L'après 11 sept. et nos Ground Zéro, Que peut-on en retirer?
- Nickie
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L'après 11 sept. et nos Ground Zéro, Que peut-on en retirer?
Ecrit le 10 mars04, 09:08Un autre texte d'après: Gilles Bernier.
Il a beaucoup été dit sur l'aspect politique, militaire, social et économique entourant le 11 septembre 2001. Mais que nous ont appris ces événements pour le commun des mortels?
Tout ou presque semble avoir été dit sur le 11 septembre 2001, jour de l'effondrement des deux tours du World Trade Center à New York apr;s avoir été frappées au cours d'une action terroriste suicidaire. Un autre appareil a foncé sur le Pentagone et un autre s'est écrasé suite à une intervention de passagers. Bilan, de trois milles morts, sans compter les victimes survivantes et les problèmes psychologiques. Plusieurs ont encore de la difficulté à croire, même ici au Canada, ce qui s'est passé à ce moment.
Mais, nous ne devons pas oublier que plusieurs personnes vivent aussi un jour, de leur vie personnelle, en quelque sorte leur 11 septembre. Un événement lequel lui aussi laisse son "Groud Zero" en allusion au niveau du sol qu'il aura fallu des ois pour atteindre sous les débris du WTC et au vide laissé après la récupération des débris des tours et des restes humains.
Notre "Groud Zero", peut être la chambre vide d'un fils suicidé, la perte de la présence d'une épouse, d'un proche, un accident de la route qui laisse de graves séquelles, la maladie subite, la perte de son emploi à 50 ans avec une faible scolarité en poche, un divorce.
Ce genre d'événement vous frappe d'une façon que vous avez peine à croire.
Ma mère, veuve depuis 5 ans et approchant la cinquantaine, a été abattue à bout portant, d'une décharge de fusil de chasse, par l'homme qu'elle avait fréquenté environ deux ans et avec qui elle venait de rompre la relation amoureuse quelque semaines auparavant. La consommation d'alcool de l'homme avait été la cause de la rupture.
Nous l'avons appris seulement le lendemain par une personne qui venait d'entendre la nouvelle à la radio et a rebroussé chemin pour venir nous annoncer le meurtre suivi du suicide de l'homme. Pour moi (âgé de 14 ans) et mes trois soeurs (18, 20 et 23 ans), celà a été notre " 11 septembre ". C'était en fait le 13 février 1977. Ce genre d'événement était rare dans la petite ville de la région de la Gaspésie où nous demeurions. Et le vide laissé par ce départ inattendu a été ce que nous pourrions appeler notre "Groud Zero".
Il a beaucoup été dit sur l'aspect politique, militaire, social et économique entourant le 11 septembre 2001. Mais que nous ont appris ces événement, pour le commun des mortels? Pour nous qui ne sommes ni présidents des États-Unis, ni stratègres militaires, ni sociologues, ni économistes?
La fragilité humaine
Au passage de l'enfance à l'adolescence, je me souviens qu'observant un orage électrique accompagné de vents forts, j'avais éprouvé une sorte de malaise intérieur; en quelque sorte, une prise de conscience de la fragilité humaine face aux forces de la nature. Je constatais à quel point nous pouvons passer d'une situation d'apparent plein contrôle sur notre vie à l'état inverse de faiblesse déconcertante face à une force qui nous surpasse.
Plus tard, au moment de ce qui fut appelé au Québec le "déluge du Saguenay", je me souviens d'avoir ressenti, en tant qu'adulte cette fois, un sentiment comparable. Les 19 et 20 juillet 1996, il est tombé 262 millimètres de plui en trois jours, sur la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean; l'équivalent de 3 mètres de neige si celà était arrivé en hiver. Je me tenais à un moment sur le pas de la porte extérieure de notre appartement à Rimousk (région du Bas-Saint-Laurent). Je regardais la plui tombée de plus en plus intensément. À Un moment, l'eau ne tombait plus comme des colches (comme on dit ici), mais comme des filets d'eau quasi ininterrompus. J'ai pensé, à ce moment, assistant impuissant au spectacle grandiose et effrayant: "Si ça continue, on va avoir des problèmes". Ce n'était pas un orge d'une intensité commune pour le Québec.
J'ai encore ressenti cette profond impuissance humaine face à ce qui a été appelé au Québec, "La crise du verglas". Du 5 au 9 janvier 1998, il est tombé jusqu'à 10 centimètres de verglas par endroit. Les régions les plus touchées du Québec ont été Montréal, la Montérégie, l'Estrie, Laval, les Laurentides et Lanudière. Pendant cette période, le réseau de distribution électrique du Québec s'effondrait presque littéralement par endroit, plongeant des centaines de milliers de Québécois dans le noir et le froid pour plusieurs jours. Plusieurs pour un mois. Des kilomètres de lignes de transports à haute tension s'écroulaient.
Des catastrophes comme celles-ci nous arrêtent et nous placent implacablement face de notre fragilité[/i]
Il a beaucoup été dit sur l'aspect politique, militaire, social et économique entourant le 11 septembre 2001. Mais que nous ont appris ces événements pour le commun des mortels?
