Inexistence de dieu : approche épistémologique
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L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
L’athéisme peut être considéré comme une attitude ou une doctrine qui ne conçoit pas l’existence ou affirme l’inexistence de quelque dieu, divinité ou entité surnaturelle que ce soit. C'est une position philosophique qui peut être formulée ainsi : il n'existe rien dans l'Univers qui ressemble de près ou de loin à ce que les croyants appellent un « dieu », ou « Dieu ».
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 01:23Bonjour Wooden_Ali,
Merci pour vos interventions,
<<<. Penser que les mutations sont en quelque mesure que ce soit influencée par l'environnement n'est pas dans la Théorie de l'évolution
Pardonnez-moi si je me suis mal exprimée mais j’ai conscience de n’avoir jamais voulu dire ceci.
Si les mutations n’existaient pas, alors l’adaptation à l’environnement serait le fruit d’une seule vie et ne seraient pas héréditaires.
Mais les mutations génétiques existent.
Et ce sont les mutations qui assurent l’adaptation au milieu.
Les mutations sont aléatoires mais leurs conséquences ne le sont pas.
Le fait qu’une mutation ouvre une lignée pérenne est le fruit de l’interaction avec le milieu.
Le milieu n’influence pas les mutations, au grand dam de Lamarck, mais la sélection naturelle parmi tous les mutants est influencée par le milieu.
Voilà pourquoi ce ne sont pas les individus qui évoluent mais les lignées et les espèces.
Voilà pourquoi ce sont toujours et uniquement les mutations qui ont assuré l’adaptation.
<<<< Les vulgarisateurs scientifiques parlent ainsi souvent de la "stratégie" du liseron>>>>
Eh bien ! Je ne vois pas où mes formulations sont plus maladroites.
On connaît à peu près le point de départ : le monde inanimé.
On connaît bien le point de NOTRE arrivée.
Et l’on s’interroge sur l’itinéraire, sur le moteur et sur le carburant.
Le carburant serait les mutations,
Le moteur serait la sélection naturelle,
Et il ne reste qu’à trouver l’itinéraire suivi par ce sourd-aveugle, sans conscience et sans but.
Ce n’est pas de ma faute si cette question est si difficile que les vulgarisateurs ne peuvent s’empêcher de paraîtres finalistes.
Mais on perçoit bien leur idée : les fleurs ont développé d’innombrables adaptations pour optimiser la pollinisation. (Cela ne nous dit pas comment elles ont inventé les insectes, mais peu importe), telle ou telle forme spécifique d’adaptation propre à une fleur comme le liseron ressemble à un choix de la part du liseron, il aurait pu faire autrement mais c’est comme ça qu’il fait. Ce n’est pas finaliste, c’est anthropomorphique.
Ce n'est pas mieux, je ne souscris pas à ce genre de métaphore.
À vous lire si vous le désirez
Merci pour vos interventions,
<<<. Penser que les mutations sont en quelque mesure que ce soit influencée par l'environnement n'est pas dans la Théorie de l'évolution
Pardonnez-moi si je me suis mal exprimée mais j’ai conscience de n’avoir jamais voulu dire ceci.
Si les mutations n’existaient pas, alors l’adaptation à l’environnement serait le fruit d’une seule vie et ne seraient pas héréditaires.
Mais les mutations génétiques existent.
Et ce sont les mutations qui assurent l’adaptation au milieu.
Les mutations sont aléatoires mais leurs conséquences ne le sont pas.
Le fait qu’une mutation ouvre une lignée pérenne est le fruit de l’interaction avec le milieu.
Le milieu n’influence pas les mutations, au grand dam de Lamarck, mais la sélection naturelle parmi tous les mutants est influencée par le milieu.
Voilà pourquoi ce ne sont pas les individus qui évoluent mais les lignées et les espèces.
Voilà pourquoi ce sont toujours et uniquement les mutations qui ont assuré l’adaptation.
<<<< Les vulgarisateurs scientifiques parlent ainsi souvent de la "stratégie" du liseron>>>>
Eh bien ! Je ne vois pas où mes formulations sont plus maladroites.
On connaît à peu près le point de départ : le monde inanimé.
On connaît bien le point de NOTRE arrivée.
Et l’on s’interroge sur l’itinéraire, sur le moteur et sur le carburant.
Le carburant serait les mutations,
Le moteur serait la sélection naturelle,
Et il ne reste qu’à trouver l’itinéraire suivi par ce sourd-aveugle, sans conscience et sans but.
Ce n’est pas de ma faute si cette question est si difficile que les vulgarisateurs ne peuvent s’empêcher de paraîtres finalistes.
