Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
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Le bouddhisme est une pratique, une philosophie de vie fondée par un sage de l'inde antique vers -600 avant JC, ce sage appelé "Bouddha" ce qui veut dire Éveillé, atteint l'Éveil vers 40 ans puis il enseigna durant toute sa vie, il mourut vers 80 ans en ayant établi une communauté de sa doctrine.
Le bouddhisme est une pratique, une philosophie de vie fondée par un sage de l'inde antique vers -600 avant JC, ce sage appelé "Bouddha" ce qui veut dire Éveillé, atteint l'Éveil vers 40 ans puis il enseigna durant toute sa vie, il mourut vers 80 ans en ayant établi une communauté de sa doctrine.
Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 02:25Le directeur de la SGI-Espagne, élu président des communautés bouddhistes d’Espagne
Publié le vendredi 20 mai 2016 17:02
La Fédération des communautés bouddhistes d’Espagne (FCBE), organisée en commission de travail réunissant toutes les communautés espagnoles, s’est réunie en assemblée le 12 mars dernier et a élu son président en la personne d’Enrique Caputo Rivera, directeur général de la Soka Gakkai d’Espagne.
La promulgation de la loi organique relative à la liberté religieuse en Espagne, en 1980, a permis le développement législatif du principe de liberté religieuse et de culte consacré par la Constitution espagnole.
La décision de créer une fédération de communautés bouddhistes a été adoptée en 1990, par les représentants des communautés fondatrices. Cette fédération a été inscrite au registre des entités religieuses du ministère de la Justice, en 1995. La Fédération des communautés bouddhistes d’Espagne a intégré pour l’instant dix-huit communautés, au sein desquelles ont pu être créés des centres de pratique bouddhique.
Depuis sa création, la FCBE a oeuvré dans les communautés pour que les entités liées au bouddhisme en Espagne puissent s’épanouir dans le cadre légal et permettre aux personnes qui pratiquent le bouddhisme ou qui désirent le pratiquer de le faire dans les meilleures conditions. La FCBE participe activement à la commission de conseil pour la liberté religieuse et dépend du ministère de la Justice. Elle fait partie de l’Union bouddhiste européenne (UBE). Elle est en lien avec diverses entités telles les universités, participe aux forums socioculturels, aux dialogues interreligieux et contribue à l’aide humanitaire.
Enfin, la FCBE offre à toutes les personnes qui le désirent des informations sur le bouddhisme en Espagne.
Publié le vendredi 20 mai 2016 17:02
La Fédération des communautés bouddhistes d’Espagne (FCBE), organisée en commission de travail réunissant toutes les communautés espagnoles, s’est réunie en assemblée le 12 mars dernier et a élu son président en la personne d’Enrique Caputo Rivera, directeur général de la Soka Gakkai d’Espagne.
La promulgation de la loi organique relative à la liberté religieuse en Espagne, en 1980, a permis le développement législatif du principe de liberté religieuse et de culte consacré par la Constitution espagnole.
La décision de créer une fédération de communautés bouddhistes a été adoptée en 1990, par les représentants des communautés fondatrices. Cette fédération a été inscrite au registre des entités religieuses du ministère de la Justice, en 1995. La Fédération des communautés bouddhistes d’Espagne a intégré pour l’instant dix-huit communautés, au sein desquelles ont pu être créés des centres de pratique bouddhique.
Depuis sa création, la FCBE a oeuvré dans les communautés pour que les entités liées au bouddhisme en Espagne puissent s’épanouir dans le cadre légal et permettre aux personnes qui pratiquent le bouddhisme ou qui désirent le pratiquer de le faire dans les meilleures conditions. La FCBE participe activement à la commission de conseil pour la liberté religieuse et dépend du ministère de la Justice. Elle fait partie de l’Union bouddhiste européenne (UBE). Elle est en lien avec diverses entités telles les universités, participe aux forums socioculturels, aux dialogues interreligieux et contribue à l’aide humanitaire.
Enfin, la FCBE offre à toutes les personnes qui le désirent des informations sur le bouddhisme en Espagne.

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Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 06:27La sokka GakkaÏ est une secte très riche , on sait qu'ils ont au japon une influence politique énorme à coup de billets de banque et de corruption .
C'est un peu comme la scientologie mais en encore plus riche .
On sait que toutes ces sectes très riches réussissent à corrompre et à s'acheter une respectabilité .
En France par contre ils auront bien du mal , les observatoires contre les dérives sectaires les ont fortement à l'oeil .
C'est un peu comme la scientologie mais en encore plus riche .
On sait que toutes ces sectes très riches réussissent à corrompre et à s'acheter une respectabilité .
En France par contre ils auront bien du mal , les observatoires contre les dérives sectaires les ont fortement à l'oeil .
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 06:33Tu crois que les représentants des écoles bouddhiques en Espagne sont corrompus ? Trop drôle
Ainsi que le 1er Ministre Italien et le pape ?
Bonjour la théorie du complot paranoîaque .
En France c'est déjà en cours de changement t'inquiètes pas !

Bonjour la théorie du complot paranoîaque .

En France c'est déjà en cours de changement t'inquiètes pas !

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Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 18:45C'est plus bas qu'il y a corruption , le roi d'espagne n'y connait rien , il croit ce qu'on lui dit .Yvon a écrit :Tu crois que les représentants des écoles bouddhiques en Espagne sont corrompus ? Trop drôleAinsi que le 1er Ministre Italien et le pape ?
Bonjour la théorie du complot paranoîaque .![]()
En France c'est déjà en cours de changement t'inquiètes pas !
IL n'en a rien à foutre du bouddhisme en espagne .
A coup d'enveloppes sous la table , de promesses d''embauche pour le fiston de tel homme politique , quand on a une immense fortune on achète tout ce qu'on veut .
La sokka gakkaï l'a très bien démontré au Japon où son infiltration dans la vie politique est à son comble .
La scientologie aussi l'a largement démontré avec ses infiltrations dans la sphère politique mondiale .
La scientologie ou les sectes en général ont beaucoup plus de mal en france à faire leur trou , parce qu'en france jusqu'a maintenant on est beaucoup plus réticent à ce genre de manège et on y fait barrage .
IL faut quand même rappeler que la sokka gakkaï a longtemps était exclue de l'union bouddhiste de france , et l'est probablement encore . ET cela pour des raisons claires de dérives sectaires .
Voir un article de l'unadfi sur la sokka gakkaï :
http://www.unadfi.org/groupe-et-mouvanc ... akka%C3%AF
Conclusion de l'unadfi qu'on peut lire sur l'article en question :
L’analyse faite dans cet article met en évidence dans la Soka Gakkaï les caractéristiques d’un mouvement intégriste, totalitaire, coercitif et manipulateur, c’est à dire dangereux pour la liberté des adeptes et le respect de leur identité. Ce danger est avivé, aujourd’hui, par la bonne presse qu’a le Bouddhisme en général dans notre pays.
ON peut lire dans cet article :
Pour notre compte, nous avons apprécié les considérations de Frédéric Lenoir dans son livre " Le Bouddhisme en France " édité chez Fayard :
" même si les divers membres rencontrés avaient tous le sentiment d’être des bouddhistes, même si l’on retrouve quelques similitudes dans les trajectoires respectives des membres de la Soka Gakkaï et de ceux des autres courants bouddhistes reconnus, les dissemblances de stratégie institutionnelles, de recrutement et de motivation des adeptes, de pratiques individuelles et communautaires, de buts recherchés, de relation à la société globale, sont si importantes qu’il m’a semblé finalement impossible de les inclure dans le cadre de cette étude sociologique. "
En d'autres terme Frédéric Lenoir , estime que la Sokka GakkaÏ n'est pas du bouddhisme , mais une secte . Il ne le dit pas aussi directement que moi mais c'est plus que sous entendu .
Une organisation riche et puissante.
Evaluation faite en an 2000 par l'unadfi :
Le parc immobilier au Japon est évalué à 500 voire 700 milliards de francs, les avoirs bancaires à 50, peut-être 100 milliards de francs. Une partie importante des revenus provient des dons, les autres ressources sont d’origine commerciale : la presse, la vente d’objets de culte, de concessions funéraires, de monuments funéraires.
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 21:28Trés drôle l'argumentation bidon de plus avec l'unadfi la secte anti-secte 

