C'était a une vision.jusmon de M. & K. a écrit : Mais voyons, Etienne a vu le Fils de l'Homme à la droite de quelqu'un d'invisible.
La Parole était dieu.. leçons à tirer.
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 04:35(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 04:45Bonjour à tous,
Une vision ne fait pas entrer en jeu la vision oculaire mais est une image mentale. Etienne "voit" Dieu comme Ezechiel ou Jean dans l'Apocalypse dans le sens qu'il sait que c'est Dieu.
Une vision ne fait pas entrer en jeu la vision oculaire mais est une image mentale. Etienne "voit" Dieu comme Ezechiel ou Jean dans l'Apocalypse dans le sens qu'il sait que c'est Dieu.
Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 08:34Et Jesus n'est pas à l'image du Dieu invisible non plusjusmon de M. & K. a écrit : Mais voyons, Etienne a vu le Fils de l'Homme à la droite de quelqu'un d'invisible.

Ah! ben si en faite Colossiens 1 v 13
Car à coup sûr Jéhovah consolera Sion. Oui, il consolera tous ses lieux dévastés, il rendra son désert pareil à l’Éden et sa plaine désertique pareille au jardin de Jéhovah. On y trouvera l’allégresse et la joie, l’action de grâces et la voix de la mélodie
Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 08:36Exactement il sait que c'est Dieu merciné de nouveau a écrit :Bonjour à tous,
Une vision ne fait pas entrer en jeu la vision oculaire mais est une image mentale. Etienne "voit" Dieu comme Ezechiel ou Jean dans l'Apocalypse dans le sens qu'il sait que c'est Dieu.
Car à coup sûr Jéhovah consolera Sion. Oui, il consolera tous ses lieux dévastés, il rendra son désert pareil à l’Éden et sa plaine désertique pareille au jardin de Jéhovah. On y trouvera l’allégresse et la joie, l’action de grâces et la voix de la mélodie
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 08:59il vois Dieu et Jésus.Amelia a écrit : Exactement il sait que c'est Dieu merci
(Actes 7:55) 55 Mais lui, plein d’esprit saint, fixa le ciel et aperçut la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu [...]
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 10:25Mais pas invisible pour tout le monde :Amelia a écrit : Et Jesus n'est pas à l'image du Dieu invisible non plus![]()
Ah! ben si en faite Colossiens 1 v 13
" Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu! " (Matt.5:8).
Etienne avait le coeur pur, et Dieu le consola par une vision très réaliste de Personnages glorieux.
"Ils étaient frappés de sa doctrine ; car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme les scribes." (Marc 1:22).
Le christianisme enfin expliqué:
http://www.forum-religion.org/post641487.html#p641487
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 10:30erreur, fatigue 

"Ils étaient frappés de sa doctrine ; car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme les scribes." (Marc 1:22).
Le christianisme enfin expliqué:
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Le christianisme enfin expliqué:
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 11:38Bonjour Agecanonix
Matthieu 1.1 Livre de la Genèse de Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham.
Marc 1.1 Commencement de la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, Fils de Dieu.
ni en prenant la pose de l'historien comme saint Luc.
Non, il nous parle du Logos, c'est à dire d'une réalité mystérieuse pour nous, mais sûrement pas pour ses lecteurs puisqu'il commence par là,
Réalité qui n'est pas si exotique que cela puisque saint Jean en dira : 4 En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.
et
9 Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme.
10 Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l’a point connue. 11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue.
Il faudra attendre la fin de ce Prologue pour que soit évoqué Jésus dans deux versets assez contrastés.
Le premier semble respectueusement établir une comparaison avec Moïse mais le second verset relativise la théophanie dont Moïse a été témoin, et la conclusion établit clairement la cohérence avec le tout début du prologue.
17 car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.
18 Personne n’a jamais vu Dieu ; le Dieu monogène qui est dans le sein du Père, est Celui qui L’a fait connaître.
où il apparaît que le Dieu monogène qui est dans le sein du Père est le Logos du début.
Par ailleurs, l'autre question de vocabulaire est la signification du "en archê" qui renvoie au "bereshit" du livre de la Genèse.
Saint Jérôme traduit par "in principio", avant lui Aquila avait choisi "en kephalaiô" qui peut résonner avec le "récapituler" de saint Paul...
Cela signifie que la traduction classique du "au commencement" n'a pas toujours été la plus évidente.
Et le grec "en archê" est, quant à lui, polysémique.
Exacerber la temporalité de ce "Bereshit" pose d'ailleurs des difficultés chronologiques, surtout chez saint Jean où l'imparfait (passé duratif) du verbe eimi ne cesse de s'opposer au "advenir/devenir" du verbe ginomai.
Néanmoins, d'un point de vue plus spirituel saint Jean fait oeuvre d'historien à sa manière, il nous rappelle les trois manifestations du Logos :
1 ) au Béreshit,
2 ) au Sinaï,
3 ) au moment de l'incarnation.