Mais on perçoit bien leur idée : les fleurs ont développé d’innombrables adaptations pour optimiser la pollinisation. (Cela ne nous dit pas comment elles ont inventé les insectes, mais peu importe), telle ou telle forme spécifique d’adaptation propre à une fleur comme le liseron ressemble à un choix de la part du liseron, il aurait pu faire autrement mais c’est comme ça qu’il fait. Ce n’est pas finaliste, c’est anthropomorphique.
Ce n'est pas mieux, je ne souscris pas à ce genre de métaphore.
À vous lire si vous le désirez
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 03:25Encore une affirmation sans développement, donc je n'y réponds pas.psycha a écrit :ben bien sur que c dogmatique. et le contraire aussi...
Mon seul but est d'examiner la validité du concept de dieu. Avant de correspondre à quoi que ce soit de réel, c'est d'abord un concept, donc un arrangement de neurones. Il convient ensuite de vérifier s'il est valide. C'est là que l'examen épistémologique intervient. Et que constate-t-on ? :psycha a écrit :et c là ou que j'aimerais savoir ou tu veux en venir exactement avec ta démonstration.
parceque effectivement le systeme des croyances, et le discours "religieux" et/ou croyant est étudié en générale en psychiatrie, psychologie, et métapsychologie. Sauf que les positions sont claires en fait.
Meme si y a des positions personnelles aussi d'un point de vu philosophique de certaines personnalités mais ça c autre chose.
et le problème dans tes postes, c'est que je ne vois pas ton cadre ni ou tu veux en venir exactement.
- D'un point de vue ascendant, il est invalide : il est construit à partir d'une inversion de rapport de causalité, autrement dit une abduction qui se fait passer pour une déduction.
- D'un point de vue descendant, il est également invalide : non seulement incompatible avec les faits, sa construction épistémique est réductible à ce qu'on nomme une hypothèse zéro, autrement dit une hypothèse invalide car tombant sous le paradoxe de la montre arrêtée.
- D'un point de vue ontologique (dans le sens épistémologique du terme, et là je parle de l'épistémologie contemporaine pour laquelle je t'invite à mettre tes connaissances à jour à ce sujet), enfin, il est là encore invalide, puisque quelles que soient ses modalités d'objectivations l'agrégation de ses traits d'objectivation est arbitrairement donnée comme allant de soit, autrement dit c'est un dogme jusqu'à sa dimension ontologique même.
1. En quoi mes sentiments, mes a priori ou toute autre tare dont tu voudras m'affliger change quoi que ce soit à ma démonstration ? Merci de t'en tenir aux failles logiques.psycha a écrit :Et j'ai le sentiment vu le jugement que tu as eu sur des croyants, qu'en fait tu démarres par raport à des dogmes.
2. Quant à ces dogmes dont je serais la malheureuse victime, tu ne fais rien d'autre que les évoquer sans les nommer. Donc il n'y a rien à répondre de plus à ce sujet pour l'instant.
Encore une fois, cite le point de ma démonstration qui te semble incompatible avec les faits scientifiques établis et nous examinerons alors si ta réfutation est valide.psycha a écrit :et avec des connexions que tu fais sur certains sujets pas expliqués. (parceque encore maintenant je ne vois pas de rapport entre sciences cognitives, et neurologie, avec le sujet de départ, pourtant tu fais un lien)
Je te précise toutefois un tout petit peu plus ma position : Qu'est-ce qu'un concept ? Qu'est-ce que la réalité ? Comment peut-on circonscrire ces questions à l'aune de nos savoirs quant aux sciences qui analysent l'esprit sous tous ses aspects et selon tous ses fonctionnements ? Et la réponse, pour énormément simplifier, c'est que l'esprit n'a rien de magique : il n'appréhende pas le réel directement et authentiquement, il le code d'une manière que l'on comprend de mieux en mieux. Et la compréhension de ce codage permet de mieux envisager comment se construisent les concepts et, à partir d'eux, les connaissances.
Lorsque quelqu'un déclare "les fées existent", que dit-il ? La position classique, héritée des sciences formelles, consisterait à examiner les deux thèses ("les fées existent" contre "les fées n'existent pas"). La position épistémologique héritée de l'héritage des sciences cognitive consiste au contraire à examiner d'où vient le concept de fée, ce qu'il décrit au sein des manifestations du réel, sa dimension spéculative, sa dimension opérante, permettant de s'exprimer ensuite sur sa validité.
Qu'est-ce qui te gène dans le point A0, exactement ?psycha a écrit :donc en fait à quoi cette approche epistemologique sert exactement. Pourquoi on est motivée par une question, et ou est ce qu'on arrive finalement, peut on répondre à une question ou pas posée au départ.
parceque l'approche epistemologique de n'inexistence de dieu, ne sert strictement à rien, si on ne met pas un discours dans son contexte. Un discours a des motivations. Sinon comment peut il etre criticable ?
