Je suis bouddhiste...

Croyances issu des enseignements de Siddhartha Gautama, considéré comme le Bouddha historique.
Règles du forum
Le bouddhisme est une pratique, une philosophie de vie fondée par un sage de l'inde antique vers -600 avant JC, ce sage appelé "Bouddha" ce qui veut dire Éveillé, atteint l'Éveil vers 40 ans puis il enseigna durant toute sa vie, il mourut vers 80 ans en ayant établi une communauté de sa doctrine.
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Alisdair

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Ecrit le 27 nov.06, 03:55

Message par Alisdair »

Merci de vos réponses.
Désolé pour mon message tapé en étant fatigué (je m'aperçois qu'il était illisible mais vous avez fait avec,merci).
Je trouve assez tirste que Samtem qui ce forum où sa parole m'a été précieuse.

Je suis de plus en plus atéré devant le manque de tolérance, la critique facile, le prosélytisme acerbe et le fondamentalisme de mes "Frères".
De l'ordre du "la Bible seule suffit, lisez la de façon littérale)" bref je suis pas spirituellement dans ma voie.

Moi qui pense depuis tout petit que la médiété, l'équilibre, la raison, la réfléxion permet d'éviter de dévier dans les extrêmismes. Là je découvre une Foi où la ferveur importe sur le reste.
En digne fils des lumières, le Christianisme m'apparaît mal accordé avec ma spiritualité.
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quintessence

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Ecrit le 10 déc.06, 06:17

Message par quintessence »

son marie est musulman alors j'ai tenté ... mais pas de probléme IIuowolus tous mes excuses...

theshaka

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Ecrit le 04 mars07, 04:12

Message par theshaka »

Ce qu'il faut savoir avant tout, cest que le bouddhisme n'est pas une religion, dans le bouddhisme il n'y a pas de croyance.. dans le bouddhisme tout est véridique. La citation de Gandhi est belle, mais le bouddhisme n'est pas inclus dans cette phrase selon moi.

IIuowolus

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Ecrit le 04 mars07, 04:32

Message par IIuowolus »

theshaka a écrit :La citation de Gandhi est belle, mais le bouddhisme n'est pas inclus dans cette phrase selon moi.
Ganghi était pas boudiste, il était ascéte, ça se voit à ses vêtements.

thubtenwangchuk

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bonjour à tous

Ecrit le 19 mai07, 06:50

Message par thubtenwangchuk »

je viens de découvrir ce forum et souhaite donc partager avec vous le peu que j'ai à offrir.
Merci d'avoir créé ce lieu d'échange,

Tashi Delegs,
Thubten Wangchuk

petit scarabé

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Ecrit le 02 oct.07, 12:23

Message par petit scarabé »

"quand on est au coeur d'une religion, on est au coeur de toutes les religions".