Pour en revenir à votre question initiale,
Comme je l'ai dit autre part quand on traduit Logos par Parole, ce n'est ni la voix, ni le son, ni la faculté sonore, ni les mots proférés, ni les paroles dites.
Sauf catastrophe neurologique, un muet a la parole au sens du Logos.
Quelqu'un qui se tait mais qui pense a la parole au sens du Logos.
Le Logos est à mes yeux cette potentialité d'expression, le Logos est le langage et son pouvoir, c'est la puissance infinie de la verbalisation.
Proférer n'est que manifester ce qui est déjà.
Proférer sans Logos ce n'est que crier, aboyer, braire...
Très cordialement
votre soeur
Un point important est que le saint apôtre et évangéliste Jean ne commence pas son récit en parlant de Jésus comme Matthieu et Marcagecanonix a écrit :J'ouvre ce sujet pour discuter avec Pauline avec laquelle j'avais commencé une approche intéressante avant d'être banni d'un forum un peu expéditif.
Il n'y a pas d'exclusivité évidemment et tous sont les bienvenus.
La question portait notamment sur le sens du mot "logos" dans le vocabulaire de l'apôtre Jean..
Matthieu 1.1 Livre de la Genèse de Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham.
Marc 1.1 Commencement de la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, Fils de Dieu.
ni en prenant la pose de l'historien comme saint Luc.
Non, il nous parle du Logos, c'est à dire d'une réalité mystérieuse pour nous, mais sûrement pas pour ses lecteurs puisqu'il commence par là,
Réalité qui n'est pas si exotique que cela puisque saint Jean en dira : 4 En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.
et
9 Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme.
10 Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l’a point connue. 11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue.
Il faudra attendre la fin de ce Prologue pour que soit évoqué Jésus dans deux versets assez contrastés.
Le premier semble respectueusement établir une comparaison avec Moïse mais le second verset relativise la théophanie dont Moïse a été témoin, et la conclusion établit clairement la cohérence avec le tout début du prologue.
17 car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.
18 Personne n’a jamais vu Dieu ; le Dieu monogène qui est dans le sein du Père, est Celui qui L’a fait connaître.
où il apparaît que le Dieu monogène qui est dans le sein du Père est le Logos du début.
Par ailleurs, l'autre question de vocabulaire est la signification du "en archê" qui renvoie au "bereshit" du livre de la Genèse.
Saint Jérôme traduit par "in principio", avant lui Aquila avait choisi "en kephalaiô" qui peut résonner avec le "récapituler" de saint Paul...
Cela signifie que la traduction classique du "au commencement" n'a pas toujours été la plus évidente.
Et le grec "en archê" est, quant à lui, polysémique.
Exacerber la temporalité de ce "Bereshit" pose d'ailleurs des difficultés chronologiques, surtout chez saint Jean où l'imparfait (passé duratif) du verbe eimi ne cesse de s'opposer au "advenir/devenir" du verbe ginomai.
Néanmoins, d'un point de vue plus spirituel saint Jean fait oeuvre d'historien à sa manière, il nous rappelle les trois manifestations du Logos :
1 ) au Béreshit,
2 ) au Sinaï,
3 ) au moment de l'incarnation.
Pour en revenir à votre question initiale,
Comme je l'ai dit autre part quand on traduit Logos par Parole, ce n'est ni la voix, ni le son, ni la faculté sonore, ni les mots proférés, ni les paroles dites.
Sauf catastrophe neurologique, un muet a la parole au sens du Logos.
Quelqu'un qui se tait mais qui pense a la parole au sens du Logos.
Le Logos est à mes yeux cette potentialité d'expression, le Logos est le langage et son pouvoir, c'est la puissance infinie de la verbalisation.
Proférer n'est que manifester ce qui est déjà.
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 19:32Jean 1:1 déclare : “ Au commencement était la Parole [le Verbe, Traduction Œcuménique de la Bible], et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. ” (Bible à la Colombe, 1978, édition de 1987). Un peu plus loin dans le même chapitre, l’apôtre Jean indique clairement que “ la Parole ” est Jésus (Jean 1:14). Toutefois, comme la Parole est appelée Dieu, certains en concluent que le Fils et le Père doivent faire partie du même Dieu.
Rappelez-vous qu’à l’origine cette partie de la Bible a été écrite en grec. Par la suite, elle a été traduite. Or, un certain nombre de traducteurs n’ont pas employé l’expression “ la Parole était Dieu ”. Pourquoi ? Leur connaissance du grec biblique les a amenés à la conclusion qu’ils devaient la traduire autrement. De quelle façon ? Voici quelques exemples : “ La Parole était d’essence divine. ” (La Sainte Bible [1908], par L. Segond et H. Oltramare). “ La Parole était un dieu. ” (Traduction du monde nouveau). “ Le Verbe était un être divin. ” (La Bible du Centenaire). Selon ces traductions, la Parole n’est pas Dieu lui-même. En raison de sa position élevée parmi les créatures de Jéhovah, la Parole est appelée “ un dieu ”. Ici, le terme “ dieu ” signifie “ puissant ”.