Tu parles beaucoup en termes de sentiments, de bizarre, de motivation, etc. Nous sommes très loin de l'argumentation logique qui, me semble-t-il, est la seule qui permettrait d'invalider la démonstration.psycha a écrit :et la bizarrerie de ton propos est là pour moi. j'ai le sentiment que c'est une sorte d'argument, sans problème et sans conclusion.
Ce serait comme dire à un scientifique qui tente de prouver que la vie sur terre s'est développée à l'ère prébiotique sur au moins huit foyers différents : "Mais quelles sont vos motivations ? Pourquoi voulez-vous vous opposer aux croyances créationnistes ? Votre démonstration ne sert à rien, puisque votre seul contexte est la science et que je suis incapable de la critiquer dans ce domaine."
Je cesse (sans doute définitivement) toute activité sur ce forum. J'en explique les raisons là-bas : http://www.forum-religion.org/post638027.html#p638027 là-bas : http://www.forum-religion.org/post638076.html#p638076 et enfin là-bas : http://www.forum-religion.org/post639549.html#p639549
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 04:00Bonjour Vicomte,
Permettez-moi une incise à l'occasion de votre :
<<<<<A0. L'approche épistémologique examine le domaine du connaissable. Autrement dit, elle examine les conditions de possibilités de validation d'un discours sur le réel à caractère descriptif ou prédictif.>>>>>
Si je comprends bien "validation" , "descriptif" et "prédictif", je ne sais pas si vous définissez "épistémologique" , "connaissable" ou "réel"
ou bien si A0 n'est qu'un préambule.
Comme je l'ai écrit naguère, avec votre "connaissable" comme avec beaucoup de noms substantivés à partir d'un adjectif en "-able", je ne vois pas vraiment de quoi vous pouvez parler, j'en déduis que c'est ce que vous voulez définir, sauf que cela ressemble à la définition des "nombres intéressants"...
Enfin, nos différents échanges ne m'ont pas permis de savoir si le réel existe indépendamment du discours validé sur lui.
SI ces questions ne vous navrent pas trop je serais heureuse que vous puissiez vous en ouvrir une nouvelle fois à leur sujet.
En effet, mon impression est que dès A0 votre démonstration est terminée en raison de définitions ad hoc.
AU plaisir de vous lire
Permettez-moi une incise à l'occasion de votre :
<<<<<A0. L'approche épistémologique examine le domaine du connaissable. Autrement dit, elle examine les conditions de possibilités de validation d'un discours sur le réel à caractère descriptif ou prédictif.>>>>>
Si je comprends bien "validation" , "descriptif" et "prédictif", je ne sais pas si vous définissez "épistémologique" , "connaissable" ou "réel"
ou bien si A0 n'est qu'un préambule.
Comme je l'ai écrit naguère, avec votre "connaissable" comme avec beaucoup de noms substantivés à partir d'un adjectif en "-able", je ne vois pas vraiment de quoi vous pouvez parler, j'en déduis que c'est ce que vous voulez définir, sauf que cela ressemble à la définition des "nombres intéressants"...
Enfin, nos différents échanges ne m'ont pas permis de savoir si le réel existe indépendamment du discours validé sur lui.
SI ces questions ne vous navrent pas trop je serais heureuse que vous puissiez vous en ouvrir une nouvelle fois à leur sujet.
En effet, mon impression est que dès A0 votre démonstration est terminée en raison de définitions ad hoc.
AU plaisir de vous lire
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 04:40Mouais...
"dieu existe il?"... déjà, on parle d' un truc sur lequel: on a rien, un truc inobservable, il apparait nulle part; microscope > 0, rien. Systeme capable de capter les ondes> 0; rien. Y a t' il un systeme quelconque susceptible de percevoir "dieu"? ben, non.
Le cerveau humain? , alors là, c' est la grande fabbrication des dieux, parce qure non seulement des religiions avec des dieux différents, il y en a plusierurs, mais en plus, au sein d' une meme religion , "dieu" ou les "dieux", prennent des allures totaleùment différents, quand ce n' est pas simplement entre croyants.
Quouique l' on dise: on peut tout faire au nom de dieu; on peut massacrer au nom de dieu, torturer au nom de dieu, c' est sans problème. Celà va t' il déclencher "une intervention divine"(pour sytopper le massacre par exemple), non. rien, que dalle.
On peu aussi faire le bien au nom de dieu.
En gros: il est possible de tout faire, une chose et son contraire: est ce que çà déclencherat des trucs "divin", le ciel va t' il se fendre en deux pour feliciter ou réprimender: non.
Il ne se passe rien.
Je ne sais plus qui parlait de paranoia pour définir la croyance, moi, je dirais une vaste psychose, une psychose entretenue.
"dieu existe il?"... déjà, on parle d' un truc sur lequel: on a rien, un truc inobservable, il apparait nulle part; microscope > 0, rien. Systeme capable de capter les ondes> 0; rien. Y a t' il un systeme quelconque susceptible de percevoir "dieu"? ben, non.
