Hypocrites que nous sommes!!!
Nous lavons le dehors mais au-dedans de nous qu'y a t-il? Des ossements, oui une tombe, oui des ténébres!!!
Car le coeur de ce peuple est devenu insensible;
Ils ont endurci leurs oreilles, et ils ont fermé leurs yeux,
De peur qu'ils ne voient de leurs yeux, qu'ils n'entendent de leurs oreilles,
Qu'ils ne comprennent de leur coeur,
Qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse.
:P Mais heureux sont vos yeux, parce qu'ils voient, et vos oreilles, parce qu'elles entendent!
Ce peuple m'honore des lèvres en enseignants des préceptes qui ne sont que des commandements d'hommes!
Que le Ciel vous et nous aides!
Les enfants de ce siècles et les traditions humaines
- Luc Le petit
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Les enfants de ce siècles et les traditions humaines
Ecrit le 30 nov.03, 22:59- K-2000
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Les traditions désapprouvées
Ecrit le 17 déc.03, 12:01Les traditions désapprouvées, Une bonne raison d’être contre
Le mot grec paradosis signifie littéralement “ chose donnée à côté ”, et donc “ ce qui est transmis par la parole ou par écrit ”. (1Co 11:2, Int.) Dans les Écritures grecques chrétiennes, ce mot désigne tant les traditions qui constituaient un aspect convenable ou acceptable du vrai culte que les traditions erronées, ou encore observées ou considérées d’une manière qui les rendait nuisibles et inacceptables.
Les chefs religieux juifs avaient ajouté à la Parole écrite de nombreuses traditions orales qu’ils jugeaient indispensables au vrai culte. Lorsqu’il était Pharisien, avant de se convertir au christianisme, Paul (Saul) suivait avec un zèle exceptionnel les traditions du judaïsme. Ces dernières incluaient évidemment celles qui étaient acceptables et celles qui ne l’étaient pas. Mais le fait de suivre “ pour doctrines des commandements d’hommes ” l’amena à persécuter les chrétiens (Mt 15:9). Par exemple, les Pharisiens ‘ ne mangeaient pas sans s’être lavé les mains jusqu’au coude, tenant ferme la tradition des hommes d’autrefois ’. (Mc 7:3.) Pour eux, ce n’était pas une question d’hygiène, mais un rituel censé avoir un mérite religieux. Christ leur montra qu’ils n’avaient aucune raison de blâmer ses disciples parce que ces derniers n’observaient pas tous ces “ commandements d’hommes ” futiles, dont celui-là (Mt 15:1, 2, 7-11 ; Mc 7:4-8 ; Is 29:13). En outre, par leur tradition relative au “ qorbân ” (don voué à Dieu), les chefs religieux avaient annulé la Parole de Dieu et outrepassé le commandement divin. — Ex 20:12 ; 21:17 ; Mt 15:3-6 ; Mc 7:9-15
Le mot grec paradosis signifie littéralement “ chose donnée à côté ”, et donc “ ce qui est transmis par la parole ou par écrit ”. (1Co 11:2, Int.) Dans les Écritures grecques chrétiennes, ce mot désigne tant les traditions qui constituaient un aspect convenable ou acceptable du vrai culte que les traditions erronées, ou encore observées ou considérées d’une manière qui les rendait nuisibles et inacceptables.
Les chefs religieux juifs avaient ajouté à la Parole écrite de nombreuses traditions orales qu’ils jugeaient indispensables au vrai culte. Lorsqu’il était Pharisien, avant de se convertir au christianisme, Paul (Saul) suivait avec un zèle exceptionnel les traditions du judaïsme. Ces dernières incluaient évidemment celles qui étaient acceptables et celles qui ne l’étaient pas. Mais le fait de suivre “ pour doctrines des commandements d’hommes ” l’amena à persécuter les chrétiens (Mt 15:9). Par exemple, les Pharisiens ‘ ne mangeaient pas sans s’être lavé les mains jusqu’au coude, tenant ferme la tradition des hommes d’autrefois ’. (Mc 7:3.) Pour eux, ce n’était pas une question d’hygiène, mais un rituel censé avoir un mérite religieux. Christ leur montra qu’ils n’avaient aucune raison de blâmer ses disciples parce que ces derniers n’observaient pas tous ces “ commandements d’hommes ” futiles, dont celui-là (Mt 15:1, 2, 7-11 ; Mc 7:4-8 ; Is 29:13). En outre, par leur tradition relative au “ qorbân ” (don voué à Dieu), les chefs religieux avaient annulé la Parole de Dieu et outrepassé le commandement divin. — Ex 20:12 ; 21:17 ; Mt 15:3-6 ; Mc 7:9-15
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