Le financement de L’UnadfiExtrait de « Lettre ouverte à la "secte des adversaires des sectes"», de Anne Morelli
On peut certes comprendre que des drames familiaux comme celui que vécut Roger Ikor à travers la mort de son fils aient engendré des associations antisectes (dans son cas, le C.C.M.M., Centre de documentation, d'éducation et d'action Contre les Manipulations Mentales, aussi appelé "Centre Roger Ikor"). Mais il me semble suspect que, à travers le monde, des milliers de personnes liées entre elles par un réseau international aux multiples ramifications vivent pour et par la chasse aux sectes.
Leurs méthodes sont partout semblables : jeter le discrédit sur tous les groupes religieux en dehors des grandes religions classiques et semer à ce sujet la désinformation. La "secte des adversaires des sectes" tenaille donc particulièrement les médias et le monde politique, mais ne néglige pas non plus l'approche du monde de la recherche universitaire. En France, deux associations se partagent ce "marché", correspondant aux deux options fondamentales de la société française : l'une est laïque (C.C.M.M.) et l'autre est catholique (U.N.A.D.F.I.).
En Belgique, ce lobby international est également représenté par des associations liées à nos « piliers» traditionnels. Le C.I.G.S. (Contacts et informations sur les groupes sectaires) est d'obédience catholique et a essaimé en province des « Associations de soutien aux familles victimes des sectes». De l'autre côté, l'A.D.I.F. (Association de Défense des Intérêts des Familles) est liée à l'association laïque fondée en France par Roger Ikor, à un homologue luxembourgeois (C.D.F.I. Luxembourg) et à l'A.D.C.A.M. (Association de Défense Contre les Agressions Mentales).
Une Fédération européenne de ce business antisectes est par ailleurs installée également à Bruxelles (FECRIS-Belgique). Du côté néerlandophone, la V.V.P.G. (Verdediging Van Persoon en Gezin) est une instance semi-officielle, en contact avec l'A.D.I.F. Cette dernière recherche, à la faveur de la récente commission parlementaire, une reconnaissance officielle, le droit d'ester en justice au nom des victimes réelles ou supposées et - si possible ! - des subsides en conséquence. Elle a déjà réussi à établir des relations privilégiées avec de nombreux journalistes et a infiltré le milieu politique bruxellois. Ainsi, le dépliant « Sectes à visage découvert», publié par l'échevine des affaires sociales de Bruxelles, Carine Vyghen, avec le sous-titre avenant de «Une prison sans barreau» et la photo d'un rapace menaçant, conseille-t-il, ni plus ni moins, de s'adresser en cas de «problème» à l'A.D.I.F. ! Le pas fatal supplémentaire serait évidemment de reconnaître ce lobby et de le soutenir avec l'argent des contribuables !
Une autre pratique de désinformation menée par la « secte des adversaires des sectes» est de gonfler les chiffres des adhérents à ces religions minoritaires. Ces chiffres, après douze années d'enquêtes dans ces milieux, je suis plus que jamais incapable de les préciser. En 1981, j'avais - péché de jeunesse - lancé le chiffre de 80.000, mais au fur et à mesure de nos travaux, mes certitudes se sont envolées. Le chiffre, lui, a souvent été repris. Dans chaque groupe religieux, on a tendance à les gonfler (cela donne du poids à la communauté et à ses croyances), mais curieusement, les adversaires des sectes aussi les gonflent, car la pertinence de leur « lutte» (et donc les moyens qu'ils réclament) est évidemment liée au danger potentiel que représente un groupe. Les médias aussi, pour que leur sujet apparaisse important, participent à cette surévaluation du phénomène. Or, si certaines communautés religieuses sont nombreuses, d'autres ont 10, 5 voire 3 membres. Révéler ce nombre infime serait très dévalorisant pour la "secte des adversaires des sectes".
Les lobbies antisectes insistent aussi sur un aspect « captation de notre belle jeunesse» , qui ne correspond guère à la réalité que nous avons pu vérifier lors de nos enquêtes de terrain. Certes, il y a des jeunes dans ces groupes, mais pas de manière « anormale» , et certains groupes sont plutôt formés de jeunes couples, de familles, de vieux soixante-huitard ou même de personnes du troisième âge qui forment une excellente « cible» lorsqu'elles ont à partager du temps, du dévouement et - ce qui ne gâche rien - un peu d'argent. Mais la vieille recette a fait ses preuves : les nouvelles religions ou philosophies doivent toujours être présentées comme les captatrices de la jeunesse. Déjà dans l'Antiquité, lors de l'affirmation du Christianisme, les auteurs païens lui reprochaient essentiellement de détourner la jeunesse de la religion traditionnelle...
Lorsqu'un journaliste ne se soumet pas au schéma classique antisecte, il est aussitôt accusé de complaisance. Ainsi, les auteurs de deux documentaires Arte consacrés aux mormons sont-ils vivement critiqués par « Le Monde» . Ils auraient présenté cette religion avec trop de sympathie... Les auditeurs belges, habitués à entendre l'actualité religieuse commentée par la douce voix de l'abbé Armand Pirard, croient rêver en entendant ces reproches. Ils imaginent mal qu'à l'occasion, par exemple, de la bénédiction pascale ou d'un voyage du pape, un de ses mièvres commentaires se mette à investiguer à propos des finances du Vatican et de ses opérations douteuses, ou des effets catastrophiques de sa diplomatie pro-croate. Mais évidemment, il est des monopoles à ne pas traiter sans « complaisance» et des rivaux qu'il est bon d'enfoncer. On comprend dès lors pourquoi les « sectes» voient rarement avec plaisir débarquer en leurs murs des journalistes, chargés dès le départ de ramener des « informations» croustillantes, sensationnelles et surtout inquiétantes...
L’Unadfi est une association de la loi 1901. Tout comme les sectes qu’elle combat l’Unadfi a
ses détracteurs. Mais ce qui a semblé échapper à l’opinion publique, c’est ce que vient de
révéler l’observatoire des subventions aux associations : le financement de l’Unadfi.
En effet, alors que les associations d’utilité publique (c’est le cas de l’Unadfi) ont l’obligation
d’être financées majoritairement par leurs membres à plus de 50%, on découvre que depuis 10
ans, l’Unadfi reçoit plus de 96% de son financement des finances publiques, par
l’intermédiaire de différents ministères. Des millions d’euros payés par le contribuable pour
quelques milliers payés par des membres, des donateurs et des supporters.
Cela mène à se poser quelques questions sur l’utilisation de cette association par les
ministères qui la soutiennent. En effet, en France, la constitution interdit au pouvoir
exécutif de s’ingérer dans les affaires des religions. De plus la séparation des pouvoirs écarte
ce même exécutif (ainsi que le législatif) du champ judiciaire, qui ne peut donc pas se
constituer partie civile dans les histoires de sectes et autres casse-tête politico judiciaires.
Mais l’Unadfi, en tant qu’association d’utilité publique, a le droit de se constituer partie civile,
ce qu’elle ne manque pas de faire (procès de la scientologie, divers procès contre les médecins
« déviants »). Comme les associations d’utilité publique sont censées être financées par les
membres, on comprend que normalement elles ne sont pas au service de l’état. Ce n’est pas le
cas de l’Unadfi : financée à 96% par l’état, elle est en fait le bras armé qui peut permettre à
certaines membres du pouvoir exécutif d’enter dans les tribunaux sans être identifiés.
Lors de son passage devant la barre du procès contre la scientologie, une phrase a échappé à
Catherine Picard, présidente de l’Unadfi et député socialiste : « en fait notre ministère de
tutelle est le ministère des affaires sociales » déclare-t-elle devant les juges. Une phrase qui
fait trembler en haut lieu et qui pourrait gêner un plan qui jusque là se déroulait sans accroc.
En effet depuis 1996, les seules affaires sociales ont versé à l’Unadfi 1 million 224 mille
euros de subventions. Le premier ministre verse 110000 euros par an à cette association
soit 660000 euros au total. Il s’agirait de subventions obtenues grâce à la Miviludes qui ne
peut pas, non plus, se constituer partie civile.
Autre détail qui tue, depuis plusieurs années, l’Unadfi est appelée à former divers magistrats,
notamment de l’école de la magistrature, pour faire condamner les sectes. Un entrisme de
l’état dans un pouvoir judiciaire censé être indépendant.
Des pratiques, qui, si elles étaient généralisées et étendues à d’autres domaines, mettraient
réellement en péril la séparation des pouvoirs au cœur de notre constitution.
En ce jour anniversaire du 18 juin je vous promets que nous ferons tout pour que cet état de
fait soit dénoncé et condamné en justice par les instances garantes de la constitution française
et des libertés en Europe.
L'Unadfi ou la "secte anti secte "
Enquête sur la « secte anti-sectes »
Officiellement, l’U.N.A.D.F.I. (Union Nationale des Associations de Défense des Familles et
de l’Individu) s’est donné pour mission de lutter contre les sectes. Certes, ce combat pourrait
être légitime s’il était mené contre de vraies sectes, c’est-à-dire des organisations qui
mettraient en cause gravement l’équilibre physique et mental de leurs membres ou l’ordre
social et la sécurité publique. De toute évidence, s’il existe de telles sectes, ce qui justifie de
les combattre, elles sont très rares de par le monde et quasi-inexistantes en France à ma
connaissance. L’ U.N.A.D.F.I. ne semble ni indépendante ni objective dans ses jugements,
pas plus que le C.C.M.M (centre contre les manipulations mentales), la Miviludes et les
services de renseignements généraux pour des raisons et des objectifs différents. Comme le
laisseraient croire certains documents qui émanent d’elle, cette association considérerait a
priori que toute organisation dont l’enseignement n’est pas conforme à la foi catholique
serait une secte, sans parler du jésuitisme notoire dont elle fait preuve dans sa croisade
antisectes ainsi que de l’influence dominicaine qui signe nombre des articles de fond de sa
presse antisectes et de son idéologie de base. Les Jésuites et les Dominicains ayant été les fers
de lance de l’Inquisition, il est temps de montrer l’autre visage de la sainte U.N.A.D.F.I, afin
que les fantômes de l’Inquisition ne viennent pas hanter le 21e siècle et prôner la restauration
d’une pensée religieuse unique, ce qui remettrait en cause un droit acquis au fil des siècles au
prix d’une immense souffrance: la liberté de conscience et de croyance. La laïcité
républicaine garantit en effet à tous les citoyens français et européens le libre choix de leurs
croyances et de leurs opinions sans aucune exception. Seul le régime de Vichy a contesté ce
droit en France aux juifs et aux sectes (francs-maçons compris à l’époque) et vous connaissez
la suite.
Le vrai visage de l’A.D.F.I.
D’après « Sectes, religions et libertés publiques » de Christian Paturel (Édition La Pensée
Universelle 1996) la plupart des mouvements « anti-sectes » européens sont des
émanations de l’A.F.F. (American Family Fondation). L’A.D.F.I. (Association de Défense
de la Famille et de l’Individu) figure d’ailleurs fréquemment dans « The Advisor », une
publication de l’A.F.F. Cette organisation anti-sectes est composée essentiellement de
psychiatres marginaux : Margaret Singer, Jolly West, John Clark. Au sein de cette structure
internationale, les psychiatres occupent une place de premier plan. Ces derniers sont des
spécialistes des contrôles du mental humain (hypnose, électrochocs, injection de drogues), des
techniques de manipulation des foules, du « deprogramming » qui, par des pratiques diverses
et violentes, vise à rétablir la « santé mentale » des individus concernés. Parmi ces
psychiatres: Ted Patrick : ancien psychologue de l’armée américaine, qui a adopté les
méthodes brutales de « deprogramming » pour réinsérer dans le droit chemin les membres des
« sectes » (enlèvement, séquestration, violence…). Dr John Clark: spécialiste du contrôle
mental et ancien assistant du Dr Lindemann de la C.I.A. Il a été sanctionné par le Conseil de
l’Ordre des Médecins du Massachusetts pour avoir interné de force une personne en raison de
ses croyances religieuses. En 1983, il a proposé un plan visant à faire disparaître les
« nouvelles religions ». Clark dénonce les barrières juridiques des sociétés démocratiques et
libérales qui se dressent pour contrarier ses conceptions personnelles et c’est une
dénonciation courante dans la bouche des responsables de l’ADFI et de la Miviludes. Ses
travaux sont d’ailleurs souvent cités dans les publications de l’A.D.F.I. Margaret Singer :
Elle fut psychologue militaire et eut des problèmes avec la justice américaine, qui considéra
que ses rapports de psychiatrie étaient « des jugements de valeurs déguisés sous la forme
d’opinion d’expert ». Dr Louis West : Il préconisait la stérilisation des Noirs et des Hispanoaméricains
pour lutter contre la criminalité. Il est souvent cité dans les publications de
l’A.D.F.I. (ex : Bulles). Les thèses défendues par ces psychiatres suscitent l’indignation de la
psychiatrie américaine : ce sont des marginaux. Dr Robert Lifton : Défenseur acharné du
« deprogramming », il est l’auteur d’un ouvrage équivoque sur les pratiques des médecins
nazis dans les camps de concentration.
La naissance de l’ADFI.
L’A.D.F.I. est née à Rennes en Bretagne en 1974 à l’initiative du Dr Champollion et du
Psychiatre André Badiche. Elle déclare immédiatement son attachement aux théories pseudoscientifiques
des psychiatres américains : John Clark, Margaret Singer et Louis West, visant à
la normalisation de la société qui serait en péril à cause des mouvements sectaires ou des
nouvelles religions. On retrouve dans l’A.D.F.I. les idées qui animaient les mouvements
antisémites et antimaçonniques qui firent les beaux jours du gouvernement de Vichy :
dénonciation d’une minorité occulte qui détiendrait la réalité du pouvoir de la finance et qui
serait à l’origine des malheurs de la société (exemple : la Scientologie). Les sectes ont
remplacé les Juifs et la Franc-maçonnerie est devenue inattaquable à cause de son pouvoir
politique (elle compte plusieurs membres dans les rangs de la Miviludes). L’A.D.F.I. est la
courroie de transmission qui véhicule l’idéologie totalitaire des psychiatres américains
marginaux. Elle préconise et utilise les méthodes de « deprogramming » du Dr Clark, qui sont
