a écrit :Le problème des gens, c'est qu'ils sont convaincus que le vaccin devait correspondre à leurs attentes. On dirait qu'ils découvrent le principe du vaccin, qui une fois de plus, n'est pas censé empêcher la contamination.
La notion d'immunité collective nous a été vendue par certains virologues et par le pouvoir en place, ce n'est pas une invention sortie de l'esprit des "gens", par exemple le Pr. Karine Lacombe affirmait ceci le 23 déc. 2020, voir à partir de la minute 17,04 :
https://www.youtube.com/watch?v=jx5W39Fp1qk
VERAN, CASTEX, MACRON ... Nous ont aussi vendu cette idée d'immunité collective et d'un vaccin qui empêchait la contamination
https://www.youtube.com/watch?v=dOqg3hiZEoA
Ces promesses de certains virologues et du pouvoir politique a abouti à une vraie déception, comme le précise le Pr CAUMES (pro vaccin), "
Maintenant, on sait tout sur les vaccins et globalement, on est déçu" :
https://www.youtube.com/watch?v=V64w8JsGVrI
a écrit :Sauf que tu ne donnes aucune solution pour que l'hôpital ne soit pas surchargée avec malades du Covid. Car il faut être logique ! Si on ne vaccine que les personnes à risque, non seulement ces personnes à risque arriveront en partie à l'hôpital quand même, mais en plus tous ceux qui ne sont vaccinés, et qui ne seraient pas arrivé l'hôpital si ils étaient vaccinés.
MLP,
Effectivement 40 % des contaminés qui finissent en soins critiques sont des "vaccinés", le résultat est modeste mais nous ne pouvons pas non plus faire la fine bouche, ce résultat MODESTE a participé à ne pas engorger les soins critiques. En fait je pense que le débat ne porte pas sur le vaccin mais sur la STRATEGIE sanitaire à adopter, globalement nous avions deux options, chaque qu'une est défendue par des virologues :
1) La vaccination de masse et quasi obligatoire.
2) La vaccination (obligatoire ou pas) des personnes à risques.
Je pense que la première option envisage le pire et prône la politique du pire (ce n'est pas péjoratif) avec une vaccination de masse et même des enfants (qui ne courent pratiquement aucun risque), quant à la deuxième option, elle préfère une vaccination ciblée. Il a été établi que la Covid provoque une hospitalisation essentiellement et presque exclusivement des personnes avec certaines comorbidités et à partir d'un certains âges, par exemple le risque d'hospitalisation est doublé chez les 60-64 ans, triplé chez les 70-74 ans, multiplié par 6 chez les 80-84 ans et par 12 chez les 90 ans et plus. L'âge médian des patients hospitalisés est de 72 ans.
Les maladies à risque OU comorbidités sont clairement identifiées : Maladies cardiovasculaires, Diabète, Maladies chroniques respiratoires, Insuffisance rénale chronique, Cancers ...
Personnellement, je serais favorable à la deuxième option qui semble plus être de la médecine, car pour la médecine vise à soigner et à protéger les personnes malades et à risques.
Je rappelle que selon un chercheur, Alexis Corbière de l'Inserm, qu'environ 40% de ces gens (les non vaccinés) ne se tournent pas vers les vaccins "principalement par difficulté d'accès". Il y a un travail qui n'a pas été fait sous ce rapport.
C'est une question de STRATEGIE, celle qui cible les personnes à risqué me semble avoir l'avantage de respecter notre droits communs et de ne pas installer la France sous des lois d'exceptions (ou d'une manière moindre). C'est une question de CHOIX mais dans ce domaine, il n'y a pas d'unanimité.
a écrit :Il ne t'a pas échappé que l'épidémie dès le départ, s'est largement répandu en Europe, en faisant énormément de victimes. Pourtant, personne n'était vacciné. Il n'y a donc aucun rapport entre les deux.
MLP,
Le constat que j'ai mis en évidence est incontournable, la zone la plus vaccinée au monde, c'est l'Europe et c'est l'épicentre de l'épidémie. Je ne sais pas quelle conclusion en tirer mais c'est un FAIT.
a écrit :La Belle époque ou la science n'est validé que par Youtube !!!!
Dr Alice Desbiolles, Pr Claverie ... sont des spécialistes aux mêmes titres que les autres.