http://www.graal.ca/?q=node/109Avec les apôtres de Jésus, la connaissance du Dieu unique se répandit chez les Grecs, chez les Romains et ailleurs autour de la Méditerranée. Mais, sauf pour quelques communautés juives et chrétiennes, le monde arabe où œuvra Mohammed, six siècles après Jésus, n’avait pas encore accédé à cette connaissance.
Mohammed est né à La Mecque dans une famille de riches marchands dont les ancêtres avaient adoptés la foi d’Israël, et il fut envoyé à l’école du temple à l’âge de six ans. C’est ainsi qu’il suivit une formation religieuse juive, après avoir été élevé dans la foi chrétienne par sa mère et sa nourrice. Pourtant, aucune de ces religions ne le satisfaisait.
Il savait qu’il croyait en Dieu, ainsi qu’en Son Fils. Pourtant, il se défendait bien d’être chrétien : «Je ne crois pas que le Christ soit mort pour nos péchés, mais à cause de nos péchés. Il y a là une différence fondamentale. Je ne crois pas non plus que le Christ ait pu accomplir Sa sainte Mission jusqu’au bout. Les péchés et l’ingratitude des hommes L’en ont empêché.»
Il savait qu’il avait vécu sur Terre au temps de Jésus. «Je vois le Christ suivre Ses chemins. Toutefois, Il n’est pas le personnage doucereux, se consumant dans l’amour universel, comme le représentent les prêtres chrétiens, mais Il est la Force virile et sévère, dispensant amour et miséricorde… et je sais qu’il m’a été permis d’être jadis auprès de Lui.»
Mohammed devint le vizir du prince de l’Arabie et fut son représentant à Jérusalem où il retrouva les souvenirs de sa vie antérieure en tant que disciple de Jésus. Il passa la nuit en prière au jardin de Gethsémani, profondément remué, puis retrouva le nom qu’il avait porté à cette époque : Nathanaël.
Le vieux prince donna sa petite-fille Alina comme épouse à Mohammed, afin que celui-ci puisse lui succéder à la direction du pays. Au début, le peuple était satisfait de son nouveau prince Mohammed, mais son oncle Abu Talib attisait la révolte en secret. Sous son influence, une émeute sanglante éclatera à La Mecque dans laquelle les fétichistes s’en prendront aux juifs et les juifs aux chrétiens, émeute qui sera sévèrement réprimée par le vizir Abu Bekr. Guidé d’En-Haut, Mohammed avait reçu l’ordre de se rendre à Yathrib avec les siens, tandis que lui devrait se retirer dans la solitude afin d’aller à «l’école de Dieu». Pendant ces dix années de retraite, prendra forme en lui cette nouvelle croyance qu’il préparait pour son peuple.
De retour à Yathrib 1, il découvrit un nouveau palais tout blanc entouré de jardins, «la demeure des femmes pures» où aucun homme n’était admis. C’est là que vivait son épouse Alina avec ses filles. Mais pour la rencontrer, il fallait d’abord passer par le palais voisin où habitaient Fatima 2, Ali et leurs six fils. Mohammed n’avait pas eu de fils avec Alina, mais il trouvera plusieurs aides précieux parmi ses petit-fils, les enfants de Fatima : le jeune Mohammed, Ibrahim, Murzah…
Puis Mohammed instaura la nouvelle croyance, tout d’abord à l’aide d’un «Message au peuple» lu sur les places publiques où il parlait du Dieu unique, des prophètes, d’Abraham et de Jésus qui ne fut pas reconnu par les juifs en tant que Messie. Puis il leur ordonnait, en tant que prince, d’abandonner toutes les fausses croyances. Il fermait d’ailleurs à partir de ce jour tous les temples, avant d’en construire d’autres en l’honneur de Dieu.