Tout ou presque semble avoir été dit sur le 11 septembre 2001, jour de l'effondrement des deux tours du World Trade Center à New York apr;s avoir été frappées au cours d'une action terroriste suicidaire. Un autre appareil a foncé sur le Pentagone et un autre s'est écrasé suite à une intervention de passagers. Bilan, de trois milles morts, sans compter les victimes survivantes et les problèmes psychologiques. Plusieurs ont encore de la difficulté à croire, même ici au Canada, ce qui s'est passé à ce moment.
Mais, nous ne devons pas oublier que plusieurs personnes vivent aussi un jour, de leur vie personnelle, en quelque sorte leur 11 septembre. Un événement lequel lui aussi laisse son "Groud Zero" en allusion au niveau du sol qu'il aura fallu des ois pour atteindre sous les débris du WTC et au vide laissé après la récupération des débris des tours et des restes humains.
Notre "Groud Zero", peut être la chambre vide d'un fils suicidé, la perte de la présence d'une épouse, d'un proche, un accident de la route qui laisse de graves séquelles, la maladie subite, la perte de son emploi à 50 ans avec une faible scolarité en poche, un divorce.
Ce genre d'événement vous frappe d'une façon que vous avez peine à croire.
Ma mère, veuve depuis 5 ans et approchant la cinquantaine, a été abattue à bout portant, d'une décharge de fusil de chasse, par l'homme qu'elle avait fréquenté environ deux ans et avec qui elle venait de rompre la relation amoureuse quelque semaines auparavant. La consommation d'alcool de l'homme avait été la cause de la rupture.
Nous l'avons appris seulement le lendemain par une personne qui venait d'entendre la nouvelle à la radio et a rebroussé chemin pour venir nous annoncer le meurtre suivi du suicide de l'homme. Pour moi (âgé de 14 ans) et mes trois soeurs (18, 20 et 23 ans), celà a été notre " 11 septembre ". C'était en fait le 13 février 1977. Ce genre d'événement était rare dans la petite ville de la région de la Gaspésie où nous demeurions. Et le vide laissé par ce départ inattendu a été ce que nous pourrions appeler notre "Groud Zero".
Il a beaucoup été dit sur l'aspect politique, militaire, social et économique entourant le 11 septembre 2001. Mais que nous ont appris ces événement, pour le commun des mortels? Pour nous qui ne sommes ni présidents des États-Unis, ni stratègres militaires, ni sociologues, ni économistes?
La fragilité humaine
Au passage de l'enfance à l'adolescence, je me souviens qu'observant un orage électrique accompagné de vents forts, j'avais éprouvé une sorte de malaise intérieur; en quelque sorte, une prise de conscience de la fragilité humaine face aux forces de la nature. Je constatais à quel point nous pouvons passer d'une situation d'apparent plein contrôle sur notre vie à l'état inverse de faiblesse déconcertante face à une force qui nous surpasse.
Plus tard, au moment de ce qui fut appelé au Québec le "déluge du Saguenay", je me souviens d'avoir ressenti, en tant qu'adulte cette fois, un sentiment comparable. Les 19 et 20 juillet 1996, il est tombé 262 millimètres de plui en trois jours, sur la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean; l'équivalent de 3 mètres de neige si celà était arrivé en hiver. Je me tenais à un moment sur le pas de la porte extérieure de notre appartement à Rimousk (région du Bas-Saint-Laurent). Je regardais la plui tombée de plus en plus intensément. À Un moment, l'eau ne tombait plus comme des colches (comme on dit ici), mais comme des filets d'eau quasi ininterrompus. J'ai pensé, à ce moment, assistant impuissant au spectacle grandiose et effrayant: "Si ça continue, on va avoir des problèmes". Ce n'était pas un orge d'une intensité commune pour le Québec.
J'ai encore ressenti cette profond impuissance humaine face à ce qui a été appelé au Québec, "La crise du verglas". Du 5 au 9 janvier 1998, il est tombé jusqu'à 10 centimètres de verglas par endroit. Les régions les plus touchées du Québec ont été Montréal, la Montérégie, l'Estrie, Laval, les Laurentides et Lanudière. Pendant cette période, le réseau de distribution électrique du Québec s'effondrait presque littéralement par endroit, plongeant des centaines de milliers de Québécois dans le noir et le froid pour plusieurs jours. Plusieurs pour un mois. Des kilomètres de lignes de transports à haute tension s'écroulaient.
Des catastrophes comme celles-ci nous arrêtent et nous placent implacablement face de notre fragilité[/i]
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Ecrit le 10 mars04, 09:19
Ses bien vraie sa et ses se qui plonge du monde a des dépression grave et sa se produit quand on prend se que l’on possède pour acquis.cocotte a écrit :Je constatais à quel point nous pouvons passer d'une situation d'apparent plein contrôle sur notre vie à l'état inverse de faiblesse déconcertante face à une force qui nous surpasse.
1 Piere 3:15 Sanctifiez le Christ comme Seigneur dans vos coeurs, toujours prêts à présenter une défense devant tout homme qui vous demande la raison de l'espérance qui est en vous, mais faites-le avec douceur et profond respect.