Le cerveau humain? , alors là, c' est la grande fabbrication des dieux, parce qure non seulement des religiions avec des dieux différents, il y en a plusierurs, mais en plus, au sein d' une meme religion , "dieu" ou les "dieux", prennent des allures totaleùment différents, quand ce n' est pas simplement entre croyants.
Quouique l' on dise: on peut tout faire au nom de dieu; on peut massacrer au nom de dieu, torturer au nom de dieu, c' est sans problème. Celà va t' il déclencher "une intervention divine"(pour sytopper le massacre par exemple), non. rien, que dalle.
On peu aussi faire le bien au nom de dieu.
En gros: il est possible de tout faire, une chose et son contraire: est ce que çà déclencherat des trucs "divin", le ciel va t' il se fendre en deux pour feliciter ou réprimender: non.
Il ne se passe rien.
Je ne sais plus qui parlait de paranoia pour définir la croyance, moi, je dirais une vaste psychose, une psychose entretenue.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 05:39bon vicomte, tu compares ta démonstration avec queque chose qui n'est pas comparable...
alors maintenant tu compares ta logique avec un scientifique qui travaille sur le prébiotique... mais le mec qui bosse sur le prébiotique, il fait pas de réthorique...
tu vois ça me démontre juste que ça part en vrille quoi...
en tout cas, j'ai remarqué un truc, c'est que à chaque fois tu me dis toujours la meme chose, je ne suis pas logique, je n'ai pas d'argument, tu me demandes de me justifier à chaque fois, de toute façon ce que je dis pour toi est irrecevable.
donc après ne va pas m'intenter un procès sous pretexte que j'ai un jugement de valeur personnel...
ça serait un peu l'hopitale qui se fout de la charité qd meme.
une chose, je ne cite jamais sur un forum, en tout cas c'est extremement rare, j'ai horreur de ça, je reformule toujours.
je trouve ça plus honnete, que de couper les passages que je veux, en les interprétant assez rapidement et aussi comme je veux.
En tout cas moi y a une chose que je note, ton lien avec la neurologie et les sciences cognitives. J'attends toujours.
Bref ça me fatigue.
On va conclure comme ça, selon l'approche épistemologique, ontologique de Vicomte, Dieu n'existe pas.
il a eu un discours scientifique et logique.
je sors :-p
alors maintenant tu compares ta logique avec un scientifique qui travaille sur le prébiotique... mais le mec qui bosse sur le prébiotique, il fait pas de réthorique...
tu vois ça me démontre juste que ça part en vrille quoi...
en tout cas, j'ai remarqué un truc, c'est que à chaque fois tu me dis toujours la meme chose, je ne suis pas logique, je n'ai pas d'argument, tu me demandes de me justifier à chaque fois, de toute façon ce que je dis pour toi est irrecevable.
donc après ne va pas m'intenter un procès sous pretexte que j'ai un jugement de valeur personnel...
ça serait un peu l'hopitale qui se fout de la charité qd meme.
une chose, je ne cite jamais sur un forum, en tout cas c'est extremement rare, j'ai horreur de ça, je reformule toujours.
je trouve ça plus honnete, que de couper les passages que je veux, en les interprétant assez rapidement et aussi comme je veux.
En tout cas moi y a une chose que je note, ton lien avec la neurologie et les sciences cognitives. J'attends toujours.
Bref ça me fatigue.
On va conclure comme ça, selon l'approche épistemologique, ontologique de Vicomte, Dieu n'existe pas.
il a eu un discours scientifique et logique.
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 06:50Sans vouloir jouer les trouble-fêtes j'aimerais apporter mon avis.en tout cas, j'ai remarqué un truc, c'est que à chaque fois tu me dis toujours la meme chose, je ne suis pas logique, je n'ai pas d'argument, tu me demandes de me justifier à chaque fois, de toute façon ce que je dis pour toi est irrecevable.
donc après ne va pas m'intenter un procès sous pretexte que j'ai un jugement de valeur personnel...
ça serait un peu l'hopitale qui se fout de la charité qd meme.
Tu ne lui as pas encore prouvé avoir d'argument sur ce que tu avances, il ne suffit pas d'affirmer une chose pour que celle-ci devienne vérité, il faut l'argumenter. S'il demande de justifier c'est parce qu'il cherche à savoir ce qui te fait dire que c'est faux, si tu n'arrives pas à le justifier c'est peut-être que ce jugement de fausseté n'est que bien légèrement soutenu logiquement, sortant plus d'une impression. Dès lors affirmer celle-ci comme réalité sans la prouver ce n'est pas correct.
Ce que tu dis est irrecevable car non argumenté, c'est bien normal non ?
