Kown a écrit :Hallelouyah,
Je crois que la traduction que tu nous a sortis de ce verset ( Zacharie ) est modifié, afin de correspondre à ta doctrine, du moins celle des tj. Il est pourtant bien écrit "les regards vers moi celui qu'il ont percé". Oui Dieu est percé, simplement quand tu crois qu'il est venu, lui qui est l'esprit comme tu le dit en Jean 4:24.
N'inverse pas les rôles, Dieu ne peut mourir et n'est pas un homme, de plus :
(1 Rois 8:27) “ Mais est-ce que vraiment Dieu habitera sur la terre ? Vois ! Les cieux eux-mêmes, oui le ciel des cieux, ne peuvent te contenir [...] La réponse est donc non
Kown a écrit :Je te parle souvent de lui-même venant en Jésus, combinaison entre l'esprit ( père-Amour
-tout puissant ) et la chair ( LE fils Unique de Dieu- esprit dans le corps ).Tu peux cerner le jean 1:18 ou bien jean 5:37-38 , ou le jean 14/7 qui dit bien "VU" au sujet du père ( Le Dieu Esprit ). Tout c'est versets te montre les deux face de Dieu, Esprit (Dieu puissant) / Chair (sauveur seigneur)
À l’époque où Jésus était sur la terre, on avait l’habitude de s’étendre à table pour prendre un repas. Permettre à un invité de se pencher sur son sein était un gage d’étroite amitié ou de faveur. C’est la place qu’on appelait le sein (Jn 13:23, 25). Jésus fit allusion à cette coutume dans ses exemples rapportés en Luc 16:22, 23 et Jean 1:18.S’adressant à un groupe de Juifs incrédules, vers l’époque de la Pâque 31 de n. è., Jésus dit : “ De plus, le Père qui m’a envoyé a lui-même témoigné à mon sujet. Vous n’avez jamais entendu sa voix et vous n’avez pas non plus vu sa forme ; et sa parole, vous ne l’avez pas qui demeure en vous, parce que celui-là même qu’il a envoyé, vous, vous ne le croyez pas. ” (Jn 5:37, 38). Cette foule incrédule n’avait jamais entendu la voix de Dieu, et elle n’obéissait pas à sa parole ni même au témoignage indéniable du soutien que Dieu apportait aux œuvres de Jésus. Pour cette raison, apparemment seuls Jésus et Jean le baptiseur avaient entendu la voix audible de Jéhovah, car les deux dernières fois que Jéhovah parla n’avaient pas encore eu lieu à ce moment-là.
Comme tu vois, aucun des versets que tu as mentionné appuie ta doctrine, mais ils établissent chacun que Jéhovah et Jésus sont deux êtres différents et distincts.
Que signifie l’expression “Celui qui m’a vu a vu le Père”?
UN JOUR, Philippe, disciple de Jésus, lui fit cette requête: “Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.” (Jean 14:8). En réponse, Jésus lui dit: “Je suis avec vous depuis si longtemps, et cependant Philippe, tu ne m’as pas reconnu! Celui qui m’a vu a vu le Père.” (Jean 14:9).
Mais qu’entendait Jésus par cette expression?
Sinon, tu as oublié ceci :
Est-il “égal à Dieu”?
EN PHILIPPIENS 2:6, la Bible de Sacy (1846) dit de Jésus: “qui, ayant la forme et la nature de Dieu n’a point cru que ce fût pour lui une usurpation d’être égal à Dieu.” On lit à peu près la même chose dans La Sainte Bible, de David Martin (1879). Certains défenseurs de l’idée selon laquelle Jésus est égal à Dieu utilisent encore de nos jours des versions similaires. Toutefois, remarquez comment d’autres traductions rendent ce verset:
1908: “quoiqu’il fût en forme de Dieu, loin de s’en prévaloir pour s’égaler à Dieu.” La Sainte Bible, de H. Oltramare.
1965: “Lui — véritablement de nature divine! n’a jamais eu la suffisance de se faire égal à Dieu.” Das Neue Testament, édition révisée, de Friedrich Pfäfflin.
1968: “qui, bien qu’étant en forme de Dieu, n’a pas considéré qu’être égal à Dieu était une chose qu’il devait cupidement faire sienne.” La Bibbia Concordata.
1984: “il possédait depuis toujours la condition divine, mais il n’a pas estimé qu’il devait chercher à se faire de force l’égal de Dieu.” La Bible en français courant.
1987: “lequel, bien qu’il existât dans la forme de Dieu, n’a pas songé à une usurpation, à savoir pour être égal à Dieu.” Les Saintes Écritures — Traduction du monde nouveau.