Cette citation de Gandhi ( qui n'est pas bouddhiste mais hindouiste) est une très belle citation qui s'accorde avec toute religion qui comme toute religion a vocation universelle . . .
C'est au delà de l'intégrisme ou du fondamentalisme religieux qui fait "des vagues" dans l'actualité aujourd'hui ( pas seulement islamiste).
Personnellement je suis catholique ( baptisé et j'ai été aussi 2ans dans un pensionnat jésuite dans mon enfance) avec 1ère communion . . .
Mais l'instabilité du milieu familiale et les difficultés à m'intégrer dans la société, un certain mal de vivre, de mal être m'ont amené après de nombreuses expériences et péripéties à m'interresser au bouddhisme et je suis depuis 20 ans dans une sangha bouddhiste.
Ce n'est pas contradictoire avec mes origines de culture catholique puisqu'il n'y a pas de dogmes dans le bouddhisme et "on ne se convertis pas au bouddhisme", mais à partir d'un certain niveau de pratique ou d'avancement dans la pratique, il y a un choix à faire . . .
Le disciple d'un maître bouddhiste ne peut en même temps suivre une pratique catholique et bouddhiste en même temps, c'est incompatible . . .
Ce serait comme avoir un pieds dans une barque et l'autre dans une autre barque, c'est très inconfortable quand ça bouge . . . :oops:
Je n'ai pas eu beaucoup de difficulté à prendre cette direction, ma "foi catholique" n'étant pas quelquechose de bien solide . . .
Mon opinion actuelle pour ce qui est de la religion est tout à fait en accord avec cette citation de Gandhi et je suis persuadé qu'il y a un fond commun à toutes les religions, le problème vient des institutions, le "pouvoir institutionnel" et les guerres de religion viennent en grande parti de là avec bien sûr notre ignorance des vérités premières, de notre nature originelle . . .
Mais s'il y a un fond commun, il est aussi erroné de faire du "syncrétisme" et tout mélanger . . .
Comme dit la citation, c'est en approfondissant et en allant au fond, au coeur de sa propre religion que l'on réalise l'universalité et la compréhension de l'autre . . .
"Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers et les dieux" de Socrate est aussi une citation que j'aime bien . . .
Le bouddhisme par rapport à tout celà est fondamentalement à l'origine une pratique plus qu'une religion qui se base sur la réalité de la souffrance, l'émancipation par rapport à cette souffrance en retouvant l'unité avec toute chose ( l'illusion d'être "séparé").
Le bouddhisme est je trouve "implacable" en ce qui concerne l'illusion et notre "ignorance" . . .

IIuowolus

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Ecrit le 02 oct.07, 21:11

Message par IIuowolus »

Mise à part ce qui suite, le reste résume bien l'ilusion de la réalité.
petit scarabé a écrit : Ce n'est pas contradictoire avec mes origines de culture catholique puisqu'il n'y a pas de dogmes dans le bouddhisme et "on ne se convertis pas au bouddhisme", mais à partir d'un certain niveau de pratique ou d'avancement dans la pratique, il y a un choix à faire . . .
Le disciple d'un maître bouddhiste ne peut en même temps suivre une pratique catholique et bouddhiste en même temps, c'est incompatible . . .
mais ça c'est plutôt lier à la connaisssance de soi-même.

le choix.

le choix n'existe pas, pour trois raison.

1. le choix c'est pas prendre un chose ou un autre, déjà rien que dans
l'origine ethymologique choisir et choir sont fait du même sang.

le choix c'est la selection dans un diversité. ex: manger un glace vanille plutot que chocolat ça c'est un choix sur le papier pas dans le choix de notre vie.

choisir un chemin plutot qu'un autre n'est pas une questions de préférence et de choix mais un questions d'éthique et d'amour.

2. le choix est induit puisque la plus part du temps nous attendons d'être au pieds du mur pour choisir donc c'est plutot un decision qui s'impose d'elle même qu'un liberté.

3. si on se connais soit même on a plus vraiment le choix
puisque l'on agit en conscéquence de sa nature.

Revenons à ce que tu as dit, tu dit que n'importe qu'elle amour profonds de la religion conduit aux religions ou que les religions sont toutes frères.
mais tu fait un blocage avec le catholisme, qui se retrouve dans la phrase suivant puisque tu te défini comme le disciple d'un maitre boudisme alors
que dans le boudisme le souhait du maitre et que l'éléve dépasse le maitre et que de donner de l'importance à une personne bloque notre ascension ce qui résume que tu te connais trés mal puisque nous sômme tous fait de même bois.
Un problème de conflit avec l'autorité et un manque de confiance en soi,
que tu décrit dans l'énoncée de ton parcours adolescent.