Rappelez-vous qu’à l’origine cette partie de la Bible a été écrite en grec. Par la suite, elle a été traduite. Or, un certain nombre de traducteurs n’ont pas employé l’expression “ la Parole était Dieu ”. Pourquoi ? Leur connaissance du grec biblique les a amenés à la conclusion qu’ils devaient la traduire autrement. De quelle façon ? Voici quelques exemples : “ La Parole était d’essence divine. ” (La Sainte Bible [1908], par L. Segond et H. Oltramare). “ La Parole était un dieu. ” (Traduction du monde nouveau). “ Le Verbe était un être divin. ” (La Bible du Centenaire). Selon ces traductions, la Parole n’est pas Dieu lui-même. En raison de sa position élevée parmi les créatures de Jéhovah, la Parole est appelée “ un dieu ”. Ici, le terme “ dieu ” signifie “ puissant ”.
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 21:12Rien compris !pauline.px a écrit :Bonjour Agecanonix
Un point important est que le saint apôtre et évangéliste Jean ne commence pas son récit en parlant de Jésus comme Matthieu et Marc
Matthieu 1.1 Livre de la Genèse de Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham.
Marc 1.1 Commencement de la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, Fils de Dieu.
ni en prenant la pose de l'historien comme saint Luc.
Non, il nous parle du Logos, c'est à dire d'une réalité mystérieuse pour nous, mais sûrement pas pour ses lecteurs puisqu'il commence par là,
Réalité qui n'est pas si exotique que cela puisque saint Jean en dira : 4 En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.
et
9 Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme.
10 Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l’a point connue. 11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue.
Il faudra attendre la fin de ce Prologue pour que soit évoqué Jésus dans deux versets assez contrastés.
Le premier semble respectueusement établir une comparaison avec Moïse mais le second verset relativise la théophanie dont Moïse a été témoin, et la conclusion établit clairement la cohérence avec le tout début du prologue.
17 car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.
18 Personne n’a jamais vu Dieu ; le Dieu monogène qui est dans le sein du Père, est Celui qui L’a fait connaître.
où il apparaît que le Dieu monogène qui est dans le sein du Père est le Logos du début.
Par ailleurs, l'autre question de vocabulaire est la signification du "en archê" qui renvoie au "bereshit" du livre de la Genèse.
Saint Jérôme traduit par "in principio", avant lui Aquila avait choisi "en kephalaiô" qui peut résonner avec le "récapituler" de saint Paul...
Cela signifie que la traduction classique du "au commencement" n'a pas toujours été la plus évidente.
Et le grec "en archê" est, quant à lui, polysémique.
Exacerber la temporalité de ce "Bereshit" pose d'ailleurs des difficultés chronologiques, surtout chez saint Jean où l'imparfait (passé duratif) du verbe eimi ne cesse de s'opposer au "advenir/devenir" du verbe ginomai.
Néanmoins, d'un point de vue plus spirituel saint Jean fait oeuvre d'historien à sa manière, il nous rappelle les trois manifestations du Logos :
1 ) au Béreshit,
2 ) au Sinaï,
3 ) au moment de l'incarnation.
Pour en revenir à votre question initiale,
Comme je l'ai dit autre part quand on traduit Logos par Parole, ce n'est ni la voix, ni le son, ni la faculté sonore, ni les mots proférés, ni les paroles dites.
Sauf catastrophe neurologique, un muet a la parole au sens du Logos.
Quelqu'un qui se tait mais qui pense a la parole au sens du Logos.
Le Logos est à mes yeux cette potentialité d'expression, le Logos est le langage et son pouvoir, c'est la puissance infinie de la verbalisation.
Proférer n'est que manifester ce qui est déjà.
Proférer sans Logos ce n'est que crier, aboyer, braire...
Très cordialement
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Faut être savant pour comprendre l'Evangile de Pauline... Toujours pas compris si Jésus était le verbe, l'adverbe, le pronom ou l'adjectif.
"Ils étaient frappés de sa doctrine ; car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme les scribes." (Marc 1:22).
Le christianisme enfin expliqué:
http://www.forum-religion.org/post641487.html#p641487
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 22:02il me semble que certaines Bibles ont été revus :
la nouvelle Bible Segond :
Au commencement était la Parole ;
la Parole était auprès de Dieu ;
la Parole était Dieu.
le NT par H. Oltramare :
Au commencement était la Parole ;
la Parole était avec Dieu ;
la Parole était dieu.
etc ...
c'est marrant : medico ne choisit que ce qui va dans son sens !
voici une liste à consulter :
la nouvelle Bible Segond :
Au commencement était la Parole ;
la Parole était auprès de Dieu ;
la Parole était Dieu.
le NT par H. Oltramare :
Au commencement était la Parole ;
la Parole était avec Dieu ;
la Parole était dieu.
etc ...
c'est marrant : medico ne choisit que ce qui va dans son sens !
voici une liste à consulter :
1226-1250, traduction de Jean Le Bon de l'Université de Paris
Inachevée et poursuivie au xive siècle par Jean de Sy et les Dominicains, Jehan Nicolas, Guillaume Vivien, et Jehan de Chambly.