À quoi ressembleront ces nouveaux temples ? Alina en eut bientôt la vision : «Cette nuit, j’ai pu voir un magnifique édifice. Il était circulaire avec un toit en forme de coupole. De tous côtés, la claire lumière du jour filtrait à travers des fenêtres aux multiples couleurs.» Selon ce qui fut indiqué d’En-Haut à Mohammed, il y aurait cinq prières par jour, à heures fixes. Un crieur installé sur une tour haute et élancée, pointant vers les hauteurs, appellerait les fidèles à la prière. Plutôt que le mot «temple», on utiliserait dorénavant l’expression arabe de «mosquée», lieu d’adoration.
Mohammed écrivait aussi ce qu’il avait reçu d’En-Haut ainsi que des chants de louanges. Éventuellement, tout son enseignement sera consigné dans le «livre de la révélation», le Coran.
Il divisa le royaume en districts, chaque district étant dirigé par un administrateur qui, en plus de la gestion matérielle, était chargé de répandre dans sa région la nouvelle croyance nommée islam ou «soumission à la Volonté de Dieu». Il fallait aussi un étendard pour les armées : le symbole apparaissant sur celui du prophète – un croissant de lune surmonté d’une étoile – fut inspiré par une vision qu’il eut de la lumineuse Reine des cieux, le pied posé sur un croissant de lune.
Parmi les nouvelles lois promulguées, il y avait en premier lieu l’obéissance envers Dieu. Les femmes devaient aussi habiter des pièces séparées de celles des hommes et porter le voile en public, car «c’est avec respect que l’homme doit lever les yeux vers la femme». Une mosquée serait construite dans chaque ville, ainsi qu’une école adjacente. On construirait des fontaines pour les ablutions avant les prières, des bains publics, des établissements pour les malades, des lieux de distribution de nourriture pour les pauvres.
Après la mort du prophète, sa parole et son œuvre furent déformées, et les commandements graduellement modifiés pour devenir plus agréables aux hommes. Des troubles surgirent partout, fomentés par Ali. Le fils aîné de celui-ci, Abdallah, qui avait été le premier lecteur à la mosquée, devint le meurtrier de ses frères Mohammed et Ibrahim, demeurés fidèles à l’enseignement du prophète. Là comme ailleurs, ce qu’avait apporté le messager de la Vérité fut bien vite traîné dans la boue.
Qui est Mohammed ?
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Qui est Mohammed ?
Ecrit le 09 janv.14, 08:00"Or, tout être humain doit et peut aspirer à un idéal, quelle que soit l’activité qu’il exerce sur Terre. Il peut alors ennoblir n’importe quelle tâche et lui donner des buts élevés."
[Abd-ru-shin, Tome II, conf. 23]
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Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 02:35L'entité qui incarne une autre, sont ils deux personne ou la même personne ?Poete a écrit : Vous avez une durée précise pour expier vos fautes, si vous ne les expiez pas toutes avant le Jugement, vous êtes condamné au plan le plus inférieur de la vie dans l'au-delà, celui qu'on appelle l'enfer.
Lévitique 18:25 Le pays en a été souillé; je punirai son iniquité, et le pays vomira ses habitants
Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 02:41C'est une âme qui se réincarne continuellement, donc une même personne.TetSpider a écrit :L'entité qui incarne une autre, sont ils deux personne ou la même personne ?
"Or, tout être humain doit et peut aspirer à un idéal, quelle que soit l’activité qu’il exerce sur Terre. Il peut alors ennoblir n’importe quelle tâche et lui donner des buts élevés."
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Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 02:52Pourquoi je me souviens plus du passé de la personne que j'incarne pour que je puisse convenablement expier ses péchés ?Poete a écrit :C'est une âme qui se réincarne continuellement, donc une même personne.
Lévitique 18:25 Le pays en a été souillé; je punirai son iniquité, et le pays vomira ses habitants
Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 02:58Voici un excellent article de Normand Charest...TetSpider a écrit :Pourquoi je me souviens plus du passé de la personne que j'incarne pour que je puisse convenablement expier ses péchés ?