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 07:30Mais je suis prêt à recevoir n'importe quelle critique et je veux bien entendre n'importe quelle réfutation, pourvu qu'on me démontre logiquement que j'ai tort. Montre-moi un endroit de ma démonstration qui te semble rhétorique, je t'en prie. Mon seul but est de faire advenir de nouveaux éléments de vérité (des choses que l'on peut tenir pour vraies jusqu'à preuve du contraire). Si tu me démontres que je suis dans l'erreur, je t'en serai reconnaissant car tu m'auras fait progresser. En attendant je ne lis que des négations que je ne devrais accepter que sur ta bonne foi et ta condescendance. Cela continue de me paraître un peu léger.psycha a écrit :bon vicomte, tu compares ta démonstration avec queque chose qui n'est pas comparable...
alors maintenant tu compares ta logique avec un scientifique qui travaille sur le prébiotique... mais le mec qui bosse sur le prébiotique, il fait pas de réthorique...
Mais tu as tous les jugements que tu veux. Cependant, compte tenu de la question initiale du topique (et c'est moi qui l'ai ouvert), il me semble que si nous voulons construire quelque chose, il faudra se montrer plus rigoureux que simplement accueillir l'expression des sentiments de tout le monde.psycha a écrit :en tout cas, j'ai remarqué un truc, c'est que à chaque fois tu me dis toujours la meme chose, je ne suis pas logique, je n'ai pas d'argument, tu me demandes de me justifier à chaque fois, de toute façon ce que je dis pour toi est irrecevable.
donc après ne va pas m'intenter un procès sous pretexte que j'ai un jugement de valeur personnel...
Imagines-tu un colloque-débat en biologie évolutive où les seules interventions seraient "Vous me semblez un peu à cran, cher collègue" ou "Je n'ai pas écouté votre argumentation mais je voulais dire qu'elle me procure un sentiment de gène" ?
Je t'invite à relativiser. Lis les échanges que j'ai pu avoir avec Shaena1, par exemple. C'est une croyante avec laquelle je ne suis absolument pas d'accord. Je dois cependant admettre qu'elle a joué le jeu de l'argumentation, et ne s'est pas contentée d'une série d'argumenta ad hominem, contrairement à toi.psycha a écrit :ça serait un peu 'hopitale qui se fout de la charité qd meme.
On ne m'a pas enseigné la même déontologie universitaire. Quand on doit un concept à un chercheur particulier, surtout quand ce concept est encore en cours d'élaboration au sein de la communauté scientifique, il est naturel de citer ses sources. Lorsqu'on s'appuie sur une démonstration ou une étude, il est bon de la citer plutôt que de dire "il a été prouvé que".psycha a écrit :une chose, je ne cite jamais sur un forum, en tout cas c'est extremement rare, j'ai horreur de ça, je reformule toujours.
je trouve ça plus honnete, que de couper les passages que je veux, en les interprétant assez rapidement et aussi comme je veux.
Et puisque nous en sommes sur le terrain de l'éthique intellectuelle, permets-moi de t'inviter à cesser de prendre tes interlocuteur de haut. Encore une fois je veux bien reconnaître ton écrasante supériorité intellectuelle et culturelle tant que tu nous en fait profiter (ce que j'attends toujours).
Quatrième édition : quel est le point de ma démonstration qui te pose problème ?psycha a écrit :En tout cas moi y a une chose que je note, ton lien avec la neurologie et les sciences cognitives. J'attends toujours.
C'est peut-être à force de nier sans argumenter.psycha a écrit :Bref ça me fatigue.
Mais peut-être pourrions commencer par une question simple : Selon toi dieu existe-t-il de manière certaine ou de manière probable ? Et comment parviens-tu à cette certitude/probabilité ?
Je dirais alors plutôt : Vicomte, selon une approche épistémologique, montre qu'il est possible de conclure logiquement à l'inexistence de dieu. Sa démonstration n'a pas encore réfutée. Psycha a affirmé qu'il se trompait sans apporter le moindre argument, et nous devrions considérer cela comme une réfutation.psycha a écrit :On va conclure comme ça, selon l'approche épistemologique, ontologique de Vicomte, Dieu n'existe pas. il a eu un discours scientifique et logique.
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 07:51C'est toujours un plaisir de te lire, Pauline.pauline.px a écrit :[...] En effet, mon impression est que dès A0 votre démonstration est terminée en raison de définitions ad hoc.
Permets-moi de ne pas revenir ce qui a déjà été moultes fois par plusieurs d'entre nous pour ne répondre qu'à la fin de ta question :
Effectivement je circonscris un terrain qui dès le début débouche naturellement sur l'inexistence de dieu. Pour autant il ne me semble pas possible de reprocher à ma démonstration d'introduire des artéfacts épistémologiques, dès lors que mon discours s'appuie sur des faits vérifiables et réfutables et que mes définitions ne sont pas arbitraires et définissent des concepts préalablement circonscrits.