- Nickie
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Ecrit le 10 mars04, 09:21
Les limites du pouvoir de l'argent
Les graves épreuves nous rapellent aussi qu'avec de l'argent, on peut certes reconstruire une maison, mais on ne peut pas ramener un être cher à la vie. On peut se payer une assurance, mais on ne peut pas acheter la santé et la sécurité. On peut consulter un thérapeute, mais pas acheter la paix intérieure (le vrai repos et le sommeil.
Les limites de la mobilisation humaine
En temps de crise, l'être humain démontre souvent une grande capacité d'entraide à l'échelle locale, nationale ou même internationale. Mais l'effet d'un tel effort fini toujours par s'estomper. Après, il faut encore vivre avec sa situation; ce qui reste. C'est celà le Ground Zero.
De plus, si les temps de crise peuvent stimuler la générosité et la mobilisation humaine, ils font parfois à l'inverse ressortir de façon encore plus évidente la bassesse dont certains humains sont capables. Au cours des missions de paix internationnales après une guerre ou un génocide, des femmes ou jeunes filles sont parfois agressées sexuellement par ceux qui devraient les protéger. Sans parler des actes de violence racistes.
Au québec, durant la crise du verglas de 1998, des fournisseurs ont augmenté le prix de vente pour profiter du besoin créé par le sinistre. Par exemple, pour palier à l'absence d'électricité, certains individus ont vendu du bois de chauffage à trois fois son prix habituel.
Face à de tels constats, impossible de continuer de croire les prétentions selon lesquelles le mal n'existe pas. Le mal existe.
Impossible non plus de croire en certaines tendances du New Age ou de l'Orient enseignat que le bien et le mal ne seraient que deux forces qui s'équilibrent, de sorte qu'il n'y aurait ni bien ni mal au sens moral. Fanchement, pourrait-il exister trop de bien, ou pas assez de mal pour prétendre avoir besoin d'équilibrer le tout. "Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous" (1).
La remise en question de nos valeurs personnelles
Quand ils voyaient plusieurs centaines de leurs concitoyens mourir dans les tours et dans les avions en déroute, le 11 septembre 2001, plusieurs américains et même les canadiens ont pensé que le plus important n'était pas la belle voiture ou la maison, mais entre autres choses, la famille.[/b]
Les graves épreuves nous rapellent aussi qu'avec de l'argent, on peut certes reconstruire une maison, mais on ne peut pas ramener un être cher à la vie. On peut se payer une assurance, mais on ne peut pas acheter la santé et la sécurité. On peut consulter un thérapeute, mais pas acheter la paix intérieure (le vrai repos et le sommeil.
Les limites de la mobilisation humaine
En temps de crise, l'être humain démontre souvent une grande capacité d'entraide à l'échelle locale, nationale ou même internationale. Mais l'effet d'un tel effort fini toujours par s'estomper. Après, il faut encore vivre avec sa situation; ce qui reste. C'est celà le Ground Zero.
De plus, si les temps de crise peuvent stimuler la générosité et la mobilisation humaine, ils font parfois à l'inverse ressortir de façon encore plus évidente la bassesse dont certains humains sont capables. Au cours des missions de paix internationnales après une guerre ou un génocide, des femmes ou jeunes filles sont parfois agressées sexuellement par ceux qui devraient les protéger. Sans parler des actes de violence racistes.
Au québec, durant la crise du verglas de 1998, des fournisseurs ont augmenté le prix de vente pour profiter du besoin créé par le sinistre. Par exemple, pour palier à l'absence d'électricité, certains individus ont vendu du bois de chauffage à trois fois son prix habituel.
Face à de tels constats, impossible de continuer de croire les prétentions selon lesquelles le mal n'existe pas. Le mal existe.
Impossible non plus de croire en certaines tendances du New Age ou de l'Orient enseignat que le bien et le mal ne seraient que deux forces qui s'équilibrent, de sorte qu'il n'y aurait ni bien ni mal au sens moral. Fanchement, pourrait-il exister trop de bien, ou pas assez de mal pour prétendre avoir besoin d'équilibrer le tout. "Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous" (1).
La remise en question de nos valeurs personnelles
Quand ils voyaient plusieurs centaines de leurs concitoyens mourir dans les tours et dans les avions en déroute, le 11 septembre 2001, plusieurs américains et même les canadiens ont pensé que le plus important n'était pas la belle voiture ou la maison, mais entre autres choses, la famille.[/b]
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Ecrit le 10 mars04, 09:34
La réaction selon l'approche édoniste
Les uns, édonistes et inconscients de l'éternité diront: "Mangeons et buvons, car demain nous mourrons" (2). Ils ont pour philosophie: Profitons des ressources et des personnes en se préoccupant le moins possible du bien-être des autres, car qui sait ce qui arrivera demain?
Ils iront jusqu'à essayer de tirer le meilleur des autres dans une relation fortment contrée sur le Moi: "Je t'aime... si tu me fais du bien; tant que tu m'apportes quelque chose"... "Je ne t'aime plus si je dois m'investir trop en toi"; par exemple si tu es malade.
Ainsi sont confondus l'amour sentimental (amour conditionel) avec l'aour vrai action qui consiste à aimer dans le bon et le mauvais jour.
Cette façon d'aborder la vie passe outre aux conséquences éternelles de nos décisions.