similaires à celles employées par les soviétiques aux belles heures du communisme pour
« soigner » les « dissidents ». L’A.D.F.I. tente régulièrement d’imposer ses thèses aux
autorités publiques et aux médias. Elle possède ses entrées dans les Ministères. Par ailleurs,
elle est membre de nombreux organismes (la Commission Consultative Nationale des Droits
de l’Homme rattachée au Premier Ministre en France ! ! !). L’A.D.F.I. n’hésite pas à
employer les moyens qu’elle dénonce chez les sectes: désinformation, multiplication de
messages répétitifs, exploitation maximale de tueries dramatiques dans le domaine des sectes
et très suspects quant à la réalité des faits rapportés (Guyana, Waco, le Temple Solaire…). Il
ne faut pas perdre de vue, par exemple, que l’affaire de l’Ordre du temple solaire en France
(dont on entend beaucoup moins parler d’ailleurs) est une tuerie organisée de toutes pièces par
les commandos de la marine française. Ce massacre déguisé en suicide mettait fin à des
années au service d’une fraction dissidente du contre-espionnage français par les membres
dirigeants de l’OTS (ce sujet fera bientôt l’objet d’un autre dossier). Un des acteurs
principaux de cette sinistre affaire fut un psychiatre français, le docteur Jean-Marie Abgrall,
qui exerça préalablement dans l’armée !
L’ ADFI et les milieux catholiques intégristes.
Le siège de l’A.D.F.I. est très fréquenté par le clergé, par l’abbé Trouslard qui y représente
le Vatican, mais aussi par Mgr Vernette, l’abbé Yvon Lemoine, et l’évêque de Tours… A
l’origine, l’A.D.F.I. bénéficiait de locaux gracieusement offerts par une paroisse catholique
et le mouvement rennais a toujours été fortement soutenu par le clergé local et les milieux
catholiques intégristes rennais. Nous sommes bien placés pour le savoir, croyez-moi, car
nous sommes sur place depuis de nombreuses années. Les avocats de l’UNADFI les plus
extrémistes prêchent leurs thèses antisectes dans les églises Rennaises. Le fondement
pseudo-scientifique de l’A.D.F.I. n’est pas porté à la connaissance des ses membres, pour la
plupart sincères. Un discours leur est diffusé. Grâce à un astucieux habillage, le message est
rendu crédible, attrayant, voire empreint d’altruisme. Derrière cette vitrine se cache en réalité
une idéologie de l’exclusion et de la haine. L’A.D.F.I. s’attaque généralement à des groupes
soigneusement sélectionnés pour leur petitesse et leur pacifisme. Son objectif est de
démontrer la nocivité et l’extrême dangerosité des nouveaux mouvements religieux, afin de
ramener les brebis égarées vers l’enclos déserté de l’Eglise catholique. En fait, elle entre dans
le plan de ré-évangélisation de l’Église. Elle se livre à une véritable Croisade. L’A.D.F.I est
financée par des subventions du Ministère des affaires sociales, du Ministère de la
Jeunesse et des Sports, du Ministère de la Santé, de l’armée !!!, des fonds spéciaux
émanant du premier ministre et par de nombreuses communes et départements. Un tel
soutien est une hérésie républicaine. Les autres pays européens, par exemple l’Allemagne,
refusent qu’une association de ce type soit financée par l’état. Ce financement est illégal aux
yeux de la communauté européenne et a fait l’objet d’une condamnation. La démarche de
l’A.D.F.I. n’est ni scientifique, ni logique, ni républicaine, ni laïque, ni altruiste, ni
respectueuse des droits de l’homme. Elle est par contre historique, opportuniste et conforme à
une certaine tradition de discrimination religieuse en France. Signalons une étude de Pierre
Barrucand (du CNRS) : « Les sectes anti-sectes », où il critique vivement l’A.D.F.I. Du même
auteur, (P. Barrucand), « Haines d’hier et d’aujourd’hui », campagnes anti-juifs, antifrancmaçons,
anti-sectes. Extrait de « Haines d’hier et d’aujourd’hui » : Quand je vois un
mouvement comme l’A.D.F.I., j’ai l’impression qu’on y rencontre surtout des personnes
qui sont en proie à une obsession, une intoxication. Autrement dit, ils subissent exactement
le phénomène qu’ils croient devoir dénoncer – sans le début d’une preuve – contre un
certain nombre de religions plus ou moins minoritaires. Si manipulation mentale il y a, elle
est le fait de l’A.D.F.I., dont les membres s’intoxiquent mentalement eux-mêmes. Mais ce
qui est absolument stupéfiant, c’est de voir un mouvement confidentiel et quasi secret comme
l’A.D.F.I. être pris au sérieux par certains journalistes, voire certains milieux officiels. Elle est
le pivot central d’une campagne de désinformation. C’est pourquoi cette association est
redoutable et perverse. Elle fonde toute son action, au mieux sur la polémique méchante, au
pire sur la délation et la désinformation. L’A.D.F.I a su se donner une image respectable et est
parvenue à tromper la presse et même parfois les pouvoirs publics. Cette « secte » – au sens le
plus péjoratif du terme – est arrivée ainsi à une certaine puissance, réalisant donc en partie les
fins ténébreuses qu’elle attribue à ceux qu’elle combat, unissant avec habileté le rationalisme
athée de certains et l’intransigeance doctrinale théologique d’autres, et surtout arrivant à se
faire passer comme sérieuse et objective. Dans le cas de l’A.D.F.I., j’ai eu l’impression de
gens qui sont véritablement intoxiqués par leur mythologie et qui vivent dans un univers
complètement fantasmatique. Il est bien évident que ce que je dis ne saurait justifier en aucun
cas les agissements de tel ou tel groupe qui se livrerait à des activités criminelles. Il s’agit
simplement du droit de pratiquer une religion et d’exprimer ses convictions. Il faut que la
presse et les pouvoirs publics deviennent conscients de la vraie nature de l’A.D.F.I Un
permanent de l’A.D.F.I est allé jusqu’à affirmer « qu’un membre d’une secte n’est pas une
personne authentique ».
Par un jugement en date du 12 septembre 1997,
Le Tribunal de Grande Instance de Paris a débouté l’UNADFI de son action pour diffamation
à l’encontre de Louis Pauwels, écrivain et éditorialiste, aujourd’hui décédé, et du Directeur de
publication du Figaro.
L’association s’était estimée diffamée dans l’article publié dans Le Figaro du 24 octobre 1996
sous le titre « Sectes : l’esprit d’inquisition », par le passage ci-après : « Depuis 1975, se sont
instaurées des associations antisectes qui accusent globalement leurs adversaires de
déstructurer les individus et de menacer les familles. La plus virulente d’entre elles est l’ADFI
(Association pour la Défense de la Famille et de l’Individu). Elle catalyse, sinon promeut des
attaques contre les groupes spirituels non conformes. J’apprends qu’elle s’inspire d’un
courant de la psychiatrie américaine visant à la normalisation de la société par la destruction
des nouvelles religions. Cette guerre contre les sectes réveille l’esprit d’inquisition et
s’apparente dans bien des cas aux procès en sorcellerie où la rumeur tenait lieu de preuve. Il
suffit désormais d’accuser un groupe marginal de captation de la personnalité et manipulation
mentale pour qu’il se trouve rangé au nombre des sectes, et, par là même, mobiliser contre lui
l’opinion générale. Cette nouvelle chasse aux sorcières bénéficie des subsides de l’État, et,
sauf exceptions, du soutien sans réflexion des médias ». La Cour a jugé que l’article
traduisait, » de la part du journaliste, une mise en garde contre les excès pouvant porter
atteinte à la liberté de pensée et d’expression, ainsi qu’un appel à la tolérance dans la légalité.
Or, dans une société démocratique, la manifestation d’un tel point de vue doit, à l’évidence,
pouvoir contribuer, au même titre que d’autres prises de position, au débat public sur le
phénomène sectaire ».
Nous rappelons à ceux qui l’auraient oublié que l’Omnium des Libertés est né dans cette
période et dans ce contexte, en 1996, d’une initiative de Louis Pauwels et de Joël Labruyère
(hé oui, 15 ans déjà).
La FRANCE au banc des accusés.
Après que le Département d’État américain et l’ONU aient condamné la France pour son
attitude vis à vis des minorités spirituelles, l’OSCE épingle la « patrie des droits de l’homme »
pour violation de la liberté religieuse. L’OSCE – Organisation pour la Sécurité et la
Coopération en Europe – a tenu à Vienne, le 22 mars 1999, une conférence sur le thème de la
liberté de religion en Europe. Y ont participé des délégations de tous les pays de l’OSCE et
plus de 100 organisations religieuses et non gouvernementales. 70 délégations ont pris la
parole dans ce débat consacré au pluralisme religieux et aux violations de la liberté religieuse.
A l’occasion de cette conférence, la Fédération Internationale d’Helsinki pour les Droits de
l’Homme a présenté son rapport « Discrimination religieuse et violations des engagements
d’Helsinki ». Ce rapport montre que des démocraties européennes violent leurs engagements
relatifs à la liberté de religion et à la tolérance religieuse. Voici ce que dit ce rapport de la
situation française : Depuis 1996, une montée de l’intolérance et de la discrimination a été
observée en France à l’égard des nouvelles religions. En janvier 1996, l’Assemblée Nationale
a publié le rapport Guyard, contenant une liste de 172 sectes ou cultes jugés dangereux. Ce
rapport a engendré des articles de presse calomnieux à l’égard des minorités religieuses, a fait
circuler des rumeurs et des informations fausses, et constitue une incitation à l’intolérance
religieuse. Dans ce contexte, une multitude de situations et de formes de persécution virtuelle
se sont développées. Les minorités religieuses ont été publiquement marginalisées et
stigmatisées. Cette attitude a engendré de l’exclusion, des pertes d’emploi, une nette
discrimination religieuse de la part des autorités françaises et une forte montée de
l’intolérance de la part de la société civile à l’égard des gens de tous milieux à cause de leurs
croyances religieuses. Le gouvernement français a établi une « Mission Interministérielle de
Lutte contre les Sectes » – la MILS – avec à sa tête Alain Vivien, la figure de proue du
mouvement anti-sectes. L’Omnium des libertés a, à plusieurs reprises, déposé des plaintes à
l’OSCE, sa délégation a pu s’exprimer et être entendu devant cette respectable assemblée.
L’Omnium contribuera grandement à la déconfiture de Vivien et de la MILS par une plainte
déposée devant le procureur de la république de Paris en forme de dénonciation d’abus de
sociaux à l’encontre du couple Vivien, démontré par une enquête de près de deux ans sur les
mouvements occultes de fonds au bénéfice du couple Vivien par le biais du CCMM. Nous
avons renoncé, peut-être à tort, à l’action judiciaire quand la Mils a disparu en même temps
que Vivien et Jospin. La MILS sera remplacée, malheureusement, par la MIVILUDES et
Georges Fenech, ce qui n’est pas mieux mais se terminera mal pour des raisons équivalentes à
celles qui ont fait récemment condamner Charles Pasqua (avec sursis) dans la sombre affaire
du casino d’Annemasse. Paradoxe étonnant, Fenech et Fillion, tous deux catholiques
« militants », ont repris le contrôle de la Miviludes donc de l’action antisectes de l’état
français et ont laissé la présidence de l’UNADFI à Catherine Picard, député socialiste ne se
cachant pas de son trotskisme latent. Cette récupération de la gauche au sein de l’action
gouvernementale va probablement, dans le cas de madame Picard, leur coûter cher par la suite
(voir article suivant sur les barbouzes de l’état).
L’UNADFI, barbouzes de l’état ?
L’Unadfi est une association de la loi 1901. Tout comme les sectes qu’elle combat l’Unadfi a
ses détracteurs. Mais ce qui a semblé échapper à l’opinion publique, c’est ce que vient de
révéler l’observatoire des subventions aux associations : le financement de l’Unadfi.
En effet, alors que les associations d’utilité publique (c’est le cas de l’Unadfi) ont l’obligation
d’être financées majoritairement par leurs membres à plus de 50%, on découvre que depuis 10
ans, l’Unadfi reçoit plus de 96% de son financement des finances publiques, par
l’intermédiaire de différents ministères. Des millions d’euros payés par le contribuable pour
quelques milliers payés par des membres, des donateurs et des supporters.
Cela mène à se poser quelques questions sur l’utilisation de cette association par les
ministères qui la soutiennent. En effet, en France, la constitution interdit au pouvoir
exécutif de s’ingérer dans les affaires des religions. De plus la séparation des pouvoirs écarte
ce même exécutif (ainsi que le législatif) du champ judiciaire, qui ne peut donc pas se
constituer partie civile dans les histoires de sectes et autres casse-tête politico judiciaires.
Mais l’Unadfi, en tant qu’association d’utilité publique, a le droit de se constituer partie civile,
ce qu’elle ne manque pas de faire (procès de la scientologie, divers procès contre les médecins
« déviants »). Comme les associations d’utilité publique sont censées être financées par les
membres, on comprend que normalement elles ne sont pas au service de l’état. Ce n’est pas le
cas de l’Unadfi : financée à 96% par l’état, elle est en fait le bras armé qui peut permettre à
certaines membres du pouvoir exécutif d’enter dans les tribunaux sans être identifiés.
Lors de son passage devant la barre du procès contre la scientologie, une phrase a échappé à
Catherine Picard, présidente de l’Unadfi et député socialiste : « en fait notre ministère de
tutelle est le ministère des affaires sociales » déclare-t-elle devant les juges. Une phrase qui
fait trembler en haut lieu et qui pourrait gêner un plan qui jusque là se déroulait sans accroc.
En effet depuis 1996, les seules affaires sociales ont versé à l’Unadfi 1 million 224 mille
euros de subventions. Le premier ministre verse 110000 euros par an à cette association
soit 660000 euros au total. Il s’agirait de subventions obtenues grâce à la Miviludes qui ne
peut pas, non plus, se constituer partie civile.
Autre détail qui tue, depuis plusieurs années, l’Unadfi est appelée à former divers magistrats,
notamment de l’école de la magistrature, pour faire condamner les sectes. Un entrisme de
l’état dans un pouvoir judiciaire censé être indépendant.
Des pratiques, qui, si elles étaient généralisées et étendues à d’autres domaines, mettraient
réellement en péril la séparation des pouvoirs au cœur de notre constitution.
En ce jour anniversaire du 18 juin je vous promets que nous ferons tout pour que cet état de
fait soit dénoncé et condamné en justice par les instances garantes de la constitution française
et des libertés en Europe.