Pour reprendre la base de ma réflexion, je ne pars d'aucun a priori. (Ni que dieu existe, ni que dieu n'existe pas, notamment, car dans les deux cas ce serait dogmatique.)
Je me base sur la manière dont on accède à des certitudes. Or ce mécanisme dépend lui-même de la manière dont on organise ses pensées, elle-même ne dépendant que de la nature (biologique) des concepts, elle-même ne dépendant que de la nature de la computation neuronale, dans sa plus plate, sa plus concrète, sa plus chimique des approches.
Les concepts ne préexistent pas aux manifestations du réel, cela a été démontré d'innombrables fois. Dès lors, il n'existe aucun concept dont on ne doive examiner la réalité (c'est-à-dire l'image du réel à travers notre filtre cognitif). Ce qui fait que même des concepts qui semblent absolus, tels que "limite", "infini", "soi", "absolu", "parfait", "fin", "même", etc. doivent être relativisés : jusqu'à preuve du contraire, ce ne sont que des concepts, c'est-à-dire des combinaisons neurales. Donc même ces concepts ne sont que des représentations du réel et pas le réel lui-même. Le seul moyen de savoir si au sein du réel, lequel ne se manifeste à nous que de manière médiate (c'est-à-dire à travers notre filtre cognitif), il est des phénomènes pour lesquels il est possible de dire que les représentations que l'on en a sont fiables, c'est de faire appel à nos systèmes d'inférences.
C'est là qu'entre l'examen épistémologique.
... et de fil en aiguille, la conclusion de tout cela est que le concept "dieu" est inadéquat et inopérant (c'est-à-dire que le sujet qui se le forge aboutit au mieux à une situation tel le paradoxe de la montre arrêtée, autrement dit une hypothèse zéro, et plus probablement à une hypothèse logiquement invalide).
Ai-je été un peu plus précis, Pauline ?
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 09:55Désolé d'insister encore sur ce point, et dans le sens de Wooden Ali, mais alors que vous déclarez bien comprendre le principe dont on discute, j'ai encore l'impression que ce n'est en fait pas le cas.pauline.px a écrit :Mais on perçoit bien leur idée : les fleurs ont développé d’innombrables adaptations pour optimiser la pollinisation. (Cela ne nous dit pas comment elles ont inventé les insectes, mais peu importe), telle ou telle forme spécifique d’adaptation propre à une fleur comme le liseron ressemble à un choix de la part du liseron, il aurait pu faire autrement mais c’est comme ça qu’il fait. Ce n’est pas finaliste, c’est anthropomorphique.
Ce n'est pas mieux, je ne souscris pas à ce genre de métaphore.
À vous lire si vous le désirez
Mais j'ai peut-être mal compris votre réponse... Quand vous dites: "Ce n'est pas mieux, je ne souscris pas à ce genre de métaphore." pour terminer, cela veut-il dire qu'en fait vous n'êtes pas d'accord sur la formulation que vous veniez d'employer parce qu'elle ne traduit pas correctement le déroulement des choses selon le discours scientifique? Ou cela voulait dire que vous n'aimez pas ces métaphores mais c'est quand même bien de cette façon que vous comprenez le discours scientifique à ce sujet?
Je pense que c'est le premier cas, mais tout de même, par prudence, je réponds comme si c'était le deuxième (et ce sera surtout pour d'autres lecteurs, donc...)
Parce qu'à lire l'extrait que j'ai cité, la formulation est évidemment malheureuse, on sent encore qu'il y a encore du Lamarckisme derrière tout ça.
Une formulation plus adéquate serait de dire que les fleurs ont connu de nombreuses mutations, certaines d'entre elles ne faisant rien du tout, certains d'entre elles apportant des désavantages, et celles qui nous intéressent ici: certaines d'entre elles créant des interactions plus favorables avec l'environnement (et notamment avec la présence d'insectes butineurs). Ces mutations donnant un avantage sélectif, elles seront de meilleures candidates pour être transmise aux générations suivantes (en ce sens que les individus qui en sont dépourvus sont plus "fragiles" et donc moins aptes à avoir une descendance tout court.)
Est-on d'accord sur cette formulation? (et donc sur le principe?)