1297 la Bible historiale de Guyart Desmoulins ou Guyart des Moulins
Traduction et compilation des Histoires scholastiques de Pierre le Mangeur, la plus grande partie de la Bible (d'une traduction libérale), et un assemblage de gloses et d'autres matériaux de plusieurs sources. Le contenu des manuscrits est variable, et des versions successives semblent y ajouter des livres de la Bible qui manquaient à la traduction de Guyart.
1377, Bible de Charles V
Traduction de Raoul de Presles dédiée au roi Charles V
Après l'imprimerie[modifier]
Traductions du xve siècle[modifier]
1476, le Nouveau Testament[modifier]
Imprimé par Le Roy, Guillaume; traduit à partir de la Vulgate latine: Pierre Farget (éditeur) et Julien Macho (éditeur) (trad. Guyart des Moulins), Nouveau Testament, Lyon, Buyer, Barthélemy (libraire), 1476, [304] f. non signés. p. [lire en ligne]
1487, la Bible de Jean de Rély[modifier]
Imprimée pour la première fois à Paris et rééditée au moins dix fois dans les cinquante années qui suivirent. Il s'agit d'une Bible historiée, comme il est écrit au folio 353, éditée à partir d'un manuscrit tardif de la Bible historiale de Guyart des Moulins ou Desmoulins.
Traductions du xvie siècle[modifier]
1523, Nouveau Testament de Jacques Lefèvre d'Étaples
1528, Ancien Testament de Jacques Lefèvre d'Étaples.
À partir de la Vulgate, imprimé à Anvers 1530, 1534, 1541. Révisée par Nicolas de Leuze (Anvers, 1548). Il s'agit de la première traduction intégrale des écritures hébraïques en français.
1535, Bible d'Olivétan : première traduction réalisée à partir des textes originaux hébreu et grec.
Il introduit le mot Éternel pour rendre le tétragramme. Pierre Robert, dit Olivétan, est probablement un cousin de Jean Calvin, qui préface en latin l'ouvrage. La traduction est accompagnée de nombreuses notes d'érudition. Le Nouveau Testament suit le texte grec « majoritaire » compilé par Erasme de Rotterdam.
1551, Bible en latin et 1555 en français de Sebastian Castellion : à partir de l'hébreu et du grec. Traduction condamnée par Jean Calvin.
1560, Bible de Genève de Jean Calvin : en suivant la Bible d'Olivétan.
1588, Révision de la Bible de Genève (Bible de « l'Epée ») par Théodore de Bèze et Corneille Bertram.
1550‑1608, La Bible de Louvain : révision de la bible de Lefebvre d'Étaples suspectée d'hérésie.
1566, traduction de René Benoist : à partir de la Vulgate (Paris). Suspectée de calvinisme, elle soulève de nombreuses controverses.
Traduction du xviie siècle[modifier]
1667, Nouveau Testament d'Antoine et Isaac Lemaître de Sacy "Selon l'édition Vulgate, avec différences du grec" ; les différences sont décrites dans d'abondantes notes marginales.
Imprimé à Amsterdam sous le nom de Gaspard Migeot libraire à Mons.
1696, Traduction effectuée à l'abbaye de Port-Royal de Paris (abbaye janséniste), édition élaborée entre 1657 et 1696.
Blaise Pascal, et des écrivains influents tels que Robert Arnauld d'Andilly, Pierre Nicole, Pierre Thomas du Fossé, sous la férule du maître d'œuvre Louis-Isaac Lemaître de Sacy ont participé à la traduction de la Bible, traduction dite de Port-Royal (voir Logique de Port-Royal pour l'influence sur la syntaxe et la grammaire de la langue française).
1696, Le Nouveau Testament de David Martin : révision de la Bible de Genève accompagnée de notes.
Traductions du xviiie siècle[modifier]
1702, Nouveau Testament de Richard Simon, oratorien qui a consacré sa vie à de nombreux travaux d’exégèse et de recherche critique sur le texte de la Bible. Il pratiquait le grec, l’hébreu, l’araméen (langue du Christ), connaissait les méthodes d’exégèse traditionnelle du judaïsme.
1707, La Sainte Bible de David Martin : révision de la Bible de Genève accompagnée de notes. En ligne sur Martin 1707
1707-1726, La Sainte Bible de Augustin Calmet : commentaire littéral sur tous les livres de l'Ancien et du Nouveau Testament ; 1707 : la Genèse, 1726 : l'Apocalypse.
1741, Bible de Charles de Cène, pasteur réfugié aux Provinces-Uies,
1744, Révision de Jean-Frédéric Ostervald de la Bible de Genève.
1744, Révision de la version de David Martin par le pasteur Pierre Roques
Traductions du xixe siècle[modifier]
1820‑1824, Sainte Bible (traduction nouvelle), par Antoine Eugène Genoud (dit l'abbé de Genoude), Paris, Imprimerie royale.