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Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 22:56OK oui L'UNADFI dans ces jugements est étrange parfois est ultra catho je te l'accorde , mais pas Frédéric Lenoir ni même André Baraud .
Ces derniers et biens d'autres spécialistes des religions et aussi l'Union Bouddhiste de France ont bien du mal à voir le rapport entre la sokka Gakkaï et le bouddhisme tellement il n'y en a pas . La sokka gakkaï est une voie qui ne centralise que son enseignement de façon fixatif sur un seul soutra , le soutraa du lotus déformant complètement par cette vision exclusive et excessive l'ensemble des enseignements du bouddhisme .
Tu as évoqué Dogen sur un autre fil maitre zen qui lui aussi appréciait le Soutra du lotus , mais la vision entre NIchiren et Dogen était complètement différentes de toute évidence . Dogen enseignait d'autres soutras que le soutra du lotus et pratiquait la méditation . Contrairement à Nichiren qui reniait tous les fondements du bouddhisme originel .
Nichiren l'inspirateur de la sokka Gakkaï était dans une vision tellement radicale qu'elle ne ressemblait plus en rien à du bouddhisme .
Il a inventé de toute pièce une pratique de mantra dit en japonais ou chinois mélangé peut importe uniquement alors que bouddha n'a jamais parlé japonais ni chinois de sa vie .
La sokka gakkaï renie le bouddha originel gautama Siddharta pour évoquer sans arrêt que le bouddha originel c'est leur gourou Nichiren .
Bref, la question est vraiment de se poser pourquoi la soikka gakkaÎ manipule et utilise l'étiquette bouddhiste alors que son approche n'a plus rien en commun avec du bouddhisme , si ce n'est pour saboter le bouddhisme et utiliser cette étiquette qui est plus vendeuse pour acquérir plus d'adeptes .
Pourquoi la sokka gakkaï ne se désolidarise pas du bouddhisme , en admettant clairement que sa vision n'a plus rien à voir avec le bouddhisme et ne crée elle pas une nouvelle religion ?
Sachant que la sokka gakkaï renie tous les fondements et les fondamentaux du bouddhisme originel que vient elle faire dans la présidence de fédération bouddhistes , qu'elles soient espagnol ou autre ?
Vu qu'elle est en réalité un cheval de troie dont le seul but est d'établir dans l'idées de gens que tous les fondements du bouddhisme originel sont faux et obsolètes et caducs , pour y assoir une sorte de nouvelle religion new age sans aucun rapport avec le bouddhisme originel ?
Ces derniers et biens d'autres spécialistes des religions et aussi l'Union Bouddhiste de France ont bien du mal à voir le rapport entre la sokka Gakkaï et le bouddhisme tellement il n'y en a pas . La sokka gakkaï est une voie qui ne centralise que son enseignement de façon fixatif sur un seul soutra , le soutraa du lotus déformant complètement par cette vision exclusive et excessive l'ensemble des enseignements du bouddhisme .
Tu as évoqué Dogen sur un autre fil maitre zen qui lui aussi appréciait le Soutra du lotus , mais la vision entre NIchiren et Dogen était complètement différentes de toute évidence . Dogen enseignait d'autres soutras que le soutra du lotus et pratiquait la méditation . Contrairement à Nichiren qui reniait tous les fondements du bouddhisme originel .
Nichiren l'inspirateur de la sokka Gakkaï était dans une vision tellement radicale qu'elle ne ressemblait plus en rien à du bouddhisme .
Il a inventé de toute pièce une pratique de mantra dit en japonais ou chinois mélangé peut importe uniquement alors que bouddha n'a jamais parlé japonais ni chinois de sa vie .
La sokka gakkaï renie le bouddha originel gautama Siddharta pour évoquer sans arrêt que le bouddha originel c'est leur gourou Nichiren .
Bref, la question est vraiment de se poser pourquoi la soikka gakkaÎ manipule et utilise l'étiquette bouddhiste alors que son approche n'a plus rien en commun avec du bouddhisme , si ce n'est pour saboter le bouddhisme et utiliser cette étiquette qui est plus vendeuse pour acquérir plus d'adeptes .
Pourquoi la sokka gakkaï ne se désolidarise pas du bouddhisme , en admettant clairement que sa vision n'a plus rien à voir avec le bouddhisme et ne crée elle pas une nouvelle religion ?
Sachant que la sokka gakkaï renie tous les fondements et les fondamentaux du bouddhisme originel que vient elle faire dans la présidence de fédération bouddhistes , qu'elles soient espagnol ou autre ?
Vu qu'elle est en réalité un cheval de troie dont le seul but est d'établir dans l'idées de gens que tous les fondements du bouddhisme originel sont faux et obsolètes et caducs , pour y assoir une sorte de nouvelle religion new age sans aucun rapport avec le bouddhisme originel ?
Modifié en dernier par vic le 11 juil.17, 23:17, modifié 1 fois.
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 23:12En Italie
Matteo Renzi signe un accord avec la Soka Gakkai italienne
Publié le lundi 10 août 2015 14:07
Les pouvoirs publics italiens ont conclu un accord avec la Soka Gakkai italienne. Le document, qui sera bientôt soumis au Parlement pour approbation finale, a été signé par le Premier ministre, Matteo Renzi, et le président de l'Institut bouddhiste italien de la Soka Gakkai, Tamotsu Nakajima, le 27 juin au centre bouddhique Soka de Florence, Villa Di Bellagio.
Cet accord, encadré par l'article 8 de la Constitution italienne, exprime la pleine reconnaissance de l'Etat italien vis-à-vis de la Soka Gakkai, et lui accorde par conséquent tous les droits d'exercer son activité religieuse, notamment sur les points suivants :
Assistance spirituelle : les ministres du culte pourront offrir une assistance spirituelle aux fidèles bouddhistes qui sont en établissement de soins, en prison ou dans des établissements militaires.
Education : l'instruction religieuse n'est pas obligatoire dans les écoles publiques, mais, pour les étudiants qui en font la demande, il sera possible d'étudier la doctrine religieuse de la Soka Gakkai dans le cadre scolaire. Ce service sera à la charge de la Soka Gakkai. Il est également permis à la Soka Gakkai de créer des établissements scolaires, de tout niveau éducatif.
Inhumation : des espaces pour les sépultures des fidèles de la Soka Gakkai seront réservés dans les cimetières, conformément à la réglementation. Ceci est également valable pour les incinérations.
Fiscalité : Les contributions volontaires des pratiquants de la Soka Gakkai pourront être déduits, jusqu'à un certain montant, de leurs impôts.
Cet accord aura une incidence sur la vie des pratiquants bouddhistes de la Soka Gakkai, dans toutes les sphères de la vie sociale.