En d'autre termes le vide que tu as cherchez à combler n'existe pas,
il est seulement induit par le faites que tu le considérent comme un vide
alors que c'est une force puissante, c'est juste que ton éducation induit
une conscience de la réalité limité par l'educateur, c'est pour ça que tu vas cherchez dans le boudisme l'ouverture de conscience que l'acceptation de l'inacceptable te permet pas d'avoir.

ni vois pas un reproche ton chemin est propre à toi et nécessaire pour ton épanouissement, dans ton discours on vois qu'il est temps que tu arrête de regardez par terre (soumission) et que tu léve les yeux (emancipation) et tu verras qu'en dessus de chaque porte de temple boudisme il est écrit: un homme une religion mille homme mille religion.

Parce que dans l'ensemble on peut pas crâcher dans la soupe,
il y a un notion de karma qui fait que ton incarnation en catholique
t'était nécessaire pour approchez les boudhismes différement
pour sortir de la roue/chaine que tu n'arrive pas à briser.

En d'autre terme si tu veux être un boudha permets toi de pensée
comme lui arrête de le placer plus haut que toi.
Parce que l'aigle n'attrape pas des mouches et que l'on ne peut avoir qu'un seul maitre...

petit scarabé

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Ecrit le 03 oct.07, 07:17

Message par petit scarabé »

Sur la question du choix, il est vrai que ce n'est pas évident . . .
Surtout si le "maître" n'est pas un "gourou-charlatan" ou autre chef de secte, mais un vrai maître . . .
Il y a une citation d'un maître zen qui résume ce problème à dépasser;
-" Maitres, sutras, et toutes traces laissées par la tradition sont comme un paravent posé au bord du précipice . . .
L'ignorer, serait tout aussi fou que de s'appuyer dessus . . ." :wink:

IIuowolus

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Ecrit le 03 oct.07, 21:20

Message par IIuowolus »

petit scarabé a écrit :Sur la question du choix, il est vrai que ce n'est pas évident . . .
Surtout si le "maître" n'est pas un "gourou-charlatan" ou autre chef de secte, mais un vrai maître . . .
Il y a une citation d'un maître zen qui résume ce problème à dépasser;
-" Maitres, sutras, et toutes traces laissées par la tradition sont comme un paravent posé au bord du précipice . . .
L'ignorer, serait tout aussi fou que de s'appuyer dessus . . ." :wink:
J'adore comme tu nous sort une idées sa solution et comme tu te sens
incapable d'en faire la synthése...

le maître qui n'en est pas un, il est guide, maitre n'est qu'un titre
le maître n'as que faire du pouvoir...

le maitre dit, ne juge pas la touffe qui pousse, mais vois y la fleur qui va s'épanouir.

En d'autre terme, ça veux dirent que passez dans une secte n'est pas un mauvaise choses si au final celà permets l'épanouissement.

Pour un asiatique celà passe nécessairement par l'accomplissement d'un karma qui par definition est personelle, le chemin de chacun est unique, on le vois bien dans l'accomplissement du Dharma, il y a un stade ou le chemin s'arpentent seul, c'est un peu comme le système scolaire, il est le même pour tous, mais pour la suite chacun suit son chemin et c'est de cette diversité des chemins que se crée la diversité des sommités mondiales.

En d'autre terme, il faut des gens pour planté le parasol, d'autre qui s'y abrites du soleil et d'autre qui s'appuie et tombe dans le précipice.
Tout ça c'est conditionner par l'émotionelle de chacun.
Et on le voie bien dans la plus part des art asiatique, on conditionne les
enfants à la discipline pour atteindre les régles parfaites, mais ensuite
on leur apprends à utiliser la vie comme le moteur énergétique de leur puissance et à casser la prédominence des régles pour apprendre à reconnaitre quand il faut les appliqué.

Tout ceci pour apprendre à s'écouter...
Donc pour certain ça passe par l'immobilité "zen" pour d'autre l'isolation
"retraite", d'autre le dépuillement "ascétisme" mais le Dharma et la kaballe contient tout deux un voie direct reservé à ceux qui savent.

