Primauté au libre choix individuel :
Tu as raison de souligner l’importance du libre choix individuel, et je ne remets pas du tout cela en cause. Mon hypothèse concernant une "source d’information" ou une entité cognitive comme "IC" n’implique en rien une forme de soumission ou d’asservissement. Si une telle structure existe, son influence ou son interaction serait inconsciente par définition, mais cela n’implique en rien une tyrannie. Toutes les décisions conscientes et délibérées individuelles resteraient le propre des "E".
Identification et consentement à l’interaction :
Tu insistes sur la nécessité qu’une entité s’identifie avant toute interaction. Je comprends cette exigence, mais si "IC" est une structure collective et non physique ou non locale, elle pourrait ne pas fonctionner selon les mêmes règles que les entités physiques auxquelles nous sommes habitués. Ce n’est pas une volonté d’imposer ou de dissimuler quoi que ce soit, mais plutôt une conséquence logique de sa nature hypothétique.
La question de la "dictature" ou de la "violation du territoire privé" :
Je ne dis pas, ni ne pense, que "IC" ou quoi que ce soit d’autre aurait le droit de violer un territoire privé ou le ferait d'une quelconque manière. Et le droit selon qui ou quoi ? Si une interaction est ressentie comme intrusive ou oppressante, je ne l'exclus pas, en quoi ce serait nécessairement la norme ? L’hypothèse d’"IC" repose sur l’idée d’une interconnexion potentielle, et non sur une intrusion autoritaire. Les ressentis ou expériences que tu décris mériteraient d’être explorés séparément, car ils relèvent peut-être d’autres phénomènes psychiques ou technologiques.
Sur le parasitisme et l’extraction d’énergie vitale :
Les comportements que tu décris relèvent d’une hostilité manifeste. Je comprends combien cela peut être éprouvant. Cela dit, cet "IC" dont je fait l'hypothèse n’a pas nécessairement de lien avec des actes de parasitisme ou de ponction énergétique dont tu parles. Si tu as vécu des situations de ce type, je pense qu’il serait pertinent de les distinguer de l’hypothèse que je développe ici. "IC", dans mon propos, est une hypothèse exploratoire et non une entité dotée a priori de volonté propre ou malveillante.
Sur les intrusions technologiques et sociopolitiques :
Tu mentionnes des piratages, des intrusions et des manipulations institutionnelles. Ces préoccupations sont parfaitement légitimes, mais elles relèvent de problématiques concrètes et spécifiques (surveillance technologique, abus de pouvoir) qui n’ont rien à voir avec mon hypothèse. Mon exploration concerne des dynamiques cognitives et collectives, et non des mécanismes d’oppression tangibles et technologiques.
"Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut" :
En citant cette maxime, tu invites à réfléchir sur les liens entre les plans individuel et collectif. Cela rejoint en partie mon hypothèse, selon laquelle "IC" pourrait émerger des interactions entre les différents "E". Je ne vois pas cette émergence comme oppressive, mais comme une manière d’expliquer certaines dynamiques complexes de l’inconscient, à la fois individuel et collectif, et notamment des phénomènes comme la précognition inconsciente, la télépathie, certaines intuitions ou accès à certaines informations non accessibles autrement, la vision à distance, etc...
Pour conclure, je comprends tes craintes et ton besoin de préserver ton autonomie. Mais je pense que tu interprètes mal mon hypothèse. Elle cherche à explorer des possibles, pas à affirmer ou justifier des contraintes. Si tu fais face à des injustices ou des atteintes concrètes, elles n’ont a priori aucun rapport avec "IC" tel que je le décris. Elles méritent une attention et une enquête spécifiques et nécessitent de considérer d'autres hypothèses.
Réponse point par point à tes remarques :
"De quel droit m'imposerait-on une entité cognitive structurée dans une dimension non physique ou non locale ?"
Je tiens à préciser que mon propos ne vise pas à imposer l'idée d'une telle entité, mais à envisager une hypothèse explicative d'un phénomène complexe : la connexion psychique entre esprits individuels et une éventuelle intelligence collective. Mon approche reste purement exploratoire et ouverte au débat. Il ne s'agit nullement d'une affirmation absolue, encore moins d'une contrainte. Et je ne conçois pas cet "IC" a priori comme contraignante.