L'approche purement humaniste
D'autre personnes, croyant toujours à la toute suffisance humaine, perseront que c'est par leur seule force intérieure qu'elles ont échappé à la mort entre 10,000 autres.
C'est en réalité parce qu'elles n'ont pas été frappées mortellement.
Où peut-être que Dieu les a gardées mais qu'elles ne l'ont pas reconnu.
Dans certains cas, la Parole de Dieu déclare que le Seigneur laisse échapper des témoins afin qu'ils aillent raconter les événements.
"Et toi, fils de l'homme, le jour où je leur enlèverai ce qui fait leur force, leur joie et leur gloire, les délices de leurs yeux et l'objet de leur amour, leurs fils et leurs filles, ce jour-là un fuyard viendra vers toi pour l'annoncer à tes oreilles" (3).
La souffrance n'est pas une illusion.
En Orient, la souffrance est souvent considérée comme une illusion (maya) dont il faut se libérer, soit par la méditation, soit par une autre approche initiatique, un et ainsi de suite.
Mais personne ne peut continuer de croire en ces temps que la souffrance est illusoire ou tromperie de nos sens endormis par ce monde et notre corps; une illusion dont on pourrait, prétend-t-on, se libérer par la méditation ou par une autre approche ou technique New Age ou orientale.
À l'encontre même de l'enseignement du bouddhisme sur l'illusion des sens, le Dallai Lama et le Bouddha vivant (incarnation contemporaine) ont chacun fuit la répression chinoise du Tibet.
La Souffrance véritable crie qu'elle n'est pas illusion. Rien de mieux que de visiter l'hopital pour s'en rendre compte.
Les uns, édonistes et inconscients de l'éternité diront: "Mangeons et buvons, car demain nous mourrons" (2). Ils ont pour philosophie: Profitons des ressources et des personnes en se préoccupant le moins possible du bien-être des autres, car qui sait ce qui arrivera demain?
Ils iront jusqu'à essayer de tirer le meilleur des autres dans une relation fortment contrée sur le Moi: "Je t'aime... si tu me fais du bien; tant que tu m'apportes quelque chose"... "Je ne t'aime plus si je dois m'investir trop en toi"; par exemple si tu es malade.
Ainsi sont confondus l'amour sentimental (amour conditionel) avec l'aour vrai action qui consiste à aimer dans le bon et le mauvais jour.
Cette façon d'aborder la vie passe outre aux conséquences éternelles de nos décisions.
L'approche purement humaniste
D'autre personnes, croyant toujours à la toute suffisance humaine, perseront que c'est par leur seule force intérieure qu'elles ont échappé à la mort entre 10,000 autres.
C'est en réalité parce qu'elles n'ont pas été frappées mortellement.
Où peut-être que Dieu les a gardées mais qu'elles ne l'ont pas reconnu.
Dans certains cas, la Parole de Dieu déclare que le Seigneur laisse échapper des témoins afin qu'ils aillent raconter les événements.
"Et toi, fils de l'homme, le jour où je leur enlèverai ce qui fait leur force, leur joie et leur gloire, les délices de leurs yeux et l'objet de leur amour, leurs fils et leurs filles, ce jour-là un fuyard viendra vers toi pour l'annoncer à tes oreilles" (3).
La souffrance n'est pas une illusion.
En Orient, la souffrance est souvent considérée comme une illusion (maya) dont il faut se libérer, soit par la méditation, soit par une autre approche initiatique, un et ainsi de suite.
Mais personne ne peut continuer de croire en ces temps que la souffrance est illusoire ou tromperie de nos sens endormis par ce monde et notre corps; une illusion dont on pourrait, prétend-t-on, se libérer par la méditation ou par une autre approche ou technique New Age ou orientale.
À l'encontre même de l'enseignement du bouddhisme sur l'illusion des sens, le Dallai Lama et le Bouddha vivant (incarnation contemporaine) ont chacun fuit la répression chinoise du Tibet.
La Souffrance véritable crie qu'elle n'est pas illusion. Rien de mieux que de visiter l'hopital pour s'en rendre compte.
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Ecrit le 10 mars04, 09:50
La souffrance a un nom et un visage
La souffrance peut avoir 11 ans et s'appele Isaac ou Ismael et se retrouver derrière la froideur d'une clôture barbelée d'un camp de réfugiés. Elle peut avoir 70 ans et avoir les yeux assombris d'une Marthe âgée et solitaire, réduite à un fauteuil roulant et qui regarde par la fenêtre dans l'attente d'un proche qui ne viendra pas. La souffrance peut se retrouver chez un enfant qui assiste, impuissant, à l'éclatement de sa famille ou pire, qui vit la séquence: J'ai un père, j'en ai deux, je n'en ai plus.
Peut-il ressortir quelque chose de bon de la souffrance?
La Parole de Dieu nous parle d'une tristesse ou d'un "Ground Zero" selon Dieu (jours et semaines suivant le choc initial de l'épreuve). Cette étape douloureuse (deuil, perte) peut conduire celui qui croit, à une consolation non pas humaine et temporaire, mais divine et continuellement accessible dans le nom de Jésus. Sans effacer le souvenir, la consolation venant du Seigneur efface le vide et permet de mieux se relever et plus vite d'un coup dur, même sans avoir toutes les réponses.