Signature de l'accord: Matteo Renzi et Tamotsu Nakajima, le 27 juin au centre bouddhique Soka de Florence. [© SGI-Italie]Signature de l'accord: Matteo Renzi et Tamotsu Nakajima, le 27 juin au centre bouddhique Soka de Florence. [© SGI-Italie][/quote]
Matteo Renzi signe un accord avec la Soka Gakkai italienne
Publié le lundi 10 août 2015 14:07
Les pouvoirs publics italiens ont conclu un accord avec la Soka Gakkai italienne. Le document, qui sera bientôt soumis au Parlement pour approbation finale, a été signé par le Premier ministre, Matteo Renzi, et le président de l'Institut bouddhiste italien de la Soka Gakkai, Tamotsu Nakajima, le 27 juin au centre bouddhique Soka de Florence, Villa Di Bellagio.
Cet accord, encadré par l'article 8 de la Constitution italienne, exprime la pleine reconnaissance de l'Etat italien vis-à-vis de la Soka Gakkai, et lui accorde par conséquent tous les droits d'exercer son activité religieuse, notamment sur les points suivants :
Assistance spirituelle : les ministres du culte pourront offrir une assistance spirituelle aux fidèles bouddhistes qui sont en établissement de soins, en prison ou dans des établissements militaires.
Education : l'instruction religieuse n'est pas obligatoire dans les écoles publiques, mais, pour les étudiants qui en font la demande, il sera possible d'étudier la doctrine religieuse de la Soka Gakkai dans le cadre scolaire. Ce service sera à la charge de la Soka Gakkai. Il est également permis à la Soka Gakkai de créer des établissements scolaires, de tout niveau éducatif.
Inhumation : des espaces pour les sépultures des fidèles de la Soka Gakkai seront réservés dans les cimetières, conformément à la réglementation. Ceci est également valable pour les incinérations.
Fiscalité : Les contributions volontaires des pratiquants de la Soka Gakkai pourront être déduits, jusqu'à un certain montant, de leurs impôts.
Cet accord aura une incidence sur la vie des pratiquants bouddhistes de la Soka Gakkai, dans toutes les sphères de la vie sociale.