1831‑1851, La Bible, Traduction Nouvelle par Samuel Cahen : Bible juive, édition bilingue hébreu et français.
1843, Sainte Bible de Jean Jacques Bourassé et Pierre Désiré Janvier, appelée aussi Bible de Tours traduite à partir de la Vulgate. Éditée en 1866 en version de luxe illustrée par Gustave Doré, ré-éditée en 1985 chez Jean de Bonnot.
1847, Ancien Testament, H.-A. Perret-Gentil : en 2 vol., d'après le texte hébreu
1855, Révision de La Sainte Bible de David Martin
1859, La Sainte Bible de John Nelson Darby (à l'origine de la doctrine du dispensationalisme) : à partir du grec et de l'hébreu. J.N. Darby a également traduit la Bible en anglais et en allemand. Elle fait partie des Bibles en français dont le texte est actuellement dans le domaine public. Très littérale1.
1860, Ancien Testament de Lazare Wogue : avec la collaboration de Ben Baruk de Crehange, ou B. Mosse d'Avignon.
1872, le Nouveau Testament de Jean-Hugues Oltramare : qui présente la particularité de donner dans ses notes toutes variantes de l'édition grecque Nestlé-Alland et de les soupeser.
1872, l'Ancien Testament par Pierre Giguet : traduction d'après la Septante.
1873, La Sainte Bible par Jean Baptiste Glaire, commentaires de F. Vigouroux : traduction d'après la Vulgate, ré-éditée en 2002 aux éditions DFT.
1874, L'Ancien Testament de Louis Segond. Traduction précise1.
1877, Le Nouveau Testament selon la Vulgate : traduit en français avec des notes par l'abbé Jean Baptiste Glaire, P. Didot.
1880, Le Nouveau Testament et La Bible de Louis Segond : cette version originelle est devenue introuvable puisqu'elle a subi une révision en 1910 (après le décès de Louis Segond). La nouvelle version (Segond-1910) a été (et continue d'être) la plus largement utilisée par les protestants francophones1. Elle fait partie des Bibles en français dont le texte est actuellement dans le domaine public.
1881, Bible de Reus de Edouard Antoine Reus, traduction inspirée des traductions allemandes.
1881, Sainte Bible d'Antoine Arnaud à partir de la Vulgate destinée aux séminaristes.
1885, Ancien Testament de John Nelson Darby (à l'origine du dispensationalisme) : à partir de l'hébreu et sans prétention scientifique mais avec le souci de rendre la langue originale le plus littéralement possible2.
1886‑1896, Bible rationaliste par Eugène Ledrain : d'après les textes hébreu et grec, Paris.
1887, Les Saints Évangiles, traduction nouvelle : par Henri Lasserre. Revêtue de l'imprimatur.
1899 L'ancien et le nouveau Testament avec une traduction française en forme de paraphrase par le R.P. de Carrières et les commentaires de Ménochius de la Compagnie de Jésus, Onzième édition, Lille, Edition A. Taffin-Lefort ; Paris, Éditions Roger et F. Chernoviz ; Édition X. Rondelet et Cie.
1900, La Bible annotée Traduction et commentaire de l'Ancien Testament ; ouvrage collectif par une équipe de théologiens de Neuchâtel, sous la direction de Frédéric Godet (traduction de Félix Bovet).
Traductions du xxe siècle[modifier]
1902, La Bible du Rabbinat de Zadoc Kahn : avec de nombreux collaborateurs. Éditée en bilingue hébreu–français.
1904, La Bible Fillion de Louis Claude Fillion : Primitivement destinée aux séminaristes. « Fillion s’en tient à une lecture traditionnelle des textes bibliques. Il utilise un langage précis et sans ostentation, ce qui constitue un avantage certain1. »
1904, La Bible du chanoine Augustin Crampon : « L'abbé Crampon conserva la transcription Jéhovah du tétragramme YHWH Il essaye de préserver « une exactitude savante et minutieuse qui reproduise jusqu’aux nuances1. ». L'édition originale comportait six tomes avec le texte latin de la Vulgate en regard de sa traduction française. Une version en un seul volume (sans le texte latin), destinée à un large public, fut publiée dès 1904 et rencontra un grand succès auprès des catholiques jusqu'en 1950 (le but poursuivi était de concurrencer la Bible du protestant Louis Segond).
Cette Bible en un volume fut entièrement recomposée typographiquement (l'imprimerie ayant été détruite durant la première guerre mondiale) et par la même occasion corrigée et légèrement révisée, ceci en 1923. Le nom de Dieu Jéhovah est remplacé par Yahweh dans cette nouvelle édition améliorée. C'est cette édition de 1923 qui fut rééditée en 1989 par les Éditions DFT (Argentré-du-Plessis) qui la maintiennent toujours en disponibilité (plusieurs retirages).
1910, version synodale de la Société biblique française (fondée en 1818).