Dieu permet parfois la souffrance pour nous obliger à regarder au-delà de ce monde et de ses solutions temporaires.
"En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort" (4).
Après avoir publiquement renié Jésus, l'apôtre Pierre a connu, une tristesse qui l'a conduit ici même sur la terre, à une nouvelle vie en Dieu par Jésus-Christ (5). C'est la repentance à salut (conduisant au salut) dont on ne se repent jamais; c'est-à-dire, la décision qu'on ne regrette pas avec le recul du temps. C'est la repentance de celui qui place sa confiance en Dieu, à commencer par l'obtention du pardon.
Un autre des douze, Judas l'Isacriot, a livré Jésus à ceux qui voulaient le faire comparaître en jugement. Sa trahison a permis d'éviter de mettre Jésus sous arrêt devant la foule, par crainte d'une émeute. Ils agirent de nuit. Devant le dénouement qui a résulté en la condamnation à mort de Jésus, Judas a ensuite amèrement regretté son geste. Mais il n'a pas obtenu la restauration spirituelle parce qu'il n'a pas cru que Jésus était le Plan de dieu pour les hommes. Il a regretté humainement, sentimentalement (6), mais il ne croyait plus que Jésus était le Fils de Dieu, le Messie de Dieu. Aussi, il n'a pas été conduit dans la nouvelle vie. C'était le regret ou le remord d'un incroyant, d'un humaniste. Et un incroyant ne comprend pas et ne voit pas la volonté ou la solution de dieu, même si elle est à côté de lui (ic, Jésus était la volonté de Dieu, jais Judas ne l'a pas saisi). Sans espérance (tristesse selon le monde - sans Dieu -), il s'est suicidé, pensant ainsi échapper à la souffrance intérieure. Il a cru au mensonge du destructeur à qui il avait ouvert la porte de son esprit en décidant de livrer Jésus.
Heureusement, de la souffrance, peut à l'opposé naître une nouvelle vie en Jésus, nous nous ouvrons à voir et chercher le secours, le pardon et la volonté de Dieu révélée dans Sa Parole.
La souffrance peut avoir 11 ans et s'appele Isaac ou Ismael et se retrouver derrière la froideur d'une clôture barbelée d'un camp de réfugiés. Elle peut avoir 70 ans et avoir les yeux assombris d'une Marthe âgée et solitaire, réduite à un fauteuil roulant et qui regarde par la fenêtre dans l'attente d'un proche qui ne viendra pas. La souffrance peut se retrouver chez un enfant qui assiste, impuissant, à l'éclatement de sa famille ou pire, qui vit la séquence: J'ai un père, j'en ai deux, je n'en ai plus.
Peut-il ressortir quelque chose de bon de la souffrance?
La Parole de Dieu nous parle d'une tristesse ou d'un "Ground Zero" selon Dieu (jours et semaines suivant le choc initial de l'épreuve). Cette étape douloureuse (deuil, perte) peut conduire celui qui croit, à une consolation non pas humaine et temporaire, mais divine et continuellement accessible dans le nom de Jésus. Sans effacer le souvenir, la consolation venant du Seigneur efface le vide et permet de mieux se relever et plus vite d'un coup dur, même sans avoir toutes les réponses.
Dieu permet parfois la souffrance pour nous obliger à regarder au-delà de ce monde et de ses solutions temporaires.
"En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort" (4).
Après avoir publiquement renié Jésus, l'apôtre Pierre a connu, une tristesse qui l'a conduit ici même sur la terre, à une nouvelle vie en Dieu par Jésus-Christ (5). C'est la repentance à salut (conduisant au salut) dont on ne se repent jamais; c'est-à-dire, la décision qu'on ne regrette pas avec le recul du temps. C'est la repentance de celui qui place sa confiance en Dieu, à commencer par l'obtention du pardon.
Un autre des douze, Judas l'Isacriot, a livré Jésus à ceux qui voulaient le faire comparaître en jugement. Sa trahison a permis d'éviter de mettre Jésus sous arrêt devant la foule, par crainte d'une émeute. Ils agirent de nuit. Devant le dénouement qui a résulté en la condamnation à mort de Jésus, Judas a ensuite amèrement regretté son geste. Mais il n'a pas obtenu la restauration spirituelle parce qu'il n'a pas cru que Jésus était le Plan de dieu pour les hommes. Il a regretté humainement, sentimentalement (6), mais il ne croyait plus que Jésus était le Fils de Dieu, le Messie de Dieu. Aussi, il n'a pas été conduit dans la nouvelle vie. C'était le regret ou le remord d'un incroyant, d'un humaniste. Et un incroyant ne comprend pas et ne voit pas la volonté ou la solution de dieu, même si elle est à côté de lui (ic, Jésus était la volonté de Dieu, jais Judas ne l'a pas saisi). Sans espérance (tristesse selon le monde - sans Dieu -), il s'est suicidé, pensant ainsi échapper à la souffrance intérieure. Il a cru au mensonge du destructeur à qui il avait ouvert la porte de son esprit en décidant de livrer Jésus.
Heureusement, de la souffrance, peut à l'opposé naître une nouvelle vie en Jésus, nous nous ouvrons à voir et chercher le secours, le pardon et la volonté de Dieu révélée dans Sa Parole.