Signature de l'accord: Matteo Renzi et Tamotsu Nakajima, le 27 juin au centre bouddhique Soka de Florence. [© SGI-Italie]Signature de l'accord: Matteo Renzi et Tamotsu Nakajima, le 27 juin au centre bouddhique Soka de Florence. [© SGI-Italie][/quote]

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Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 23:19Education : l'instruction religieuse n'est pas obligatoire dans les écoles publiques, mais, pour les étudiants qui en font la demande, il sera possible d'étudier la doctrine religieuse de la Soka Gakkai dans le cadre scolaire.
Ah bon ça y est la sokka gakkaï va pouvoir insérer les idées de sa secte dans les milieux scolaires .
On reconnait bien là toute l'infiltration de cette secte et ses méthodes qui n'ont évidemment rien à voir avec celle des autres écoles du bouddhisme .
Pourquoi la sokka gakkaï s'intéresse t'elle autant à infilter les hôpitaux et les milieu scolaires ?
En quoi cela prouve t'il que la sokka gakkaï ne soit pas une secte s'il te plait ?
Les gouvernements des pays européens n'interviennent pas dans les affaires religieuses , donc le fait qu'il donne leur accord à une secte de pouvoir exercer librement leur idée ne prouve pas que le courant spirituel en question ne soit pas une secte qui manipule des adeptes .
Modifié en dernier par vic le 11 juil.17, 23:24, modifié 1 fois.
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 23:22Ca marche dans l'autre sens ce n'est pas imposé par la SG c'est à la demande des étudiants nuance importante .
L'Institut bouddhiste Soka Gakkai Italie rencontre le pape François
Publié le lundi 25 mars 2013 13:37
Le 20 mars 2013, l'Institut bouddhiste Soka Gakkai Italie a été officiellement invité au Vatican pour une audience avec le nouveau pape François, au cours de laquelle le Saint-Père a rencontré les représentants des différentes religions reconnues dans le pays.
A cette occasion, une brève entrevue a eu lieu entre la représentante nationale des femmes de la Soka Gakkai Italie, Mme Nakajima Asa, et Sa Sainteté. Mme Nakajima a transmis les salutations du maître bouddhiste Daisaku Ikeda et de la communauté bouddhiste Soka Gakkai Italie, ainsi que des présents. Sa Sainteté a répondu affectueusement à la remise du chapelet bouddhique « juzu » comme symbole de la prière, base de la foi. L'audience s'est tenue à la Salle Clémentine.
Lors de l'audience, étaient présents entre autres : le Patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée Ier ; le grand Rabbin de la communauté juive de Rome, Riccardo Di Segni ; le Président du Centre culturel islamique d'Italie Abdellah Redouane ; le responsable européen de la communauté sikh, Sahib Bhai Singh Mohinder ; le responsable de l'Hindu Ghanapati américain ; et le responsable international de l'école bouddhiste Rissho Kosei Kai, Nichiko Niwano.
L'Institut bouddhiste Soka Gakkai Italie a également participé à la cérémonie d'ouverture du Pontificat qui a eu lieu la veille sur la place Saint-Pierre.

L'Institut bouddhiste Soka Gakkai Italie rencontre le pape François
Publié le lundi 25 mars 2013 13:37
Le 20 mars 2013, l'Institut bouddhiste Soka Gakkai Italie a été officiellement invité au Vatican pour une audience avec le nouveau pape François, au cours de laquelle le Saint-Père a rencontré les représentants des différentes religions reconnues dans le pays.
A cette occasion, une brève entrevue a eu lieu entre la représentante nationale des femmes de la Soka Gakkai Italie, Mme Nakajima Asa, et Sa Sainteté. Mme Nakajima a transmis les salutations du maître bouddhiste Daisaku Ikeda et de la communauté bouddhiste Soka Gakkai Italie, ainsi que des présents. Sa Sainteté a répondu affectueusement à la remise du chapelet bouddhique « juzu » comme symbole de la prière, base de la foi. L'audience s'est tenue à la Salle Clémentine.
Lors de l'audience, étaient présents entre autres : le Patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée Ier ; le grand Rabbin de la communauté juive de Rome, Riccardo Di Segni ; le Président du Centre culturel islamique d'Italie Abdellah Redouane ; le responsable européen de la communauté sikh, Sahib Bhai Singh Mohinder ; le responsable de l'Hindu Ghanapati américain ; et le responsable international de l'école bouddhiste Rissho Kosei Kai, Nichiko Niwano.
L'Institut bouddhiste Soka Gakkai Italie a également participé à la cérémonie d'ouverture du Pontificat qui a eu lieu la veille sur la place Saint-Pierre.

Modifié en dernier par Yvon le 11 juil.17, 23:32, modifié 1 fois.

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Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 23:27Mais c'est une secte quand même, la scientologie à aussi plein de droits partout dans tous les pays .
L'europe n'intervient pas dans les croyances des gens .
Mais ça n'empêche que la sokka gakkaÏ c'est une secte .
Essayer de nous faire croire que Matéo renzi approuve les idées de la sokka gakkaï et les respecte c'est un peu gros quand même .
IL n'a pas le choix de faire autrement que de laisser faire les libertés de culte point barre .
Ca ne prouve en rien qu'ils trouvent ce mouvement respectable , ils n'y connaissent rien c'est tout .
Tu crois vraiment que le pape a étudié le livre du gourou Nichiren et qu'il l'a sur sa table de chevets ?
Pas plus que le pape est capable de faire la différence entre de la supercherie , puisque la sokka gakkaï n'a rien à voir avec du bouddhisme et les écoles bouddhistes respectant l'enseignement du bouddhisme originel .
L'europe n'intervient pas dans les croyances des gens .
Mais ça n'empêche que la sokka gakkaÏ c'est une secte .
Essayer de nous faire croire que Matéo renzi approuve les idées de la sokka gakkaï et les respecte c'est un peu gros quand même .
IL n'a pas le choix de faire autrement que de laisser faire les libertés de culte point barre .
Le Vatican n'y connait rien en matière de religion , tu leur dit que c'est du bouddhisme ils invitent c'est tout .Le 20 mars 2013, l'Institut bouddhiste Soka Gakkai Italie a été officiellement invité au Vatican pour une audience avec le nouveau pape François, au cours de laquelle le Saint-Père a rencontré les représentants des différentes religions reconnues dans le pays.
Ca ne prouve en rien qu'ils trouvent ce mouvement respectable , ils n'y connaissent rien c'est tout .
Tu crois vraiment que le pape a étudié le livre du gourou Nichiren et qu'il l'a sur sa table de chevets ?
Pas plus que le pape est capable de faire la différence entre de la supercherie , puisque la sokka gakkaï n'a rien à voir avec du bouddhisme et les écoles bouddhistes respectant l'enseignement du bouddhisme originel .
Modifié en dernier par vic le 11 juil.17, 23:34, modifié 1 fois.
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 23:33
Modifié en dernier par Yvon le 11 juil.17, 23:41, modifié 2 fois.

