J'abonde dans les contre-arguments qui t'ont déjà été opposés.XYZ a écrit :D'ailleurs aucune comparaison ne serait appropriée pour défendre la vision du temps de QV car cela entraine des paradoxes liés a du non sens.
Maintenant, ce que tu dis sur la vision du temps de Quinlan_Vos « qui entraîne des paradoxes liés à du non sens » (même si je ne comprends pas trop le sens de ta phrase) doit être démontré pour ne pas être une affirmation gratuite de plus.
Je t'invite donc à faire une démonstration pas à pas, partant de faits vérifiés, dont chaque étape est reliée aux autres par des inférences, qui montre en quoi la définition du temps par Quinlan_Vos est paradoxale.
Puis je t'invite à produire une autre définition du temps, laquelle lèverait les paradoxes que tu aurais dénoncés. Cette définition, bien sûr, devra être cohérente avec l'état actuel de nos connaissances en sciences physiques.
Je ne vois pas en quoi c'est un problème.XYZ a écrit :Non, cela n'a pas de sens Qv. Il y a temps que si quelque chose existe. Si le temps et l'espace n'existent pas : rien n'existe. Tout le probleme est là.
Relis ce qui a été dit : à aucun moment nous ne sommes passés de "rien" à "l'univers". Nous qui sommes placés dans le référentiel temporel, l'univers a "toujours" existé (si l'on entend par là une remontée de proche en proche aussi loin que l'on puisse aller) et le Big Bang constitue un horizon des événements (et pas un "top départ" comme la mise à feu d'un explosif). Comme il n'y a pas d'avant l'univers, il ne "vient" pas de rien.XYZ a écrit :Comment de rien quelque chose existe ?
Je sais que c'est dur à conceptualiser. C'est pourtant ainsi que la science tend de plus en plus à décrire le temps et l'univers.
Il ne "saute" pas : il est toujours sur la courbe et ne la quitte jamais. Mais il "perçoit" l'axe des x comme un horizon même si ce point imaginaire n'existe pas (tout comme les rails de chemin de fer ne se rejoignent en fait pas à l'horizon).XYZ a écrit :Il y a un probleme.
Comment mon sujet va sauter de l'axe des x à la courbe ?
Je pourrais également employer des métaphores mathématiques prises de la topologie, mais je ne suis pas certain que tout le monde soit familier des points de condensations, des boules ouvertes/fermées, etc.
Excellente remarque. En effet le concept d'infini n'est qu'une simplification intellectuelle des manifestations du réel. Mais j'ajoute également : le concept de "fini" également. Au sein du réel, nul infini, et nul fini non plus. Aucun temps, aucun espace non plus. Ces concepts ne sont que dans notre esprit et constituent notre filtre cognitif permettant d'appréhender les manifestations du réel.XYZ a écrit :En n'oubliant surtout pas que physiquement l'infini n'existe pas.