1910, "La Sainte Bible", actuellement considérée comme la "Bible Segond", en fait une révision réalisée après la mort de Louis Segond. En ligne sur BibleGateway.com
1918, La Bible du Centenaire : sous la direction d'Alfred Lods et de Maurice Goguel, elle fête le centenaire de la Société Biblique. C'est la première édition protestante avec introductions et note faisant le point sur les travaux historiques et critiques de la science biblique de cette époque.
1950 La Sainte Bible: par les moines de l'abbaye de Maredsous (Belgique), éditions Zech, Braine-le-Comte. Il s'agit de la première traduction catholique moderne de la Bible. Elle sera rééditée par les éditions Brepols en 1978 avec la collaboration de l'abbaye de Hautecombe. Une nouvelle édition sous le titre de Bible Pastorale paraîtra chez Brepols en 1997. Elle se trouve intégralement accessible avec un puissant moteur de recherche dans Internet depuis 2004: voir http://www.biblewww.net.
1951, La Sainte Bible : nouvelle édition publiée3
1955, La Bible de Jérusalem sous la direction de l'École biblique et archéologique française de Jérusalem. « Réalisée par les meilleurs spécialistes des études bibliques, elle est actuellement la plus répandue en France et fait figure de “classique”4. » Première révision 1973. Voir 1998 (Seconde révision).
1956‑1959, L'Ancien Testament d’Édouard Dhorme : Bibliothèque de la Pléiade : (NRF). « Fruit d’un travail collectif, la traduction très littérale de l’Ancien Testament sous la direction d’Édouard Dhorme (un des meilleurs sémitisants français de l'époque), offre des solutions intéressantes pour rendre non seulement le sens du texte, mais aussi sa forme. »1. « Pour ceux qui n'ont pas accès aux langues originales dans lesquelles la Bible fut rédigée, cette traduction reste un bon instrument de travail5. » Voir description à: Alliance biblique française.
1970, La Bible Osty, du chanoine Émile Osty associé à Joseph Trinquet (Éditions Rencontre – Lausanne; puis Le Seuil en 1973, pour l'édition complète en un volume). Elle se distingue par sa grande fidélité à l'original hébreu et araméen (sens du texte et genres littéraires scrupuleusement respectés) pour l'Ancien Testament et au grec pour le Nouveau Testament. De plus, cette bible bénéficie d'introductions très détaillées aux différents livres bibliques ainsi que de substantielles notes en bas de page (mise en contexte socio-historique; explications d'allusions obscures...) pour parvenir à comprendre le texte biblique dans toute sa subtilité. Voir description à: Alliance biblique française.
Le chanoine Emile Osty a été, pendant de longues années, professeur d'Ecritures Saintes à l'Institut Catholique; Quant à Joseph Trinquet, il a enseigné l'Exégèse Biblique au Grand Séminaire de Paris.
1971, Nouveau Testament de Jean Grosjean, Michel Léturmy et Paul Gros : édition de la Pléiade : (NRF). Voir description à: Alliance biblique française.
1973 Première révision de La Bible de Jérusalem. Voir 1955, 1998.
1974, Les Saintes Écritures – Traduction du monde nouveau: Éditions des Témoins de Jéhovah. Edition révisée en 1987 et 1995.
1967‑1975, La TOB : Traduction œcuménique de la Bible. Elle « présente des qualités analogues à celle de la Bible de Jérusalem, la collaboration œcuménique se concrétisant par le travail conjoint d'un catholique et d'un protestant pour chaque livre. Certains livres, certains partis pris de traduction, notamment pour une compréhension immédiate d'expressions ou de passages délicats, sont loin d'être satisfaisants. Voir Première révision 1988. Voir Seconde révision 2010.
1977, La Sainte Bible Texte intégral établi par les moines de Maredsous. Éditions Brepols, Belgique.
1978, La Bible dite « à la Colombe » (Nouvelle Version Segond Revisée), publiée par l'Alliance biblique universelle. Voir description à: Alliance biblique française.
1979, La Nouvelle Édition de Genève (Nouvelle Version Segond Revisée) publiée par la Société biblique de Genève. Elle se «limite» à quelque 2000 retouches ou corrections. En ligne sur BibleGateway.com ou sur Société biblique de Genève.
1981, La Bible Pierre de Beaumont. Voir description à: Alliance biblique française.
1982, La Bible en français courant de C. Dieterlé et alii. « On appelle « traduction par équivalence dynamique » cette approche qui prend en compte la capacité de compréhension du lecteur moderne de la Bible et qui exprime le sens des textes dans les catégories mentales du lecteur contemporain. » ; « La traduction du livre de Job est ainsi réalisée entièrement en alexandrins, pour faire ressentir au lecteur moderne l’impression que le texte hébraïque provoquait chez ses premiers lecteurs1. Voir description à: Alliance biblique française.
1985, La Bible expliquée, éditée par la Société biblique française (Villiers-le-Bel, France). Basée sur les travaux des traducteurs de la Bible en français courant (qui ne sera publiée qu'en 1987).