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 10:39mais vicomte enfinnnn ! on est justement pas dans un colloque... loooool
c'est ça la réalité
je te le répète vicomte, je ne cite pas sur un forum... tout simplement parceque je déteste le rapport à la personne sur le texte. et j'en veux pas. et c pas specifique à toi... d'autre part je fais quasiment jamais de copier coller.
macgregor tu as du faire plaisir à Vicomte. mais tu sais je suis pas là pour prouver ou forcément argumenter. et je trouve que j'ai argumenté sur le sujet. Peut etre pas ce que l'on attendait par raport à l'ensemble (faut il qu'il y est un ensemble).
et moi le saut entre approche épistemologique, le discours de victomte, et la neurologie, j'ai mon idée sur le sujet
en quarantes pages y a eu des tas de sujets surtout...
je vois un peu les sujets récurents. Quant à la question de dieu, le discours, et la neurologie, en fait bon j'ai mes avis déjà sur le sujet.
c'est ça la réalité
je te le répète vicomte, je ne cite pas sur un forum... tout simplement parceque je déteste le rapport à la personne sur le texte. et j'en veux pas. et c pas specifique à toi... d'autre part je fais quasiment jamais de copier coller.
macgregor tu as du faire plaisir à Vicomte. mais tu sais je suis pas là pour prouver ou forcément argumenter. et je trouve que j'ai argumenté sur le sujet. Peut etre pas ce que l'on attendait par raport à l'ensemble (faut il qu'il y est un ensemble).
et moi le saut entre approche épistemologique, le discours de victomte, et la neurologie, j'ai mon idée sur le sujet

en quarantes pages y a eu des tas de sujets surtout...
je vois un peu les sujets récurents. Quant à la question de dieu, le discours, et la neurologie, en fait bon j'ai mes avis déjà sur le sujet.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 20 août09, 23:17Oui, la même réalité que la possibilité d'un ivrogne qui passait par là de venir s'immiscer dans un symposium scientifique. Il pourra déblatérer autant qu'il le souhaite et donner son avis sur la décoration, le look des scientifiques, leur voix, leurs manières, ce qu'il ressent, etc. Ce sera effectivement "la réalité", mais ça ne construira rien et ses interventions ne seront pas pertinentes. Il restera le bienvenu, je te rassure.psycha a écrit :mais vicomte enfinnnn ! on est justement pas dans un colloque... loooool c'est ça la réalité
Et je répète que nous n'avons pas la même déontologie. Je comprends ton angle d'approche : la défense de ton droit à dire ce que tu veux. Le mien serait plutôt qu'en intervenant dans un forum (qui n'est pas une tribune) j'engage ma responsabilité vis-à-vis de la communauté des participants et des visiteurs.psycha a écrit :je te le répète vicomte, je ne cite pas sur un forum... tout simplement parceque je déteste le rapport à la personne sur le texte. et j'en veux pas. et c pas specifique à toi... d'autre part je fais quasiment jamais de copier coller.
C'est le problème de beaucoup de croyants, effectivement. Ils croient argumenter. Pour un créationniste, par exemple, la phrase "Ha ha ha, comment peut-on croire à l'ineptie de l'évolution ?" passe pour un argument.psycha a écrit :macgregor tu as du faire plaisir à Vicomte. mais tu sais je suis pas là pour prouver ou forcément argumenter. et je trouve que j'ai argumenté sur le sujet. [...]
Décidément, quelle pluie d'arguments dont tu nous inondes.psycha a écrit :et moi le saut entre approche épistemologique, le discours de victomte, et la neurologie, j'ai mon idée sur le sujet
Avis n'est pas réfutation ou déduction, surtout quand on le garde pour soi.psycha a écrit :[...] je vois un peu les sujets récurents. Quant à la question de dieu, le discours, et la neurologie, en fait bon j'ai mes avis déjà sur le sujet.
J'ai bien lu à d'autres endroits des légères références à la psychanalyse freudienne (ton pseudonyme ne doit d'ailleurs pas y être étranger). Peut-être pourrais-tu tenter une approche du problème qui nous intéresse dans ce topique selon cet angle de recherche. enfin, ce n'est qu'une suggestion (mue par le souhait de te voir enfin produire un discours constructif, chose dont je suis certain que tu es en fait capable).
Je cesse (sans doute définitivement) toute activité sur ce forum. J'en explique les raisons là-bas : http://www.forum-religion.org/post638027.html#p638027 là-bas : http://www.forum-religion.org/post638076.html#p638076 et enfin là-bas : http://www.forum-religion.org/post639549.html#p639549
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 21 août09, 00:13looool ah bon maintenant je suis l'ivrogne et tu es le scientifique...
ben bravo !
bon reprends tes discussions, je t'ai dis que je jetais l'éponge plus haut. et j'aime pas tes insultes. ça m'interesse pas de discuter ainsi. encore pire si tu me parles de déontologie.
y a des gens qui sont interessés par ton approche epistemologique de l'inexistence de dieu, et tes arguments neurologiques.
ben bravo !

bon reprends tes discussions, je t'ai dis que je jetais l'éponge plus haut. et j'aime pas tes insultes. ça m'interesse pas de discuter ainsi. encore pire si tu me parles de déontologie.
y a des gens qui sont interessés par ton approche epistemologique de l'inexistence de dieu, et tes arguments neurologiques.