La réincarnation : pourquoi ne s’en souvient-on pas ?
Les grandes souffrances, les grandes épreuves nous transforment. Nous ne sommes plus jamais les mêmes après avoir vécu de telles tempêtes. Qui peut comprendre, par exemple, la douleur ressentie à la perte d’un être cher ? Qui peut comprendre l’horreur, le désespoir qui planent sur les champs de bataille, s’il ne l’a pas lui-même vécu ?
Les survivants restent hantés par le cauchemar, longtemps après que ceux qui n’étaient pas impliqués dans cet enfer ont tout oublié des événements. Les enfants ne comprennent pas l’air taciturne de l’oncle qui a fait la guerre, de la vieille dame qui a tant vécu et tant souffert. Le plus terrible est cette impression d’avoir perdu en nous l’enfant qui appréciait la beauté de chaque instant, sans appréhender le malheur.
Nous voudrions retrouver cet enfant… et c’est bien là la grâce que nous offre le Créateur à chaque nouvelle vie ! La grâce de renaître et de redécouvrir le «nouveau» monde en toute candeur. La grâce de recommencer le dessin de notre vie sur une page blanche, et cela pendant toute la période d’apprentissage de l’enfance, sous la protection de nos parents.
Ceux qui sont aujourd’hui accablés par des souvenirs trop atroces comprendront à quel point ce cadeau de l’oubli est précieux !
Considéré sous cet aspect, le fait de chercher à connaître ses vies antérieures ne semble ni sage ni utile. Cette connaissance est le coffre fermé à clé, la pièce interdite des contes. Si le voyant me dit que je fus un artiste éminent, un grand sage perdu dans ses montagnes, l’auteur de livres fameux, je m’en glorifie. S’il me dit que je fus de ceux qui firent souffrir les autres, je suis abattu et perds courage. Pourtant, ce qui importe c’est ce que je suis aujourd’hui, non ce que j’étais hier. Ainsi, l’oubli des vies antérieures est-il une grâce, une sage disposition des lois du Créateur, et nullement une lacune.
Des preuves matérielles ?
Cet oubli, naturel et nécessaire, explique aussi pourquoi la connaissance de la réincarnation fait défaut à une grande partie de l’humanité : en effet, pour la plupart, nous oublions que nous avons déjà vécu. «Notre naissance n’est que sommeil et oubli», écrivait le poète Wordsworth. Il ne faut pas non plus rechercher des preuves matérielles de la réincarnation, puisque l’esprit qui évolue, en passant d’une vie terrestre à l’autre, n’est pas de genre matériel.
Les débats autour de ces questions ne trouveront jamais leur solution par des preuves scientifiques, puisque la science, on le sait, se limite au tangible, c’est-à-dire à la matière dense. Et les hommes de science eux-mêmes, en toute bonne foi, reconnaissent ces limites.
Ainsi, Pierre Dansereau (1911- ), reconnu comme un pionnier de l’écologie, déclarait : «Je crois en Dieu mais je ne crois pas aux preuves rationnelles de son existence.» «Il n’est pas défendu à l’homme de science d’être philosophe ou moraliste ou même poète, pourvu qu’il ait conscience de changer de plan quand il le devient», écrivait-il en 1944. Le mot est bien choisi, car nous changeons effectivement de plan lorsque nous abordons ces concepts spirituels, et pourtant ces plans sont aussi présents en nous. L’esprit entouré de ses enveloppes fines est ce que nous appelons l’âme, et l’âme se situe dans le corps terrestre, c’est un jeu de poupées russes s’insérant l’une dans l’autre. Il n’y a donc pas de preuves matérielles possibles en ce domaine. Il nous faut plutôt aborder les concepts spirituels par l’intuition, qui est ce qui nous relie à notre esprit. Là, tout n’est qu’expériences vécues, c’est pourquoi nous ne pouvons atteindre à la connaissance et à la conviction que par nous-mêmes, et en premier lieu par ce que nous ressentons.
