la brosser et la caresser, mais nous les prêtres et tous les chrétiens, le Seigneur veut que nous soyons des pasteurs, pas des brosseurs de brebis." "Il y a eu beaucoup de révolutionnaires dans l'histoire, mais aucun n'a eu la force de la révolution apportée par Jésus, une révolution (...) qui change en profondeur le coeur de l'homme", a encore affirmé le pape face à une salle d'audiences noire de monde et enthousiaste. "Dans l'histoire, les révolutions ont changé les systèmes politiques, économiques, mais aucune n'a vraiment modifié le coeur de l'homme", a relevé le pape avant de soutenir que "la vraie révolution, celle qui transforme complètement la vie", avait été "accomplie" par Jésus.
Citant son prédécesseur Benoît XVI, le pape François a alors assuré que cette révolution était "la plus grande mutation de l'histoire de l'humanité". Au cous de cette longue improvisation, le pape a également fustigé les "chrétiens découragés" dont "on se demande s'ils croient au Christ ou en la déesse des plaintes". Assurant que "le monde n'est pas pire qu'il y a cinq siècles", le pontife s'est moqué de ceux qui se plaignent de la jeunesse d'aujourd'hui en disant : "ah les jeunes !"
Le pape François a souhaité lundi 17 juin, dans une des homélies les plus radicales qu'il ait jamais prononcées, que les chrétiens "révolutionnaires" propagent l'Évangile par leur "témoignage". "Aujourd'hui, un chrétien, s'il n'est pas révolutionnaire, n'est pas chrétien !"a lancé le pape argentin aux milliers de participants du Congrès ecclésial du diocèse de Rome. Au cours d'une intervention haute en couleur, le pape a notamment fustigé les communautés chrétiennes "fermées".
Dans la grande Salle Paul VI, au Vatican, le pape François a prêché pendant une demi-heure, debout, parfois grave et parfois blagueur. "Je ne comprends pas les communautés chrétiennes qui sont fermées", a confié le pape avant de s'exclamer : "Dans l'Évangile, il est beau le passage qui nous raconte que le berger revient et s'aperçoit qu'il lui manque une de ses 99 brebis et part la chercher... Frères et soeurs, mais nous en avons une seule, il nous en manque 99 !". "Nous devons demander au Seigneur la générosité, le courage et la patience pour sortir et annoncer l'Évangile", a poursuivi le pape, reconnaissant que c'était "difficile".
"Il est plus facile de rester à la maison avec notre unique brebis, pour la brosser et la caresser, mais nous les prêtres et tous les chrétiens, le Seigneur veut que nous soyons des pasteurs, pas des brosseurs de brebis." "Il y a eu beaucoup de révolutionnaires dans l'histoire, mais aucun n'a eu la force de la révolution apportée par Jésus, une révolution (...) qui change en profondeur le coeur de l'homme", a encore affirmé le pape face à une salle d'audiences noire de monde et enthousiaste. "Dans l'histoire, les révolutions ont changé les systèmes politiques, économiques, mais aucune n'a vraiment modifié le coeur de l'homme", a relevé le pape avant de soutenir que "la vraie révolution, celle qui transforme complètement la vie", avait été "accomplie" par Jésus.
Citant son prédécesseur Benoît XVI, le pape François a alors assuré que cette révolution était "la plus grande mutation de l'histoire de l'humanité". Au cous de cette longue improvisation, le pape a également fustigé les "chrétiens découragés" dont "on se demande s'ils croient au Christ ou en la déesse des plaintes". Assurant que "le monde n'est pas pire qu'il y a cinq siècles", le pontife s'est moqué de ceux qui se plaignent de la jeunesse d'aujourd'hui en disant : "ah les jeunes !"
"Rien n'est plus dangereux au monde que la véritable ignorance et la stupidité consciencieuse".
Martin Luther King
Martin Luther King
Re: [Catholique] la cité du Vatican & le dirigeant d'un Éta
Ecrit le 05 juil.13, 23:20Sujet typiquement catholique 
Ce sont les "accords du Latran", du 11 février 1929, signés au palais du Latran entre l'État italien par la volonté de Mussolini, et le Saint-Siège, contraint et forcé.

Ce sont les "accords du Latran", du 11 février 1929, signés au palais du Latran entre l'État italien par la volonté de Mussolini, et le Saint-Siège, contraint et forcé.
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