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Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 21 août09, 04:26Bonjour Vicomte,
Je m'adresse donc au pédagogue, imaginez que je ne suis pas une très bonne élève et oubliez que j'ai peut-être des convictions religieuse, s'il vous plaît.
Vous ne risquez rien, je ne vais pas vous démontrer que D-ieu existe !
À relire vos messages, j'ai l'impression d'une première méprise de ma part.
Il semble en effet que pour vous un concept n'est que le reflet linguisitique d'une agencement de nos réseaux neuronaux et que par conséquent vous n'optez pas pour une définition restrictive du mot concept. Par exemple vous ne distinguez pas concept et notion et vous n'exigez aucun formalisme particulier.
Me permettez-vous de vous demander si ces notions naïves (les majuscules n'ont qucune signification particulière) sont des concepts au sens où vous l'entendez :
L'Univers, le Néant, le Vide ;
Le Temps, le Passé, le Futur ;
La Bonté, le Bien, le Mal ;
Le Big Bang, la température du zéro absolu, la première séquence de neuf 9 dans le développement décimal de PI, l'algorithme optimal du voyageur de commerce ;
Le connu, Le Connaissable, l'Inconnaissable, L'Inconnaissable en l'an 2000 ;
dans l'attente de votre réponse, je vous prie de croire en toute ma considération.
Je m'adresse donc au pédagogue, imaginez que je ne suis pas une très bonne élève et oubliez que j'ai peut-être des convictions religieuse, s'il vous plaît.
Vous ne risquez rien, je ne vais pas vous démontrer que D-ieu existe !
À relire vos messages, j'ai l'impression d'une première méprise de ma part.
Il semble en effet que pour vous un concept n'est que le reflet linguisitique d'une agencement de nos réseaux neuronaux et que par conséquent vous n'optez pas pour une définition restrictive du mot concept. Par exemple vous ne distinguez pas concept et notion et vous n'exigez aucun formalisme particulier.
Me permettez-vous de vous demander si ces notions naïves (les majuscules n'ont qucune signification particulière) sont des concepts au sens où vous l'entendez :
L'Univers, le Néant, le Vide ;
Le Temps, le Passé, le Futur ;
La Bonté, le Bien, le Mal ;
Le Big Bang, la température du zéro absolu, la première séquence de neuf 9 dans le développement décimal de PI, l'algorithme optimal du voyageur de commerce ;
Le connu, Le Connaissable, l'Inconnaissable, L'Inconnaissable en l'an 2000 ;
dans l'attente de votre réponse, je vous prie de croire en toute ma considération.
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 21 août09, 04:32la religion a été inventer par des hommes pour expliquer les chose qui ne pouvait expliquer... comme la création du monde... ensuite il s'en sont servit pour controler les gens, et sa continuer en guerre et en série de meutre contre ceux qui n'était supposément pas de la bonne religion, ensuite c'est la discrimination contre les noirs, ensuite contre les homosexuelle, l'interdiction à l'avortement et à la contraception, en passant par les sacrifices et les jeûnes forcer... Non sérieusement la religion c'est du lavement de cerveau... c est un moyen detourné pour manipulé les gens et en faire se qu on veut. c est trop facile de se caché deriere un dieu pour se donné une raison d aimer ou de hair son voisin.
En plus toute ces simagres ne rime a rien (jeune, bonne parole, priere....)
En plus toute ces simagres ne rime a rien (jeune, bonne parole, priere....)
Je veux connaître les pensées de Dieu ; tout le reste n'est que détail.
[Albert Einstein]
[Albert Einstein]
Re: Inexistence de dieu : approche épistémologique
Ecrit le 21 août09, 06:15Eh bien au revoir, et à bientôt j'espère. Dès que tu as des arguments, n'hésite pas à revenir dans ce topique.psycha a écrit :looool ah bon maintenant je suis l'ivrogne et tu es le scientifique... ben bravo !
bon reprends tes discussions, je t'ai dis que je jetais l'éponge plus haut.
Quand t'aurais-je insultée, exactement ? Peux-tu citer la phrase exacte où je t'insulte ? Toi, oui, tu m'as effectivement insulté. Mais l'inverse me semble inexacte.psycha a écrit :et j'aime pas tes insultes.
En gros tu as le droit de me donner des leçons, ainsi qu'aux autres, mais je n'ai pas le droit de t'inviter à te poser des questions quant à la déontologie ?psycha a écrit :ça m'interesse pas de discuter ainsi. encore pire si tu me parles de déontologie.
La réciprocité ne me semble pas être ton principal souci.
Je cesse (sans doute définitivement) toute activité sur ce forum. J'en explique les raisons là-bas : http://www.forum-religion.org/post638027.html#p638027 là-bas : http://www.forum-religion.org/post638076.html#p638076 et enfin là-bas : http://www.forum-religion.org/post639549.html#p639549
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