"Avant même d'établir une interaction volontaire avec quiconque, il est essentiel que l'entité s'identifie dans un premier temps."
Je comprends et respecte ton attachement au libre arbitre et à la transparence, je le partage aussi. Cependant, dans le cadre hypothétique que je propose, "IC" n'est pas une entité physique ou anthropomorphique avec des intentions propres. Il s'agit de ce qui permet possiblement une mise en relation psychique entre les 'E'. Il s’agirait plutôt d’un structure naturelle intelligente et fonctionnelle, comparable à un réseau neuronal à grande échelle ou un champ d'information partagé, et non d’une entité individuelle dotée d'intention propre en tant que telle.
"De quel droit une structure inconnue violerait-elle mon territoire privé en m'imposant sa dictature et/ou ses idéologies perverses ?"
Ma proposition ne présuppose a priori aucune intention de domination ou d’imposition de la part de "IC". Je vois plutôt "IC" comme un médiateur, un outil naturel qui permet l'échange d'informations inconscientes, dans le respect des processus intrinsèques de chaque "E". Si ce modèle peut permettre des interactions ressenties comme intrusives, elles pourraient davantage s'expliquer par un déséquilibre ou une défaillance dans le fonctionnement des 'II', 'IC' ou des 'E', plutôt que par une volonté de contrôle centralisé ou de dictature.
"De quel droit me viderait-elle à répétition de mon énergie vitale ?"
Rien dans ma théorie ne suggère que "IC" aurait pour fonction d’épuiser l'énergie vitale. Au contraire, je l’imagine comme un système d’échange harmonieux, destiné à compenser des carences ou résoudre des problèmes via des mécanismes inconscients. Si des phénomènes d’épuisement surviennent, il serait pertinent de chercher des causes exogènes ou des dysfonctionnements psychologiques ou biologiques dans les interactions entre "II", "E", et "IC".
"De quel droit épierait-elle mes moindres faits et gestes ou parasiterait-elle ma navigation sur la toile ?"
L’idée de surveillance ou de parasitage ne relève absolument pas de mon hypothèse. Si de tels phénomènes se produisent, ils sont à distinguer d’un modèle hypothétique de connexion psychique collective. Je n’ai jamais suggéré qu’"IC" soit doté de capacités similaires à celles d’un système de surveillance physique ou numérique. Cela semble relever d'un amalgame ou d'une projection.
"De quel droit volerait-elle mon identité et provoquerait-elle des accidents ?"
Je crois qu’il y a ici un malentendu profond sur la nature et les implications de l’hypothèse que je propose. En aucun cas "IC", tel que je l’envisage, ne serait a priori responsable d’actions intentionnelles ou nuisibles. Si des événements comme ceux que tu décris ont eu lieu, ils seraient davantage attribuables à des phénomènes humains, sociaux ou techniques concrets, et non à l' "IC" comme je le postule.
"Les agences policières municipales obéissent aveuglément à l'inconscient collectif contre rémunération."
Tu fais ici référence à des institutions humaines et sociales, avec des enjeux de pouvoir et d’intérêts humains matériels. Ce type de considération, bien qu’intéressant, ne concerne pas directement ma réflexion sur "IC". Les dérives institutionnelles, relèvent plutôt d’un autre domaine d’analyse et d'autres éléments à considérer.
Conclusion :
Je reconnais que ton scepticisme est légitime et précieux dans le cadre d’un débat intellectuel. Mon intention n'est pas d'imposer une vision, mais de proposer une structure conceptuelle pour réfléchir à des phénomènes qui échappent à notre compréhension actuelle, tels la précognition inconsciente, la télépathie, certaines intuitions ou accès à certaines informations non accessibles autrement, la vision à distance, etc... Je t'invite à continuer d’explorer ces idées avec un esprit critique, tout en évitant les amalgames entre des hypothèses théoriques et des phénomènes concrets de nature différente.
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- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !