quinlan_vos a écrit :Non, mais si.
Ce sont des concepts. A partir de ce moment là, ils ne sont rien de définis. La porte n'est pas élastique. Elle reste une porte. Mais le couloir, lui, est à la fois infiniment grand et infiniment petit.
Une fois passée la porte (qui n'existe pas réellement, en fait), le couloir devient un couloir dont la taille est identifiable, qui est fini et tout. Mais avant, le couloir existe sans exister.
D'où l'idée de concept.
Au bout de huit fois, ça serait bien que tu comprennes, quand même.
Au bout de huit fois , il aurait fallu que comprennes que tes exemples sont limités.
Pour un être situé au dessus de ta porte et de ton couloir, les 2 existent sans disparaitre.
Ton exemple n'est qu'une question de zoom selon une position donnée.
Il y a que les exemples sur le temps lui même qui ont du poids pour expliquer la nature particuliere du temps.
Exemple:
Imagine que tu puisses remonter le temps.
Jusqu'ou tu pourrais le faire ?
Ben a un certain point il y aurait une limite, car ton temps n'existerait pas vu que toi tu n'existerais pas.
Ton temps a toi aurait pour ainsi dire un début : le temps q-v.
(Avant le temps q-v) n'aurait pas de sens du point de vue q-v vu que le temps q-v est lié à q-v lui-même.
Le probleme est q-v n'est pas là sans raison et son temps non plus.
Il en est de même pour l'univers.
L'univers a eu un début, son temps aussi.
Remonter le début de l'univers revient à être comme qv qui voudrait remonter son propre temps.
Et la bien sur il y a un mur, le mur de Planck, le mur des lamentations des physiciens.
Ils chialent parce qu'ils ne savent pas, quelle est l'épaisseur du mur et qu'est ce qu'il y a derriere.
Si tu prends le meme K que qv qu'est ce qu'il y a derriere ce mur ?
Je te laisse deviner !