D'ailleurs il faut pas espére réaliser le tantra du kundalini comme
un recette de cuisine, mais comme un chef 5 étoiles qui se prends
plus le chou avec les bouquins et qui de son "inspiration" est capable
de faire un mets suculent avec les restes qui traine dans le frigo.
Parce que aller contre sa nature c'est aller contre la nature.

petit scarabé

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Ecrit le 04 oct.07, 04:32

Message par petit scarabé »

Admin, t'es trop fort . . .
(ange)
Mais je suis sensible, et ton avatar sur les posts :evil: (loll)
M'invite à quelques prudences . . . :wink:
Je croyais que c'était une icone sataniste. . . :lol:
Mais comme je ne crois pas en "Dieu", j'ai pas de problème avec le diable. . .
Et tes posts peuvent être inspirant pour celui qui est sur le chemin menant à l'Eveil . . .
A part bien sûr les fautes d'ortie-graphes. . .et ça pique . . . :D
Je viens d'arriver sur ce "faux Rome", comme quoi tous les chemins y mènent . . .

Alisdair

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Ecrit le 05 oct.07, 11:02

Message par Alisdair »

Je voudrais savoir pour les bouddhistes "convertis" culturellement (j'entends par là, ceux qui n'ont pas de terreau familial), si certains point n"ont pas été dur à assimiler psychologiquement?

Le pragmatisme bouddhiste est ce qui se fait de mieux (adapté à chacun, non-prosélyte, non dogmatique) mais comment avez vous admis l'idée de Samsara (et de la dukkha) ?
Idem pour ce lot de vices et de tares qu'on traînerait d'une vie à une autre, fut-ce facile à appréhender ?
Quand bien même cela donne à chacun le pouvoir de se prendre en main, c'est une "révélation" assez terrible, non? Nous nous purgerions de fautes passés mais en étant vierges de notre expérience et de nos erreurs passés.
Faire mieux mais sans moyen pour nous aider du passé ?

J'aurai de même voulu savoir si il y n'yavait pas quelques "mahayanistes" car je trouve le tantrisme assez peuplé du chamanisme pré-bouddhique et parfois un peu autoritaire (mal assorti à ma vie actuelle).
Ne pas noter des bribes de penser, ne pas regarder les gens évoluer autour de nous, dormir peu etc.
En amateur d'écriture, le bouddhisme ne sied guère à ma passion^^.
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petit scarabé

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Ecrit le 06 oct.07, 02:00

Message par petit scarabé »

si certains point n"ont pas été dur à assimiler psychologiquement?
Pour les problèmes psychologiques, j’ai quelques doutes quand au pragmatisme et la sagesse bouddhiste . . .
Les enseignants ou même guides ou maîtres, n’ont pas toujours les qualités d’un psychothérapeute ou d’un psychanalyste qui pourrait leur être utile . . .
mais comment avez vous admis l'idée de Samsara (et de la dukkha) ?
Il existe une méthode pour la cessation de dukkha
La voie du bouddhisme prône la connaissance. Si elle est appelée troisième voie, c'est parce qu'elle se situe entre deux extrêmes . . .Ce qu’on appelle « la voie du milieu »
La notion d'attachement est importante, car elle montre bien le lien et la dépendance d'une chose sur une autre.
La visée du bouddhisme est plus haute que la simple cessation de dukkha, et entend arriver à une libération complète de la souffrance.
Dukkha cesse quand l'attachement cesse.

Personnellement, j’y voit à la longue, un dépassement de cette réalité qu’on appelle « dualité » Par la pratique et sa propre expérience.
L’émancipation sans être séparé est ce qui me vient à l’esprit sur ce sujet . . .
C’est vrai que ça se mord un peu la queue, on peut prendre conscience que l’on souffre parce que l’on a crée ( inconsciemment ou non) cette séparation d’avec les êtres et les choses, mais l’unité ou la fusion avec toute chose est un leurre sans l’émancipation. . .
Il y a la liberté conditionnée ( la liberté conventionnelle, un concept ) et la liberté absolue qui serait « Nirvana » . . .
Le bouddhisme est une voie de libération, mais elle a aussi ses pièges, c'est bien de savoir où l'on met les pieds . . .
Amicalement.

vuth

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Ecrit le 25 janv.08, 19:39

Message par vuth »

Je suis bouddhiste ... ?