1987, La Bible Chouraqui. André Chouraqui «souhaitait redonner vie à la langue et aux images employées dans la Bible6. » Jacques Dessaucy, journaliste, qualifie cette traduction de « décapante »7. ». Pour Henri Meschonnic, il s'agit d'« une régression linguistique, un faux poétique et une trahison du juif6 » Voir description à: Alliance biblique française.
1987, La Bible. Écrits intestamentaires, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, sous la direction d'André Dupont-Sommer et Marc Philonenko.
1987, Les Saintes Écritures – Traduction du monde nouveau: Éditions des Témoins de Jéhovah. Première révision en français de l’édition de 1974. Voir seconde révision 1995.
1988, Première révision de La TOB : Traduction œcuménique de la Bible. Première édition 1975. Voir Seconde révision 2010. En ligne sur Éditions du Cerf
1992, La Bible du Semeur : sous l'égide de la Société biblique internationale. Voir 2000.
1995, Les Saintes Écritures – Traduction du monde nouveau : Éditions les Témoins de Jéhovah de France (ass. 1901), Boulogne-Billancourt (France). Publiée en anglais pour la première fois en 1961 en un seul volume et en 1974 pour la version française par la Watchtower Bible and Tract Society 8. Cette version a été traduite d’après la version anglaise en tenant compte des langues d’origine : l’hébreu, l’araméen et le grec. En ligne en format PDF sur le site des Témoins de Jéhovah.
1996, La Sainte Bible d'Ostervald, révision de 1996.
1997, révision de la Bible en Français Courant.
1997, Bible Pastorale: nouvelle édition de La Sainte Bible traduite par les moines de l'abbaye de Maredsous (Belgique) et publiée pour la première fois en 1950. La Bible Pastorale conserve la traduction originelle du P. Georges (Paul) Passelecq mais les introductions, annotations, tables liturgiques, lexique, et sont entièrement nouveaux. Publiée par les éditions Brepols, elle est distribuée électroniquement dans Internet (http://www.biblewww.net) par Informatique & Bible (Abbaye de Maredsous, Belgique) depuis 2004 avec un puissant moteur de recherche (knowhowsphere).
1998, La Bible des Peuples. Traduction de Bernard et Louis Hureau. Voir description à: Alliance biblique française.
1998, Seconde révision de La Bible de Jérusalem, Éditions du Cerf, par les dominicains de l'École biblique et archéologique française de Jérusalem. Voir 1955, 1973. Voir description à: Alliance biblique française. En ligne sur Éditions du Cerf
2000, La Bible Parole de Vie. « Les traducteurs utilisent le travail du linguiste Georges Guggenheim qui dans les années 1950 a défini, à la demande de l’Unesco, les limites du « français fondamental » (utilisation d'un vocabulaire de base d'environ 3500 mots) 1. » Voir description à: Alliance biblique française.
2000, révision de la Bible du Semeur sous la direction d'une quinzaine de théologiens évangéliques francophones. Voir description à: Alliance biblique française.
Traductions du xxie siècle[modifier]
2001, Henri Meschonnic, Gloires, traduction des psaumes, Desclée de Brouwer, 556 p.
2001 : La Bible d'Alexandrie (Pentateuque). Sous la direction de Marguerite Harl, une équipe d'hellénistes traduit la Bible à partir de la Septante. Cette traduction grecque réalisée entre 150 et 250 avant notre ère est le témoin d'un état beaucoup plus ancien du texte biblique que le manuscrit hébraïque du xie siècle qui sert de base aux autres traductions.
2001, La Bible, nouvelle traduction de Bayard Presse : Inspirée par une recommandation de Vatican II qui recommandait non seulement d'ouvrir largement l'accès de la Bible aux chrétiens, mais demandait explicitement de faire des éditions à l'usage des non-chrétiens. « Il est difficile de caractériser globalement ces traductions, que l'on devrait parfois appeler "ré-écritures", les traducteurs en partenariat ayant suivi leurs propres cheminements, sans avoir cherché à coordonner leurs travaux9. » Voir description à: Alliance biblique française.
2001, version d'étude de la Bible du Semeur (Bible d'étude Semeur).
2002, Henri Meschonnic, Au Commencement, traduction de la Genèse, Desclée de Brouwer, 376 p.
2002, La Nouvelle Bible Segond : présentée notamment dans une édition d'étude, il s'agit d'une nouvelle révision – sous l'égide de l'Alliance biblique universelle – de la traduction de Louis Segond1. Voir description à: Alliance biblique française.
2003, Henri Meschonnic, Les Noms, traduction de l'Exode, Desclée de Brouwer, 360 p.
2003, révision de la Traduction œcuménique de la Bible (TOB) : nouveau Pentateuque.