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Ecrit le 10 mars04, 10:22
Et ça continue le texte là les gars, attendez que j'ai fini au moins!!!
Dieu n'aime pas la souffrance, il la permet.
Il y a une différence entre la volonté première de Dieu envers notre monde (des hommes qui se tourneraient vers Lui alors que ça va bien dan leur vie) et la volonté permise par Dieu; une sorte de souffrance nécessaire obligeant à s'arrêter et à considérer sa vie, ses actions, l'éternité. Jésus allait partout faisant du bien aux gens. Malgré celà, la majorité l'ont rejeté. Dans bon nombre de cas, seule la souffrance a conduit des personnes vers la nouvelle Vie.
Clui qui souffre, n'est pas un plus grand pécheur... Mais il est inerpellé à réfléchir.
Ce n'est pas qu'une personne frappée par le malheur soit nécessairement plus mauvaise que les autres (7). Mais sans le secours de dieu, nous marchons tous également vers un événement terrible: la séparation consciente et éternelle d'avec Dieu.
Dieu ne vit pas dans notre dimension du temps. Nous sommes déjà séparés de Dieu avant même de le savoir, mais la situation sera pire si nous le découvrons trop tard pour se repentir. Avant de reconnaître que Christ est le plan de Dieu, nous sommes sans Dieu et sans espérance éternelle, mais nous ne le savons pas. Nous sommes comme quelqu'un qui rit et festoie, alors qu'une mauvaise nouvelle est déjà en route. Un triste messager annonçant la nouvelle arrive. On tape la nouvelle au clavier. On fait "envoyer". Le message parcourt la fibre optique et s'insère froidement dans le serveur et prend une pause. Tandis que la fête et les rires vont bon train.
Le lendemain, j'ouvre mon courriel et je suis défait.
Ainsi en est il de l'éternité sans Dieu. Le malheur nous a déjà atteint avant que nous en soyons même conscients. Nous sommes sans visa d'entrée, sans droit de cité dans la présence de Dieu, mais nous ne le savons pas (ou encore, ne voulons pas savoir...).
Nous sommes comme ce serviteur décrit dans le livre de l'Apocalypsequi croit à ce que Dieu approuve sa religiosité calculée et empreinte de motifs d'intérêt. Qui réflete Dieu à son image, à sa perception; à la prospérité matérielle. "Je n'ai besoin de rien". Dieu est avec moi, puisque je suis matériellement comblé comme les patriaches de l'Ancien Testament. Mais voici le message qui vient de Jésu lui-même:
"... je te vomirai de ma bouche (...) tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu ..." (8)
Mais heureusement pour lui comme pour nous pareillement, s'il accepte le verdict à l'effet qu'il est dans son état présent un mort spirituel pour Dieu, il est encore vivant dans son corps pour se repentir et se tourner pour répondre à l'invitation de Jésus-Christ qui est "celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrera" (9).
Jésus a tout pouvoir de pardonner. Il révèle que la nudité spirituelle est comme la nudité physique. Le destinataire du message se croyait riche et somptueusement vêtu. Mais devant l'Esprit de Dieu qui sonde les recoins et les chambres secrètes, l'esprit de l'homme, il était pauvre, misérable, aveugle et nu.
"Je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi,je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises" (Églises: les assemblées et non le bâtiment où elles se réunissant au nom de Seigneur) (10).
Sans Christ, nous sommes tous séparés de Dieu.
Un jour, pour expliquer que Dieu ne punit pas toujours ic-bas le péché, Jésus parle de la chute de la tour de Siloé ayant tué 18 personnes en s'écroulant. Il explique "(...) ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuée croyez-vous qu'elles aient été plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem? (11)"
La réponse attendue est évidemment un non. Puis il tranche: "Non, je vous le dit. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également." (12)
Tout le monde meurt et se retrouve face à l'éternité. Les un vêtus du manteau de justice de Christ pour la Vie, les autres dans une misérable nudité spirituelle, pour la seconde mort qui consiste en la séparation consciente d'avec Dieu.
Mais Dieu nous supplie de ne pas faire ce second choix. Il nous appelle è faire la pais avec lui par son Fils unique Jésus-Christ avant de franchi le seuil de l'éternité. Invitez Jésus, Dieu fait homme, crucifié et ressuscité. Invitez-le aujourd'hui dans votre vie par une prière sincère, dans une reconnaissance de votre incapacité humaine à vous sauver vous-même. Postez-lui une lettre spirituelle et faites confiance qu'il vous donnera un suivi si vous le cherchez sincèrement.
_____________________________________________________________
1. La Bible, Romains 1:22
2. Esaie 22:13
3. Ezèchiel 24:25-26
4. 2 Corinthiens 7:10
5. Luc 22:62
6. Matthieu 27:3
7. Quoi que Le Seigneur puisse aussi par moment frapper pour restreindre le malin
8. Apocalypse 3:17
9.Apocalyŝe 3:7
10.Apocalypse 3:17-22
11. Luc 13:4
12. Luc 13:5
Pour visionner deux vidéos sur deux récentes catastrophes naturelles au Québec
("déluge" du Saguenay et tempête ou "crise" du verglas):
http://www.msp.gouv.qc.ca/Jeunesse/video.html

Dieu n'aime pas la souffrance, il la permet.