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Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 23:39Oui bof, avec l'apparition des preuve scientifiques sur les bienfaits de la méditation , la méditation vipassana a le vent en poupe , sous le nom de méditation de la pleine conscience .Yvon a écrit :L'Espagne , L'Italie , le pape . C'est cool Raoul !
A l'opposé la nichiren school et ses délires auront bien du mal à recevoir une caution scientifique de leur pratique de l'enfumage qui n'a aucun autre effet que placébo .
Le mensonge et la bétise ont leurs limites , la science elle ne fonctionne pas dans l'hystérie cosmique religieuse .
Aux USA la méditation vipassana explose , sauf que ça n'est pas dans le dojo ou monastères mais sur un plan laïc , ce qui prouve que vipassana peut tout à fait être pratiqué actuellement et que Nichiren avait tord quand il prétendait que dans le futur l'enseignement du bouddha ne pourrait plus s'exercer et qu'il fallait remplacer la méditation par un mantra perroquet pour simplifier bêtement le bouddhisme .
Les efforts de la sokka gakkaï pour détruire le bouddhisme originel et y placer sa religion new age à la place ont encore quelques difficultés sur leur route .
Modifié en dernier par vic le 11 juil.17, 23:43, modifié 1 fois.
Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 23:43Et Maintenant L'ONU
La SGI participe à une Convention aux Nations Unies pour l'abolition des armes nucléaires
Publié le mardi 20 juin 2017 14:57
Le 15 juin dernier, la deuxième session de la conférence visant à négocier une Convention juridiquement contraignante sur l'interdiction des armes nucléaires s'est réunie aux Nations Unies, à New York. Il s'agit là d'un jalon important dans le processus historique vers l'établissement d'un traité pour l'interdiction des armes nucléaires. La SGI a soumis ses propositions et commentaires dans le document de travail suivant.
Commentaires et propositions pour le projet de Convention sur l'interdiction des armes nucléaires
Soumis par la Soka Gakkai International (SGI)
New York, 27-31 mars 2017 et 15 juin-7 juillet 2017
Aperçu
• 1. La publication du projet de Convention sur l'interdiction des armes nucléaires marque une étape cruciale dans l'effort visant à libérer l'humanité et notre planète de la menace posée par les armes nucléaires - une menace qui a assombri notre monde depuis plus de sept décennies.
• 2. En tant que réseau populaire international de bouddhistes consacrés aux valeurs de la paix, de la culture et de l'éducation, nous, la Soka Gakkai Internationale (SGI), estimons que ce projet de texte peut être renforcé en intégrant des éléments qui en élargissent le cadre, et mettent en évidence la pertinence d'une telle Convention pour la vie de toutes les personnes, qu'ils vivent dans des États dotés de l'arme nucléaire ou dans des États qui y ont renoncé. Ce document de travail présente des idées et des propositions de changement dans les termes utilisés par la Convention, en considération de toutes les parties impliquées dans le processus de négociation.
Le défi de la sécurité
• 3. La sécurité, dans son sens le plus fort et le plus complet, est un désir partagé par tous les peuples. Comme la situation actuelle du monde le montre de manière évidente, les armes nucléaires ne contribuent pas de manière significative à la réalisation de la sécurité des États, définie au sens strict. Elles ne sont pas efficaces pour faire face aux menaces auxquelles l'humanité est confrontée. En fait, en raison de la destruction instantanée, durable et indiscriminée qu'elles causent, ces armes suscitent de nouvelles menaces intolérables.
• 4. Les armes nucléaires ont désormais dépassé le cadre de la logique traditionnelle de l'armement, de l'équilibre des forces ou de la dissuasion. Elles sont devenues des instruments de suicide planétaire. Au cœur de la question des armes nucléaires, il y a la négation radicale de l'Autre : son humanité et son droit égal au bonheur et à la vie. Comme l'a déclaré le président de la SGI, Daisaku Ikeda : « Si nous souhaitons mettre derrière nous l'ère de la terreur nucléaire, il faut lutter contre le véritable “ennemi”. Cet ennemi n'est pas l'arme nucléaire en soi, ni les États qui les possèdent ou les développent. L'ennemi réel que nous devons affronter est le mode de pensée qui justifie ces armes nucléaires ; la volonté d'anéantir les autres lorsqu'ils sont perçus comme une menace ou comme un obstacle à la réalisation de nos objectifs. »1
• 5. Les armes nucléaires ne répondent pas aux besoins réels en matière de sécurité des personnes ou des États. Il est clair que le monde serait plus sûr sans elles.
Un consensus mondial
• 6. Nous croyons qu'une compréhension partagée de la nature inacceptable des armes nucléaires a motivé l'engagement en faveur du désarmement nucléaire exprimé dans l'article VI du TNP.2 Le caractère sans équivoque de cet engagement a été affirmé dans le Document final adopté à l'unanimité par la Conférence d'examen du TNP de 2010, ainsi que la profonde préoccupation face aux conséquences humanitaires catastrophiques de toute utilisation de ces armes et à la volonté d'assurer la paix et la sécurité d'un monde sans armes nucléaires.3
• 7. Il est donc clair que la présente conférence de négociation et la Convention qu'elle cherche à produire sont pleinement compatibles avec les objectifs du TNP, qui est la pierre angulaire de l'effort mondial en faveur de la non-prolifération et du désarmement nucléaire. En ce sens, cette conférence de négociation est une opportunité pertinente et nécessaire pour tous les États parties du TNP pour respecter leurs engagements, selon les termes du traité.
• 8. En considérant tous ces aspects, nous proposons que les éléments suivants soient pris en considération et incorporés dans la Convention :
Conséquences humanitaires
• 9. Le préambule de la Convention s'ouvre sur l'expression d'une profonde préoccupation quant aux conséquences humanitaires catastrophiques qui résulteraient de l'utilisation d'armes nucléaires, et explicite spécifiquement ces conséquences, ainsi que le raisonnement juridique qui rend l'interdiction des armes nucléaires nécessaire et appropriée.
• 10. Nous nous félicitons de cette déclaration, qui éclaircit la justification et les fondements sous-jacents de la Convention. Cependant, cela pourrait être énoncé dans des termes encore plus larges et plus complets en citant non seulement le droit international humanitaire, mais aussi les Droits humains, en particulier le droit individuel et collectif à la vie.
• 11. À cette fin, nous proposons un paragraphe supplémentaire du préambule après celui qui se réfère à l'objet et aux principes de la Charte des Nations Unies :
Compte tenu également du droit inhérent à la vie qui est déclaré dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme et dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques4 5
• 12. Nous estimons également que le préambule pourrait être renforcé par une reconnaissance plus explicite de l'impact non matériel des armes nucléaires sur la personne humaine et la dignité humaine. Ceci est propre au pouvoir d'annihilation instantanée de ces armes, pouvant ainsi réduire à néant les efforts minutieux d'innombrables générations d'hommes et de femmes.
• 13. À cette fin, nous souhaitons proposer un paragraphe de préambule supplémentaire :
Notant que l'existence prolongée d'armes nucléaires entrave la capacité des gens à envisager l'avenir et menace ainsi la dignité humaine - l'un des principaux objets que cherche à défendre le droit international humanitaire
Le rôle des femmes et des jeunes
• 14. Bien que la Convention fait mention de « l'impact disproportionné des rayonnements ionisants sur la santé maternelle et sur les filles », nous estimons qu'un bilan plus complet sur l'impact différents des armes nucléaires, selon le sexe et l'âge, ainsi que sur le rôle des femmes et des jeunes est important, car l'engagement actif de ces populations sera essentiel pour assurer le succès de la Convention.
• 15. À cette fin, nous souhaiterions proposer un paragraphe supplémentaire dans le préambule, après le paragraphe qui se réfère à l'objet et aux principes de la Charte des Nations Unies :
Ayant à l'esprit la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU sur les femmes, la paix et la sécurité et la résolution 2250 du Conseil de sécurité des Nations unies sur la jeunesse, la paix et la sécurité6 7
Un monde exempt d'armes nucléaires
• 16. Un ensemble d'aspirations éthiques universelles a été intégré à la Convention. Une nouvelle clarification de ceux-ci renforcerait les fondements de la Convention et recueillerait davantage encore l'adhésion des forces de la conscience publique.
• 17. À cette fin, nous souhaiterions proposer une modification de la clause du préambule suivante : Ayant à l'esprit que l'interdiction des armes nucléaires constituerait une contribution importante au désarmement nucléaire global,
par : Ayant à l'esprit que l'interdiction des armes nucléaires constituerait une contribution importante à un désarmement nucléaire complet, conduisant à un monde plus sûr pour tous et à la paix et à la sécurité d'un monde exempt d'armes nucléaires8
Au nom de, et pour le bien de l'humanité
• 18. Bien que la Convention soit adoptée par les États - et peut-être ne sera-t-elle adoptée que par des États qui ne possèdent pas d'armes nucléaires -, elle devrait légitimement être adoptée au nom de toute l'humanité. Pourquoi ? Parce qu'elle parle des préoccupations et des aspirations de l'humanité et incarne les qualités de jugement et d'action morales qui sont au coeur de ce qui signifie être humain : notre capacité à choisir l'espoir sur la peur, la foi sur le soupçon, la création sur la destruction, La vie sur la mort.
• 19. Compte tenu du caractère spécial de la Convention, du rôle joué par la société civile dans sa formulation à ce jour et de la nécessité de la participation de la société civile à l'avenir, il serait souhaitable que cela se reflète dans les termes des clauses du préambule.
• 20. À cette fin, nous souhaiterions proposer une modification de la clause Déterminée à agir à cette fin :
Déterminé à agir à cette fin, au nom de l'humanité, pour la sécurité humaine et le bien-être à long terme de tous les habitants de notre planète,
Le rôle essentiel de l'éducation au désarmement
• 21. Nous nous félicitons du dernier paragraphe du préambule soulignant « le rôle de la conscience publique dans la poursuite des principes d'humanité ». L'éducation au désarmement nucléaire a le pouvoir de communiquer et de renforcer les normes internationales interdisant les armes nucléaires, d'étendre et d'autonomiser la portée de la conscience publique et d'accroître l'élan en faveur du désarmement nucléaire complet.
• 22. Dans le cadre des obligations générales, actuellement stipulées à l'article 1, la Convention devrait contenir des paragraphes opérationnels avec des obligations positives pour tous les États parties à la Convention afin de soutenir l'éducation au désarmement à la fois dans leurs propres États et dans le monde.
• 23. À cette fin, nous souhaitons proposer une clause supplémentaire dans le cadre des obligations générales prévues à l'article 1 :
Chaque État partie fournira l'enseignement au désarmement nucléaire et à la non-prolifération afin de maintenir et de renforcer cette Convention et de réaliser un monde exempt d'armes nucléaires. La connaissance et l'expérience de l'immense pouvoir destructeur des armes nucléaires, ainsi que les blessures et les décès qu'elles causent, doivent être partagées à travers le monde et transmises de génération en génération. Une telle éducation devrait favoriser les compétences, les connaissances et les attitudes nécessaires pour réaliser et maintenir un monde exempt d'armes nucléaires.
Une quête mondiale de sécurité pour tous
• 24. Nous nous félicitons de la reconnaissance accordée aux hibakusha - un terme d'origine japonaise qui peut maintenant être compris comme désignant les victimes de la production, de l'essai et de l'utilisation d'armes nucléaires. Ces victimes ont exprimé la détermination que personne n'ait jamais à vivre ce qu'elles ont enduré. C'est là le cœur essentiel de la Convention.
•25. La compréhension que tous les membres de la famille humaine vivent sous la menace des conséquences catastrophiques des armes nucléaires et, en ce sens, sont tous des hibakusha potentiels, peut servir de base à la solidarité mondiale, rassembler les voix des gens, mobiliser la conscience publique et l'action individuelle, et générer la volonté politique de surmonter tous les obstacles à la réalisation d'un monde exempt d'armes nucléaires.
La SGI participe à une Convention aux Nations Unies pour l'abolition des armes nucléaires
Publié le mardi 20 juin 2017 14:57
Le 15 juin dernier, la deuxième session de la conférence visant à négocier une Convention juridiquement contraignante sur l'interdiction des armes nucléaires s'est réunie aux Nations Unies, à New York. Il s'agit là d'un jalon important dans le processus historique vers l'établissement d'un traité pour l'interdiction des armes nucléaires. La SGI a soumis ses propositions et commentaires dans le document de travail suivant.
Commentaires et propositions pour le projet de Convention sur l'interdiction des armes nucléaires
Soumis par la Soka Gakkai International (SGI)
New York, 27-31 mars 2017 et 15 juin-7 juillet 2017
Aperçu
• 1. La publication du projet de Convention sur l'interdiction des armes nucléaires marque une étape cruciale dans l'effort visant à libérer l'humanité et notre planète de la menace posée par les armes nucléaires - une menace qui a assombri notre monde depuis plus de sept décennies.
• 2. En tant que réseau populaire international de bouddhistes consacrés aux valeurs de la paix, de la culture et de l'éducation, nous, la Soka Gakkai Internationale (SGI), estimons que ce projet de texte peut être renforcé en intégrant des éléments qui en élargissent le cadre, et mettent en évidence la pertinence d'une telle Convention pour la vie de toutes les personnes, qu'ils vivent dans des États dotés de l'arme nucléaire ou dans des États qui y ont renoncé. Ce document de travail présente des idées et des propositions de changement dans les termes utilisés par la Convention, en considération de toutes les parties impliquées dans le processus de négociation.
Le défi de la sécurité
• 3. La sécurité, dans son sens le plus fort et le plus complet, est un désir partagé par tous les peuples. Comme la situation actuelle du monde le montre de manière évidente, les armes nucléaires ne contribuent pas de manière significative à la réalisation de la sécurité des États, définie au sens strict. Elles ne sont pas efficaces pour faire face aux menaces auxquelles l'humanité est confrontée. En fait, en raison de la destruction instantanée, durable et indiscriminée qu'elles causent, ces armes suscitent de nouvelles menaces intolérables.
• 4. Les armes nucléaires ont désormais dépassé le cadre de la logique traditionnelle de l'armement, de l'équilibre des forces ou de la dissuasion. Elles sont devenues des instruments de suicide planétaire. Au cœur de la question des armes nucléaires, il y a la négation radicale de l'Autre : son humanité et son droit égal au bonheur et à la vie. Comme l'a déclaré le président de la SGI, Daisaku Ikeda : « Si nous souhaitons mettre derrière nous l'ère de la terreur nucléaire, il faut lutter contre le véritable “ennemi”. Cet ennemi n'est pas l'arme nucléaire en soi, ni les États qui les possèdent ou les développent. L'ennemi réel que nous devons affronter est le mode de pensée qui justifie ces armes nucléaires ; la volonté d'anéantir les autres lorsqu'ils sont perçus comme une menace ou comme un obstacle à la réalisation de nos objectifs. »1
• 5. Les armes nucléaires ne répondent pas aux besoins réels en matière de sécurité des personnes ou des États. Il est clair que le monde serait plus sûr sans elles.
Un consensus mondial
• 6. Nous croyons qu'une compréhension partagée de la nature inacceptable des armes nucléaires a motivé l'engagement en faveur du désarmement nucléaire exprimé dans l'article VI du TNP.2 Le caractère sans équivoque de cet engagement a été affirmé dans le Document final adopté à l'unanimité par la Conférence d'examen du TNP de 2010, ainsi que la profonde préoccupation face aux conséquences humanitaires catastrophiques de toute utilisation de ces armes et à la volonté d'assurer la paix et la sécurité d'un monde sans armes nucléaires.3
• 7. Il est donc clair que la présente conférence de négociation et la Convention qu'elle cherche à produire sont pleinement compatibles avec les objectifs du TNP, qui est la pierre angulaire de l'effort mondial en faveur de la non-prolifération et du désarmement nucléaire. En ce sens, cette conférence de négociation est une opportunité pertinente et nécessaire pour tous les États parties du TNP pour respecter leurs engagements, selon les termes du traité.
• 8. En considérant tous ces aspects, nous proposons que les éléments suivants soient pris en considération et incorporés dans la Convention :
Conséquences humanitaires
• 9. Le préambule de la Convention s'ouvre sur l'expression d'une profonde préoccupation quant aux conséquences humanitaires catastrophiques qui résulteraient de l'utilisation d'armes nucléaires, et explicite spécifiquement ces conséquences, ainsi que le raisonnement juridique qui rend l'interdiction des armes nucléaires nécessaire et appropriée.
• 10. Nous nous félicitons de cette déclaration, qui éclaircit la justification et les fondements sous-jacents de la Convention. Cependant, cela pourrait être énoncé dans des termes encore plus larges et plus complets en citant non seulement le droit international humanitaire, mais aussi les Droits humains, en particulier le droit individuel et collectif à la vie.
• 11. À cette fin, nous proposons un paragraphe supplémentaire du préambule après celui qui se réfère à l'objet et aux principes de la Charte des Nations Unies :
Compte tenu également du droit inhérent à la vie qui est déclaré dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme et dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques4 5
• 12. Nous estimons également que le préambule pourrait être renforcé par une reconnaissance plus explicite de l'impact non matériel des armes nucléaires sur la personne humaine et la dignité humaine. Ceci est propre au pouvoir d'annihilation instantanée de ces armes, pouvant ainsi réduire à néant les efforts minutieux d'innombrables générations d'hommes et de femmes.
• 13. À cette fin, nous souhaitons proposer un paragraphe de préambule supplémentaire :
Notant que l'existence prolongée d'armes nucléaires entrave la capacité des gens à envisager l'avenir et menace ainsi la dignité humaine - l'un des principaux objets que cherche à défendre le droit international humanitaire
Le rôle des femmes et des jeunes
• 14. Bien que la Convention fait mention de « l'impact disproportionné des rayonnements ionisants sur la santé maternelle et sur les filles », nous estimons qu'un bilan plus complet sur l'impact différents des armes nucléaires, selon le sexe et l'âge, ainsi que sur le rôle des femmes et des jeunes est important, car l'engagement actif de ces populations sera essentiel pour assurer le succès de la Convention.
• 15. À cette fin, nous souhaiterions proposer un paragraphe supplémentaire dans le préambule, après le paragraphe qui se réfère à l'objet et aux principes de la Charte des Nations Unies :
Ayant à l'esprit la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU sur les femmes, la paix et la sécurité et la résolution 2250 du Conseil de sécurité des Nations unies sur la jeunesse, la paix et la sécurité6 7
Un monde exempt d'armes nucléaires
• 16. Un ensemble d'aspirations éthiques universelles a été intégré à la Convention. Une nouvelle clarification de ceux-ci renforcerait les fondements de la Convention et recueillerait davantage encore l'adhésion des forces de la conscience publique.
• 17. À cette fin, nous souhaiterions proposer une modification de la clause du préambule suivante : Ayant à l'esprit que l'interdiction des armes nucléaires constituerait une contribution importante au désarmement nucléaire global,
par : Ayant à l'esprit que l'interdiction des armes nucléaires constituerait une contribution importante à un désarmement nucléaire complet, conduisant à un monde plus sûr pour tous et à la paix et à la sécurité d'un monde exempt d'armes nucléaires8
Au nom de, et pour le bien de l'humanité
• 18. Bien que la Convention soit adoptée par les États - et peut-être ne sera-t-elle adoptée que par des États qui ne possèdent pas d'armes nucléaires -, elle devrait légitimement être adoptée au nom de toute l'humanité. Pourquoi ? Parce qu'elle parle des préoccupations et des aspirations de l'humanité et incarne les qualités de jugement et d'action morales qui sont au coeur de ce qui signifie être humain : notre capacité à choisir l'espoir sur la peur, la foi sur le soupçon, la création sur la destruction, La vie sur la mort.
• 19. Compte tenu du caractère spécial de la Convention, du rôle joué par la société civile dans sa formulation à ce jour et de la nécessité de la participation de la société civile à l'avenir, il serait souhaitable que cela se reflète dans les termes des clauses du préambule.
• 20. À cette fin, nous souhaiterions proposer une modification de la clause Déterminée à agir à cette fin :
Déterminé à agir à cette fin, au nom de l'humanité, pour la sécurité humaine et le bien-être à long terme de tous les habitants de notre planète,
Le rôle essentiel de l'éducation au désarmement
• 21. Nous nous félicitons du dernier paragraphe du préambule soulignant « le rôle de la conscience publique dans la poursuite des principes d'humanité ». L'éducation au désarmement nucléaire a le pouvoir de communiquer et de renforcer les normes internationales interdisant les armes nucléaires, d'étendre et d'autonomiser la portée de la conscience publique et d'accroître l'élan en faveur du désarmement nucléaire complet.
• 22. Dans le cadre des obligations générales, actuellement stipulées à l'article 1, la Convention devrait contenir des paragraphes opérationnels avec des obligations positives pour tous les États parties à la Convention afin de soutenir l'éducation au désarmement à la fois dans leurs propres États et dans le monde.
• 23. À cette fin, nous souhaitons proposer une clause supplémentaire dans le cadre des obligations générales prévues à l'article 1 :
Chaque État partie fournira l'enseignement au désarmement nucléaire et à la non-prolifération afin de maintenir et de renforcer cette Convention et de réaliser un monde exempt d'armes nucléaires. La connaissance et l'expérience de l'immense pouvoir destructeur des armes nucléaires, ainsi que les blessures et les décès qu'elles causent, doivent être partagées à travers le monde et transmises de génération en génération. Une telle éducation devrait favoriser les compétences, les connaissances et les attitudes nécessaires pour réaliser et maintenir un monde exempt d'armes nucléaires.
Une quête mondiale de sécurité pour tous
• 24. Nous nous félicitons de la reconnaissance accordée aux hibakusha - un terme d'origine japonaise qui peut maintenant être compris comme désignant les victimes de la production, de l'essai et de l'utilisation d'armes nucléaires. Ces victimes ont exprimé la détermination que personne n'ait jamais à vivre ce qu'elles ont enduré. C'est là le cœur essentiel de la Convention.
•25. La compréhension que tous les membres de la famille humaine vivent sous la menace des conséquences catastrophiques des armes nucléaires et, en ce sens, sont tous des hibakusha potentiels, peut servir de base à la solidarité mondiale, rassembler les voix des gens, mobiliser la conscience publique et l'action individuelle, et générer la volonté politique de surmonter tous les obstacles à la réalisation d'un monde exempt d'armes nucléaires.