Bonjour.

Que suis-je alors ?
Athé, croyant, chrétien, hindou, musulman, ... ? Non ?
Intellectuel, spirituel, matériel... ?

Rien de tout cela ? Ou un peu de seulement ... ou complétement ...
Suis-je alors bouddhiste ?

La question peut aussi être : suis-je chrétien ? ou autre ?

Facilement (?),
je peux me dire bouddhiste, celui qui suit l'enseignement du bouddha (?).

Tout aussi surement (?),
je peux me dire musulman, celui qui croit en Allah, au Coran, et à son prophète Mahomet (?).

Tout aussi évident (?),
je suis chrétien parce que je crois en Dieu, en Jésus, et en son enseignement (?).

... ...

La séparation des esprits et des pensées mènent certainement à l'affirmation d'une identité, de son identité.
Mais alors, suis-je encore chrétien en Dieu Un,
musulman d'Allah ... ?

Le bouddha n'est pas Conscience, l'état d'Eveil peut-être (?), ou peut-être pas (?) ,
mais la réincarnation, le karma, semblent bien mener nos pas dans des directions aussi fluctuantes que... "le autre non-bouddhiste".

Suis-je bouddhiste ?
Le suis-je encore ?
Suis-je croyant ?
Le suis-je vraiment ?

....

Ou quand est-ce je suis ?

IIuowolus

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Ecrit le 25 janv.08, 22:58

Message par IIuowolus »

le boudhisme ne se defini pas comme une religion mais comme un dogme.

En Asie la plus part des gens crois au dogme du boudhisme.
Karma, illusion, Eveille

Ensuite il sont Shintoiste, Hindouiste, Tantriste, Taoiste etc...
C'est pour ça que les Hindoux on une approche religieuse qui
assimile les courants religieux, ainsi un hindou peu se dirent
musulman, chrétien, deisme tout en vénérant ses propres dieux
hindoux quand bien même son livre sacrée "le vedas" soit issu
d'une civilisation antique bouhdique et ayuverdique "sanscrit"
Les asiatiques se sont combattus assez longtemps au noms
des dieux pour avoir assimiler que la phylosophies offrait un ouverture
d'esprit que la religion n'offre pas.

Chez les occidentaux on en est encore à chercher la différence entre le dogme et la religions, si on prends chrétien, musulman et juifs.
On a tous le dogme d'un monde Bien/Mal sans réincarnation
avec un notion de sainté et un sauveur universelle.

Mais trop peu d'expérience dans ce domaine, 4000 d'histoires pour la création du monde selon la bible et 12000 pour la création du monde
selon les vedhas et les écrits bouhdique.

Donc les questions ne se pose pas en ses termes.

Quand à deux valeur opposée.
Religieusement quand permet de savoir quand il y a les moissons, les fêtes etc...
Dogmatiquement personne n'est capable de dirent, il me reste encore
340 réincarnation et j'atteindrais l'éveille à ce niveau Quand est un illusion
car l'adepte pourrais trés bien faire en une vie tout les choix judicieux qui le conduit à l'illumination cependant l'humilité ne lui permets pas de se prononcé en ses termes, il y a que les bottiswana qui sont un courant qui
attends les autres pour s'éveillé parce que pour eux le "je suis et le qui suis-je" et beaucoup plus important.

Déjà avant Boudha la question du qui-suis-e était trés importante.
un maitre la possait en ses termes, qui suis-je si je peux vois qui je suis.
Un pensée reprise pas Shakespeare dans sont "je pense donc je suis"
Mais l'apprendans asiatique va plus loin, il a beaucoup plus conscience qu'il est la partie d'un toutes plus grands que lui.
il est l'individu du corps communautaire, c'est pour ça qu'il est plus adepte de la discipline, il a conscience que son air et le même que celui des plantes et des animaux et qu'à ce niveau il fait partie de ce "je suis"
Pour lui le je suis utlime et l'éveille ou il prends conscience de sa dimension cosmique et les intérations metaphysique de ses actions.