1988: “lui qui est de condition divine n’a pas considéré comme une proie à saisir d’être l’égal de Dieu.” TOB.
Cependant, certains prétendent que même ces traductions plus fidèles impliquent 1) que Jésus était déjà égal à Dieu, mais qu’il était disposé à renoncer à son rang, ou 2) qu’il n’avait pas besoin d’usurper une égalité qu’il détenait déjà.
Ralph Martin, dans L’épître de Paul aux Philippiens (angl.), fait sur le grec original le commentaire suivant: “On peut douter, toutefois, que le verbe puisse glisser de son sens réel de ‘ravir’, ‘s’emparer de’, vers celui de ‘retenir’.” Le Commentaire interprétatif du Testament grec (angl.) dit de son côté: “On ne trouve aucun passage où ἁρπάζω [harpazô] ou l’un quelconque de ses dérivés ait le sens de ‘garder’ ou de ‘retenir’. Il semble que ce verbe signifie invariablement ‘ravir, s’emparer de’. Il n’est donc pas permis de glisser du sens véritable, ‘saisir’, vers un autre sens totalement différent, celui de ‘retenir’.”
Ce qui précède montre à l’évidence que les auteurs de certaines traductions, telles que la Bible de Sacy ou La Sainte Bible, de David Martin, tordent les règles de la langue grecque pour faire valoir leurs vues trinitaires. Loin de suggérer que Jésus jugeait convenable de se faire égal à Dieu, le texte grec de Philippiens 2:6, lorsqu’on le lit d’un œil objectif, affirme exactement le contraire: Jésus ne pensait pas que ce fût convenable.
Le contexte (versets 3-5, 7, 8, Jé) nous éclaire sur la façon dont on doit comprendre ce verset 6. Paul formule cette exhortation: “Que chacun par l’humilité estime les autres supérieurs à soi.” L’apôtre prend ensuite l’exemple par excellence, celui de Jésus: “Ayez entre vous les mêmes sentiments qui sont dans le Christ Jésus.” Quels “sentiments”? S’agit-il de ‘ne point croire que ce fût une usurpation d’être égal à Dieu’? Non, cela irait totalement à l’encontre de l’argument développé. Bien plutôt, Jésus, qui ‘estimait Dieu supérieur à soi’, n’a jamais ‘cherché à se faire de force l’égal de Dieu’; au contraire, “il s’humilia plus encore, obéissant jusqu’à la mort”.
Assurément, ces paroles ne peuvent s’appliquer au Dieu Tout-Puissant. C’est de Jésus Christ qu’il est question ici, Jésus Christ qui illustre parfaitement l’argument de Paul relatif à l’importance de l’humilité et de l’obéissance vis-à-vis de quelqu’un de Supérieur, le Créateur, Jéhovah Dieu.
Le passage de Philippiens 2:6, traduit correctement, montre donc que le Fils, bien qu’il fût en forme de Dieu en ce sens qu’il était esprit tout comme “Dieu est Esprit”, ne se considérait pas comme l’égal de son Père et n’a jamais songé à usurper la position de Dieu. Au contraire, il a manifesté sa soumission à Dieu comme à un Supérieur en s’humiliant sous sa main toute-puissante d’une humiliation suprême, se montrant obéissant jusqu’à la mort sur un poteau de torture. C’est pourquoi Dieu l’exalta à une position supérieure (mais non la plus élevée) afin que toute langue reconnaisse que Jésus-Christ est Seigneur “à la gloire de Dieu le Père”. — Jean 4:24 ; Phil. 2:5-11.
Il est donc évident que si l’Église catholique n’avait pas adopté la conception païenne de la trinité et si les bibles catholiques avaient traduit fidèlement le texte grec de Philippiens 2:6, la querelle du dimanche des Rameaux n’aurait pas eu lieu.
Par conséquent quand vint le temps fixé par Jéhovah d'envoyer son Fils unique-engendré dans le monde, Jésus Christ s'humilia en se laissant s'abaisser un peu au-dessous des anges, en se vidant de sa condition divine, d'esprit, d'être spirituel, pour devenir alors sous la puissance créatrice de Jéhovah qu'est son esprit saint, en transférant sa vie, un embryon humain parfait qui par la suite grandira exactement comme un humain parfait dans sa conception même et viendra au monde par sa mère Marie.
Ainsi la Parole devint chair et résida parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle d’un fils unique-engendré [et qui vient] d’un père ; et il était plein de faveur imméritée et de vérité.(Jean 1:14)
Comme tu vois c'est toi qui ne crois pas que La Parole est devenue chair, que Jésus est venu dans la chair puisque tu dis que Jésus est un esprit qui s'est incarné (non biblique) dans un corps.