2004 Édition nouvelle de La Bible expliquée, désormais double (une version pour chacun des canons catholique et protestant) et augmentée de 4000 notices explicatives en plus des commentaires , destinées au public moyen, visant à améliorer grandement la compréhension du texte. Jean-Louis d'Aragon salue les « qualités de [sa] présentation »10 ; Paul-Irénée Fransen lui reproche la modernité de la langue, « en gommant systématiquement les hébraïsmes11. » C'est une bible qui a adopté la traduction par équivalences (pour être compréhensible de tous en ce xxie siècle) et non une traduction littérale voire universitaire qui ne s'adresserait qu'à des spécialistes...
2005, Henri Meschonnic, Et il a appelé, traduction du Lévitique, Desclée de Brouwer, 222 p.
2007 La Bible Segond 21 : Bible Segond révisée pour le xxie siècle siècle utilisant le vocabulaire d'aujourd'hui12. Elle est publiée par la Société Biblique de Genève. En ligne sur BibleGateway.com
2007, Ancien Testament interlinéaire : édition de l'Alliance biblique universelle, rassemblant le texte hébreu de la Biblia Hebraica Stuttgartensia accompagné d'une traduction littérale, ainsi que la TOB et La Bible en français courant.
2010, révision et augmentation de la Traduction œcuménique de la Bible (TOB). Cette édition, outre une révision générale, ajoute 6 livres deutérocaniques supplémentaires en usage dans la liturgie des églises orthodoxes. Voir description à Alliance biblique française.
2011 ZeBible13 : Le texte de la Bible est le français courant, incluant les deutérocanoniques entre l'Ancien et le Nouveau Testament. Publiée par l'alliance biblique française1 à destination des jeunes. Les annotations et commentaires dans la marge et non en bas du texte facilitant notamment la lecture. Voir description à: Alliance biblique française
2011, Jean-Jacques Wahl, Illusion des illusions, Carnet DDB, Desclée de Brouwer, 112 p. Traduction de l'Ecclésiaste.
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 23:15Bonjour Medico
14 Et le Logos a été fait chair, et Il a habité parmi nous, plein de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du monogène venu du Père.
Cela signifie simplement que le Logos s'est incarné en Jésus et que Jésus est donc le Logos INCARNÉ.
En Jésus nous rencontrons le Logos mais j'ignore si au Bereshit nous aurions rencontré Jésus puisqu'Il n'était pas né.
Très cordialement,
votre soeur
Pour moi ce n'est pas clair du tout.medico a écrit :l’apôtre Jean indique clairement que “ la Parole ” est Jésus (Jean 1:14).
14 Et le Logos a été fait chair, et Il a habité parmi nous, plein de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du monogène venu du Père.
Cela signifie simplement que le Logos s'est incarné en Jésus et que Jésus est donc le Logos INCARNÉ.
En Jésus nous rencontrons le Logos mais j'ignore si au Bereshit nous aurions rencontré Jésus puisqu'Il n'était pas né.
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 23:20Bonjour jusmon de M. & K
Sauf en
17 Si la Loi fut donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.
18 Personne n’a jamais vu D.ieu ; le Dieu monogène, qui est dans le sein du Père, nous l’a dévoilé.
Donc, pour l'instant, comme saint Jean, je ne parle pas de Jésus... mais si vous y tenez, je peux parler du D.ieu monogène, qui est dans le sein du Père... béni soit-Il.
Très amicalement
votre soeur
Vous avez remarqué que le Prologue parle du Logos, du Verbe si vous voulez... et qu'il ne parle pas beaucoup de Jésus.jusmon de M. & K. a écrit :Rien compris !
Faut être savant pour comprendre l'Evangile de Pauline... Toujours pas compris si Jésus était le verbe, l'adverbe, le pronom ou l'adjectif.
Sauf en
17 Si la Loi fut donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.
18 Personne n’a jamais vu D.ieu ; le Dieu monogène, qui est dans le sein du Père, nous l’a dévoilé.
Donc, pour l'instant, comme saint Jean, je ne parle pas de Jésus... mais si vous y tenez, je peux parler du D.ieu monogène, qui est dans le sein du Père... béni soit-Il.
Très amicalement
votre soeur
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Re: La Parole était dieu.. leçons à tirer.
Ecrit le 11 oct.12, 23:21Bonjour,samuell a écrit :il me semble que certaines Bibles ont été revus :
la nouvelle Bible Segond :
Au commencement était la Parole ;
la Parole était auprès de Dieu ;
la Parole était Dieu.
le NT par H. Oltramare :
Au commencement était la Parole ;
la Parole était avec Dieu ;
la Parole était dieu.
C'est pourtant simple :
"avec Dieu" signifie une autre personne que Dieu.
"était Dieu" signifiant que l'autre personne est semblable à Dieu.
Donc deux Dieux, d'où le scandale, le malaise et des controverses sans fin dans la chrétienté.
Maintenant, comment concilier l'inconciliable et préserver le caractère monothéiste du christianisme tel que Jésus le vivait dans sa relation avec Dieu ?
"Ils étaient frappés de sa doctrine ; car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme les scribes." (Marc 1:22).
Le christianisme enfin expliqué:
http://www.forum-religion.org/post641487.html#p641487
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