Par exemple pour nous l'immagination n'est qu'un passe temps qui n'as pas d'implication dans la réalités pour eux il est source d'inspiration
et réseaux neuronal de la méditation.
Par exemple le Maglev (train magnétique) à la forme naturelle du beluga, c'est venu comme ça dans l'imagination de son concepteur et c'est quand il c'est intéresser au beluga, qu'il s'ait rendu compte que c'était la forme naturelle la plus aerodynamique pour pernetrer l'air.

Donc chez eux le "tunning" est a base d'immense spoiler avant à plateau plat qui donne un forme de "jacky T'uch"(voiture de beauf) au voiture que les occidentaux considérer comme inestétique alors que chez eux c'est la forme la plus parfaite de la nature et c'est ce qui lui donne un esthétique inégalable.

chez nous, il n'y a pas cette notion d'espace et de temps.
L'occidentale en est encore à faire l'amalgamme.
Il se dit j'était au mauvaise endroit au mauvais moments.
Ce qui est un pléonasme spatio-temporelle
puisque si j'était pas là, le moment n'as plus d'importance
de même que si j'était pas là à ce moment là, l'endroit
n'as plus d'importance.

c'est en ses termes que ce defini le bouhdisme et plus particulièrement
le zen, ou l'on pose la parabole, le message ou la meditation en terme
d'interraction (de changement) entre les oppossées alors que chez nous occidentaux on classifies les états dans deux différenciations bien/mal.
Chez eux bien mal n'existe pas, c'est deux oppossée qui se recycle mutuellment et qui crée la spirale du temps.

Donc quand s'oppose à ou et je suis aux autres, et c'est que par rapport
à celà que l'on pourrais imaginer ce situer.

Nous on commence à peine (30 ans) à definir que le moi ne se construit plus exclusivement depuis l'ego, mais que notre moi et aussi le fruit de ses rencontre avec son extérieur.

don cpour un asiatique, automatiquement le "je suis" et partie intégrantes
d'un facette de la personalité d'un de ses maitres, il est un disciple de gandhi, Bouda, confucius, qui honore par les bienfait qu'il lui apporté bien avant d'être un individu puisque chez eux tout entreprise individuelle est anéantis par la conscience de faire partis d'un clan, d'un groupe d'un identité national et qu'à ce titre il n'est qu'un rouage qui auras la place qui lui reviends en temps voulu.
Il n'y a que chez nous ou l'on considére que parce que tu es plus malin,
tu peux prétendre à un poste déjà occupée par une personne.


immaginon que je vais en vacance chez des amis asiatique.
Bien evidement je voudrais leur faire connaitre ma culture
donc je vais leur faire un bon petit plat et pour ça j'irais moi
même au marché acheter ce qu'il me faut.
Déjà en revenant du marché, la personne de la famille qui
fait les comissions, surment la grands mère ou un grandes tante
me sauteras dessus en disant que c'est à elle que reviends l'achat
de la nourriture et que je n'ai pas à faire ça.
Par respect tout le monde mangeras mon plat.

mais le lendemain, elle acheteras exactement les mêmes aliments,moins chères et mieux, parce qu'elle se sentiras devenu inutile, mais aussi pour te prouver que tu as eux tords et effectivement ça fait 40 as qu'elle fait les course et ses petit filles qui la remplaceront à sa mort la regarde depuis 10 ans, 20 ans avant de savoir.
Mais chez nous on est déjà incapable d'imaginer envoyez sa grands-mêre au marché, incapable de le faire 40 ans et encore plus incapable de reconnaitre que l'on es incapable de reconnaitre qu'on a eux tords.

