Anonymous a écrit :AHASVERUS TU A L'AIR D'AIMER L'HISTOIRE DES CIVILISATIONS
JE T'AI TROUVÉ CE TEXTE QUI RESUME TON PERSONNAGE.
Dès le début de sa diffusion, l’histoire du Juif Errant (en allemand: «Der ewige Jude» signifiant «le juif éternel»; en anglais: «The Wandering Jew» signifiant «le juif vagabond»; et, en espagnol: le «Juif Errant» est traduit par «le juif qui attend Dieu») contient des éléments constitutifs du mythe: un personnage, sans cesse renouvelé, au destin extraordinaire créé par l’imagination populaire. Elle est devenue une figure de l’errance. Le mythe s’est répandu dans toute l’Europe du Moyen Âge au XIXe siècle et continue, aujourd’hui encore, à fasciner par l’actualité des questions qu’il pose: la nature de Dieu et le destin de l’Homme; puisque le Juif errant se trouve lui-même dans un état intermédiaire entre les deux mondes.
En 1259, un moine bénédictin, Matthieu Pâris, relate dans sa chronique le récit que lui fit un évêque arménien en visite au monastère de St Albans en 1228: «Lorsque Jésus fut entraîné par les Juifs hors du prétoire pour être crucifié, Cartaphilus, portier de Ponce Pilate, le poussa par derrière avec le poing, en lui disant d’un ton de mépris: «Jésus, marche plus vite. Pourquoi t’arrêtes-tu?» Alors, le Christ, arrêtant sur cet homme un regard triste et sévère, lui répondit: «Je marche comme il est écrit, et je me reposerai bientôt; mais toi, tu marcheras jusqu’à ma venue.». La légende va se répandre en Europe au début du XVIIe siècle, à la faveur des récits de voyage des pèlerins qui rebaptisent le personnage de tous les noms. Mais, c’est en Allemagne que la légende va connaître sa deuxième version importante. Lors de la Réforme, l’auteur d’une lettre anonyme rapporte le récit d’un évêque allemand, Paul d’Eitzen, qui affirme avoir rencontré dans une église de Hambourg, non pas le portier romain de la tradition, mais un cordonnier juif très vieux, Ahasvérus. Sur le chemin du Golgotha où il doit être crucifié, Jésus Christ demande un instant de repos au cordonnier Ahasvérus dont l’atelier est ouvert. Celui-ci refuse peut-être par colère ou pour ne pas se démarquer de la masse du peuple juif qui réclame la mort du Nazaréen. Il l’exhorte à marcher au-devant de sa mort. Jésus le condamne alors à marcher éternellement sur terre en attendant son retour.
L’errance du personnage mythique se manifeste par l’errance même de ses appellations dans toute l’Europe: Ahasvérus (le cordonnier) peut-être une déformation d’Assuérus, roi des Perses d’après le Livre d’Esther (v. d’Ormesson, Histoire du Juif Errant); Cartaphilus (le portier de Ponce Pilate), souvent confondu avec Malchus, peut être le soldat qui frappa Jésus dans le palais de Caïphe et qui est, par cette offense, associé au personnage du Juif maudit




tu ne connaissais pas l'histoire du juif errant?

tu n'as jamais lu "le juif errant" d'Eugène Sue ??
Alors au delà de ton résumé sans grand intéret je conseille à chacun le plus beau des romans consacrés au juif errant:
l'amant sans domicile fixe de fruttero et Lucentini
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(je ne sais pas si notre ahasverus connait, mais je pense que rien que le titre le ravira!