Il y a une différence entre la volonté première de Dieu envers notre monde (des hommes qui se tourneraient vers Lui alors que ça va bien dan leur vie) et la volonté permise par Dieu; une sorte de souffrance nécessaire obligeant à s'arrêter et à considérer sa vie, ses actions, l'éternité. Jésus allait partout faisant du bien aux gens. Malgré celà, la majorité l'ont rejeté. Dans bon nombre de cas, seule la souffrance a conduit des personnes vers la nouvelle Vie.
Clui qui souffre, n'est pas un plus grand pécheur... Mais il est inerpellé à réfléchir.
Ce n'est pas qu'une personne frappée par le malheur soit nécessairement plus mauvaise que les autres (7). Mais sans le secours de dieu, nous marchons tous également vers un événement terrible: la séparation consciente et éternelle d'avec Dieu.
Dieu ne vit pas dans notre dimension du temps. Nous sommes déjà séparés de Dieu avant même de le savoir, mais la situation sera pire si nous le découvrons trop tard pour se repentir. Avant de reconnaître que Christ est le plan de Dieu, nous sommes sans Dieu et sans espérance éternelle, mais nous ne le savons pas. Nous sommes comme quelqu'un qui rit et festoie, alors qu'une mauvaise nouvelle est déjà en route. Un triste messager annonçant la nouvelle arrive. On tape la nouvelle au clavier. On fait "envoyer". Le message parcourt la fibre optique et s'insère froidement dans le serveur et prend une pause. Tandis que la fête et les rires vont bon train.
Le lendemain, j'ouvre mon courriel et je suis défait.
Ainsi en est il de l'éternité sans Dieu. Le malheur nous a déjà atteint avant que nous en soyons même conscients. Nous sommes sans visa d'entrée, sans droit de cité dans la présence de Dieu, mais nous ne le savons pas (ou encore, ne voulons pas savoir...).
Nous sommes comme ce serviteur décrit dans le livre de l'Apocalypsequi croit à ce que Dieu approuve sa religiosité calculée et empreinte de motifs d'intérêt. Qui réflete Dieu à son image, à sa perception; à la prospérité matérielle. "Je n'ai besoin de rien". Dieu est avec moi, puisque je suis matériellement comblé comme les patriaches de l'Ancien Testament. Mais voici le message qui vient de Jésu lui-même:
"... je te vomirai de ma bouche (...) tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu ..." (8)
Mais heureusement pour lui comme pour nous pareillement, s'il accepte le verdict à l'effet qu'il est dans son état présent un mort spirituel pour Dieu, il est encore vivant dans son corps pour se repentir et se tourner pour répondre à l'invitation de Jésus-Christ qui est "celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrera" (9).
Jésus a tout pouvoir de pardonner. Il révèle que la nudité spirituelle est comme la nudité physique. Le destinataire du message se croyait riche et somptueusement vêtu. Mais devant l'Esprit de Dieu qui sonde les recoins et les chambres secrètes, l'esprit de l'homme, il était pauvre, misérable, aveugle et nu.
"Je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi,je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises" (Églises: les assemblées et non le bâtiment où elles se réunissant au nom de Seigneur) (10).
Sans Christ, nous sommes tous séparés de Dieu.
Un jour, pour expliquer que Dieu ne punit pas toujours ic-bas le péché, Jésus parle de la chute de la tour de Siloé ayant tué 18 personnes en s'écroulant. Il explique "(...) ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuée croyez-vous qu'elles aient été plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem? (11)"
La réponse attendue est évidemment un non. Puis il tranche: "Non, je vous le dit. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également." (12)
Tout le monde meurt et se retrouve face à l'éternité. Les un vêtus du manteau de justice de Christ pour la Vie, les autres dans une misérable nudité spirituelle, pour la seconde mort qui consiste en la séparation consciente d'avec Dieu.
Mais Dieu nous supplie de ne pas faire ce second choix. Il nous appelle è faire la pais avec lui par son Fils unique Jésus-Christ avant de franchi le seuil de l'éternité. Invitez Jésus, Dieu fait homme, crucifié et ressuscité. Invitez-le aujourd'hui dans votre vie par une prière sincère, dans une reconnaissance de votre incapacité humaine à vous sauver vous-même. Postez-lui une lettre spirituelle et faites confiance qu'il vous donnera un suivi si vous le cherchez sincèrement.
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1. La Bible, Romains 1:22
2. Esaie 22:13
3. Ezèchiel 24:25-26
4. 2 Corinthiens 7:10
5. Luc 22:62
6. Matthieu 27:3
7. Quoi que Le Seigneur puisse aussi par moment frapper pour restreindre le malin
8. Apocalypse 3:17
9.Apocalyŝe 3:7
10.Apocalypse 3:17-22
11. Luc 13:4
12. Luc 13:5
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Un cercle vicieux
Ecrit le 10 mars04, 12:13C'est bien vrai, Oui le réveil est brutal, quand les gens réalisent leur grande vulnérabilité, mais les hommes ont la mémoire courte et les méchants savent bien utiliser ce point faible. Les politiciens aiment cette faille, car elle leur permet de recommencer et recommencer les mêmes mensonges, imaginons maintenant, les autres du même genre. Une sale roue qui tourne et tourne voilà ou le bien doit intervenir dans cette folie.