Donc le je suis occidentale dans un telle environnement,
c'est un je suis égoiste, bornée, individualiste, qui ne mérite
même pas à pourvoir prétendre dirent je suis/ je sais et apporter
quelques choses à leur cultures.

Chez eux le je suis va jusqu'au mort qui dorme sur le toit de leur maison
et avec qui il partage leur repas.

Prennonds le daila-lama, on le trouve à coup de medium, on fait des milliers de kilometre pour aller le chercher et le cas dit mes de son côté
le je suis cette réincarnations pour devenir le je suis le guide spirtituelle
de tout les tibétains et c'est mon destin.

Chez nous mettre à la tête d'un pays un enfant de qui plus est choisis
par des voyant c'est déjà impossible alors comment on pourrrais determiner un "je suis/quand" par rapport à un karma.

Chez nous tu as un mauvais karma tu mendie dans la rue tu gueule contre la société et tu fais la gueule.

Chez eux c'est normal si t'es pas un saint tu contribue à la bonne marche de la société et si tu tire la guele c'est que tu es malade, car ton bonheur dépends pas de ta condition mais de ton "je suis".

Voilà pour avoir un apperçus d'un pensée qui n'as rien avoir avec notre culture et avec la psychologie selon freud et qui marche trés bien sans la sagesse hautaine de l'homme blanc qui veux expliquer à tout les autres comment il doivent vivre et être pour avoir.

Chez eux tu conjuge d'abords le verbe être pour avoir,
Chez nous c'est ce que tu ai qui détermine ce que je suis.

vuth

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Ecrit le 26 janv.08, 08:05

Message par vuth »

Bonjour,

Sans doute que les perceptions du monde sont différentes de part et d'autre.
N'en est-il pas déjà ainsi en chaque milieu ?
A chacun de voir et de dire ce qu'il pense, vient ensuite la justesse des propos.

Le bouddhisme est un dogme, des croyances humaines élevées en vérités ?
Qui a dit cela ?
Les bouddhistes, le bouddha ?

Le karma, l'éveil,... seraient donc des dogmes ?
L'impermanence, l'interdépendance, la vacuité... aussi ?

Le bouddha a enseigné non pas ses croyances, mais ses expériences.
Qui sont des vérités.
Maintenant, s'il y a des gens qui pensent que son enseignement est dogmatique, il faudrait qu'ils puissent montrer que ses dires renferment des non-vérités,
parce qu'autant qu'il y a dogmes vrais,
il n'est pas difficile de révéler des dogmes faux.

Le karma, l'éveil, l'impermance, ... sont des vérités, encore faut-il les comprendre.
Une vérité reste vraie, qu'on la dise bouddhiste, chrétienne, juive, musulmane, laique, humaine...
Un dogme peut être vrai d'"un côté", et totalement faux de l'"autre".

Le bouddhisme est une religion, fondé sur un enseignement et une communauté religieuse, en rapport avec des peuples qui suivent et appliquent cet enseignement (suivant le bouddha ?).
Son but, ses objectifs, sont clairement définis par le bouddha :
- suppression de la souffrance,
- éveil...

Une religion définie suivant les monothéismes juif, chrétien, musulman, autres (?), avec un Dieu, des saints, des pratiques,...
est tout-à-fait justifiable pour le bouddhisme,
encore faut-il savoir pourquoi ? Ou pourquoi pas ?
Mais ce n'est pas parce qu'on dit qu'une religion , révélée, se détermine par Dieu, Allah, Jéhova,...
sans jamais dire qui est Dieu, Allah, Jéhova,... en dehors de certains termes très généraux comme Lumière, Créateur, Esprit,... (pas faux)
qu'on peut se dire croyant en vérité et en Dieu...

Les enseignements religieuses diffèrent, mais pas le monde.
Comprendre le monde, comprendre "ses" vérités religieuses, comprendre "son" enseignement,...
et on verra surgir le Vrai, la Vérité.

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