- vic
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Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 23:46Mais bien sûr qu'une secte s'infiltre partout et cherche à s'infiltrer partout et à bénéficier de l'ignorance collective et faire croire à leur adeptes qu'ils bénificient d'une respectabilité mondiale , c'est pas nouveau , la scientologie aussi doit sans doute être invité à l'onu .
La propagation des idées de la secte passent avant tout par de la com , afin de sauver les apparences et gommer ce qu'on en dit sur le net par ailleurs .
Tu crois vraiment qu'on est né de la dernière pluie .
La propagation des idées de la secte passent avant tout par de la com , afin de sauver les apparences et gommer ce qu'on en dit sur le net par ailleurs .
Tu crois vraiment qu'on est né de la dernière pluie .

Une religion qui serait une religion de vérité chercherait la vérité sur la vie en se plaçant directement au coeur de la vie , et ne chercherait pas à en fabriquer une par la foi artificiellement .
Re: Le président des communautés bouddhistes d'Espagne
Ecrit le 11 juil.17, 23:59Interressant :
Herbie Hancock, ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO
Publié le jeudi 8 septembre 2011 10:16
Pianiste de jazz et pratiquant du bouddhisme au sein du mouvement Soka aux États-Unis, Herbie Hancock a été honoré par l'Unesco, à Paris, en juillet dernier.
Le 22 juillet 2011, Mme Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco, et M. David Killion, ambassadeur délégué permanent des États-Unis auprès de cette institution, ont décerné à M. Herbie Hancock le titre d'« ambassadeur de bonne volonté pour la promotion du dialogue interculture ».
Bien connu pour sa participation en tant que pianiste du quintet légendaire du trompettiste Miles Davis, Herbie Hancock n'a pas seulement composé plusieurs albums qui ont durablement influencé la musique électronique. Il a continué à faire de la musique acoustique, notamment au sein d'un groupe comprenant d'autres interprètes de grand talent, comme le bassiste Buster Williams et le saxophoniste Benny Maupin, qui l'avaient devancé dans la pratique du bouddhisme de Nichiren, que Herbie Hancock a commencé, pour sa part, en 1974.
Dans son discours de remerciements, Herbie Hancocka déclaré : « Je m'engage à défendre les idéaux de l'Unesco qui ont d'ailleurs été les miens toute ma vie (...).» Il a rappelé qu'il s’intéressait beaucoup aux nouvelles technologies : « véhicule de transformation, qui permettent d'explorer des sons expérimentaux et novateurs ».
« Mes années avec Miles Davis, a-t-il ajouté, m'ont appris qu'il nous faut parfois abandonner tous nos repères pour créer une œuvre d'une exceptionnelle Originalité... J'aime relever les défis et n'ai pas peur des idées nouvelles... Je crois que la musique rapproche les gens et qu'ils ont beaucoup plus en commun qu'ils ne le pensent eux-mêmes(...) ».
Herbie Hancocka ensuite évoqué l'ouragan Katrina qui dévasta La Nouvelle-Orléans, en août 2005. Visitan récemment cette ville où est né le jazz, et constatant l'énergie retrouvée de ses habitants, il s'est souvenu de l'adage d'« un sage japonais du XIIIe siècle » : « Une personne se relève toujours précisément là où elle est tombée. » (L&T-II, 342) Il a annoncé la création d'une journée internationale du jazz parrainée par l’Unesco, et proposé que des lieux où le jazz a pris naissance, tels que La Nouvelle-Orléans, soient considéré comme des « sites symboliques ».
Cette soirée en l’honneur de Herbie Hancock rappelait que, en plus d'être un musicien apprécié dans le monde entier, il consacre aussi une grande partie de son temps à de nombreuses activités favorisant les échanges interculturels. Il organise depuis plusieurs années, à Tokyo, un festival de jazz auquel participent des musiciens venus de tous les pays du monde, y compris du Sénégal et de Cuba. Il est ainsi cofondateur, avec Daisaku Ikeda, du Comité international des artistes pour la paix, auquel participent notamment l’acteur Patrick Duffy et le guitariste Carlos Santana.
Son dernier enregistrement The Imagine Project réunit des musiciens de toutes les parties du monde et emprunte son titre à la célèbre composition du chanteur des Beatles, John Lennon, Imagine, dont les paroles sont célèbres :
Imagine tous les humains, vivant en paix (...)
John Lennon, Imagine
De tout temps, les musiciens de jazz, en quittant leur pays pour faire écouter une nouvelle musique, ont allumé partout où on les entendait une étincelle de créativité. En ce sens, ils ont toujours été des « ambassadeurs de bonne volonté ».
Herbie Hancock, ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO
Publié le jeudi 8 septembre 2011 10:16
Pianiste de jazz et pratiquant du bouddhisme au sein du mouvement Soka aux États-Unis, Herbie Hancock a été honoré par l'Unesco, à Paris, en juillet dernier.
Le 22 juillet 2011, Mme Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco, et M. David Killion, ambassadeur délégué permanent des États-Unis auprès de cette institution, ont décerné à M. Herbie Hancock le titre d'« ambassadeur de bonne volonté pour la promotion du dialogue interculture ».
Bien connu pour sa participation en tant que pianiste du quintet légendaire du trompettiste Miles Davis, Herbie Hancock n'a pas seulement composé plusieurs albums qui ont durablement influencé la musique électronique. Il a continué à faire de la musique acoustique, notamment au sein d'un groupe comprenant d'autres interprètes de grand talent, comme le bassiste Buster Williams et le saxophoniste Benny Maupin, qui l'avaient devancé dans la pratique du bouddhisme de Nichiren, que Herbie Hancock a commencé, pour sa part, en 1974.
Dans son discours de remerciements, Herbie Hancocka déclaré : « Je m'engage à défendre les idéaux de l'Unesco qui ont d'ailleurs été les miens toute ma vie (...).» Il a rappelé qu'il s’intéressait beaucoup aux nouvelles technologies : « véhicule de transformation, qui permettent d'explorer des sons expérimentaux et novateurs ».
« Mes années avec Miles Davis, a-t-il ajouté, m'ont appris qu'il nous faut parfois abandonner tous nos repères pour créer une œuvre d'une exceptionnelle Originalité... J'aime relever les défis et n'ai pas peur des idées nouvelles... Je crois que la musique rapproche les gens et qu'ils ont beaucoup plus en commun qu'ils ne le pensent eux-mêmes(...) ».
Herbie Hancocka ensuite évoqué l'ouragan Katrina qui dévasta La Nouvelle-Orléans, en août 2005. Visitan récemment cette ville où est né le jazz, et constatant l'énergie retrouvée de ses habitants, il s'est souvenu de l'adage d'« un sage japonais du XIIIe siècle » : « Une personne se relève toujours précisément là où elle est tombée. » (L&T-II, 342) Il a annoncé la création d'une journée internationale du jazz parrainée par l’Unesco, et proposé que des lieux où le jazz a pris naissance, tels que La Nouvelle-Orléans, soient considéré comme des « sites symboliques ».
Cette soirée en l’honneur de Herbie Hancock rappelait que, en plus d'être un musicien apprécié dans le monde entier, il consacre aussi une grande partie de son temps à de nombreuses activités favorisant les échanges interculturels. Il organise depuis plusieurs années, à Tokyo, un festival de jazz auquel participent des musiciens venus de tous les pays du monde, y compris du Sénégal et de Cuba. Il est ainsi cofondateur, avec Daisaku Ikeda, du Comité international des artistes pour la paix, auquel participent notamment l’acteur Patrick Duffy et le guitariste Carlos Santana.
Son dernier enregistrement The Imagine Project réunit des musiciens de toutes les parties du monde et emprunte son titre à la célèbre composition du chanteur des Beatles, John Lennon, Imagine, dont les paroles sont célèbres :
Imagine tous les humains, vivant en paix (...)
John Lennon, Imagine
De tout temps, les musiciens de jazz, en quittant leur pays pour faire écouter une nouvelle musique, ont allumé partout où on les entendait une étincelle de créativité. En ce sens, ils ont toujours été des « ambassadeurs de bonne volonté ».

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