Job
Job

- Jean
- Invité
Ecrit le 10 mars04, 14:14

Si je comprend Bernier, c'est qu'il s'adresserait d'une façon plus particulière à ceux qui cherchent. À ceux qui ne savent pas ce que c'est la différence entre prendre des petits cours de Yata Yoga, et effectivement à aller jusqu'à plonger pleinement dans dans la méditation tel que l'adepte du Boudisme ou de l'Indouisme le pratiquerait.
Le petit Jo n'importe qui, qui prend un court de caraté ou de mishoui, ne sait pas qu'il faudrait à un moment donné, soit abandonné, ou poursuivre.
S'il continue à poursuivre sa démarche, il se rendrerait nos pas seulement dans une simple forme de méditation, mas en fait, dans une "religiosité".
Moi-même, ayant fait du yoga pendant des années, ayant atteint un niveau de méditation dans lequel j'éliminais mes douleurs physiques, suis en positions d'en discuter. De plus, je savais très bien, qu'il y avait ceux qui pratiquait la méditation du yatah pour le bénéfice qu'il apportait. Mais il y a ceux qui sont les vrais "adepte", pratiquant de la religion.
Il y a aussi, l'excellante réputation du Yamahesh, Mahesh Yogi. Avec lequel les Beatles, plus spécifiquement George étudiant longuement avec lui. Le Yogi est un méditeur fort admirable, crois moi. Par contre, même très jeune, j'étais déjè au courant qu'il y avait la possibilité de devenir un de ses adeptes.
Même encore aujourd'hui, je pratique le yoga pour "Maîtriser mon corps", surtout lorsque ça viens au contrôle de ma pression sanguine, des battements de mon coeur dans le but d'éliminer totalement les douleurs lors de très grave migraines. Pendant des années mêmes, j'ai élimer totalement mes douleurs causées par les crampes menstruelles, la douleurs de l'endomitriose, et je n'ai jamais recentis aucune douleurs lors de mes fausses couches, et je pouvais me mouvoir après des chérurgies plus rapidement que d'autre dans mon cas.
J'au aussi eu recours à la bénédictions des malades qui existe chez les Chrétiens!
Je me réfère à Gilles Bernier, mon frère Jean, parce qu'il "garde ça simple" la notion de la religiosité par rapport aux gens qui sont à la recherche de pratique et connaissance de l'Est. Souvent ces mêmes gens rejetent la religion, et pourtant se retrouvent dans des sectes ou des religions qui ne furent pas retrouver dès le début. Ils y sont "séduits" ou "initiés" peu à peu, niveau par niveau. Ne sachant pas qu'il y a dans ces croyances là, des sectes ou des religions forts respectueuses.
D'autant plus, que c'est aussi notre rôle, tel que Bernier, en tant que Chrétiens de discuter de celà. Après tout, c'est un Forum Chrétien, n'est-ce pas. Voir le titre même du forum.
Ha, en passant, Jean, j'apprécie beaucoup ton intelligence!
- Jean
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Ecrit le 11 mars04, 19:16

Là on peut se parler, enfin de compte, Jean...!!!
Tu vois, dans le Christianisme ce fut l'enseignement de Jésus-Christ, notre Maître, d'abandonner notre égo, notre moi, notre ça, notre me, notre je, etc... pour se transformer en "nous".
"Nous" la communauté Chrétienne. Ce ne fut pas là pour rien, que Jésus nous instruit dans l'art d'aimer notre prochain, et de le servir. Il en démontra l'exemple la plus flagrante, en donnant sa propre vie pour son prochain. Dans le but de nous racheter.
J'ai découvert, depuis quelques années, que les moines, les frères, les soeurs catholiques faisait beaucoup de méditations personnelles, et en groupes pour atteindre un niveau de spiritualité que le commun des mortels n'arriverait pas.
J'ai aussi appris, qu'il y avait chez le "chrétien" un mode de vie dans lequel nous pratiquons les "douze étapes". Dans ce mode de vie, nous recherchons à abandonner notre "égo" même.
L'on se comprendrait beaucoup mieux toi et moi que nous le pensons. Toi tu parle et penses d'une façon ésothérique et moin, fondamentaliste.
En fait il ne s'ont pas si loin l'une de l'autre. Le mode de vie dont je suis pratiquante et vécu par les bouddhistes, aussi. Il y a plusieurs bouddhistes, par exemple, qui vivent selon le même mode de vie que moi, et les dirigeants de nombreuses sectes bouddhistes, nous appuient dans notre démarche. "Le mode de vie des Alcooliques Anonymes".
C'est bien évident que je ne m'arrête pas àa ce mode de vie particulier dans ma propre petite exhistence, je suis aussi croyante non seulement dans une puissance supérieure à moi, ma dans la pratique du Christianime où proviendrait ce mode de vie.
Toi et moi recherchons la même chose si je te comprend bien. À s'améliorer et progresser. Nous empruntons différents chemins pour entreprendre notre trajet...
Je suis contente de ce que tu as dit, parce que



- Jean
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