De précieuses impressions
Certains jeunes enfants semblent avoir de vagues souvenirs de vies antérieures, qui sont rapidement dénigrés par leur milieu qui n’y croit pas et n’y voit, au mieux, qu’une simple fantaisie. Ma mère a d’ailleurs vécu une telle expérience, dans sa petite enfance ; elle qui est née en 1918 dans une culture catholique où l’éventuel souvenir d’une vie antérieure n’avait aucune chance d’être pris au sérieux.
Nous avons trouvé une de nos filles, alors qu’elle était toute petite, agenouillée sur le nouveau tapis oriental du salon, se prosternant, le front au sol, comme le font les musulmans. À la question de sa mère : «Que fais-tu là ?» elle répondit, comme si c’était une évidence : «Mais je prie, maman !» Pourtant, nous n’avions pas la télévision à cette époque, et ne connaissions aucune famille musulmane. De mon enfance, je me souviens de ceci : je n’aimais pas me regarder dans le miroir, car je ne pouvais m’identifier à l’image du garçon qu’il me renvoyait. Celui que je croyais être, celui que je voyais en fermant les yeux était un homme. Nous aimions, nous autres garçons, revivre le passé comme au théâtre : porter l’épée nous semblait naturel, ainsi que le tir à l’arc et toutes les ruses de guerre. Mon frère et moi jouions chaque jour à mourir en héros. Tout cela nous semblait absolument évident, comme si nous l’avions réellement vécu.
En vieillissant, ces impressions s’estompent bien souvent, mais nous pouvons encore retrouver des images significatives pendant notre sommeil, dans nos rêves. Nous pouvons aussi porter attention à ce qui nous attire, à ce que nous ressentons intensément en voyage, dans nos lectures, dans la musique, dans les arts, dans toutes les manifestations culturelles ; et surtout prendre en compte ces impressions qui proviennent d’époques révolues et qui nous font chercher, dans des pays étrangers, des réalités depuis longtemps disparues.
Il y a des lieux et des époques qui nous séduisent, mais aussi d’autres qui nous repoussent et que l’on aimerait éviter. Ainsi, Jung (1875-1961), pionnier de la psychologie, avait-il toujours évité d’aller à Rome, une ville qu’il craignait sans raison apparente. Lorsqu’il dut finalement s’y rendre, contre son gré, il y fut victime de graves problèmes de santé qui faillirent mettre fin à sa vie.
La pièce manquante
Depuis plus d’un siècle, les échanges entre les différentes cultures n’ont fait qu’augmenter. Qu’on se rappelle l’influence de l’art japonais sur les peintres impressionnistes à la fin du 19e siècle, des sculptures africaines sur le cubisme. Or, ces influences ont dépassé le simple domaine artistique. C’est ainsi que l’Occident chrétien a pu se pencher sur les notions, relativement nouvelles pour lui, de karma et de réincarnation. Les Indiens, les Chinois, les Japonais et bien d’autres, par leur littérature, ont témoigné de leur croyance en des vies multiples. Ainsi, Tagore, poète indien qui reçut le prix Nobel de littérature en 1913, a-t-il pu toucher l’Europe et l’Amérique par sa poésie hautement spirituelle ; d’abord les lecteurs anglo-saxons et ensuite les Français, grâce à la traduction d’André Gide qui s’enthousiasma pour son œuvre.
Dans un roman japonais, un personnage déclare de façon toute naturelle : «Tout a déjà été décidé dans une vie antérieure» (Natsume Sôseki). De son côté, François Cheng, auteur français né en Chine, émaille ses textes de remarques telles que : «confiant son unique espérance en quelque réincarnation future» ; «peut-être dans une autre vie» ; «c’était un programme qui aurait nécessité deux ou trois vies», et ainsi de suite. Ailleurs, dans un poème vietnamien, on peut lire ceci : «Liée à son homme par le sort ou la dette d’une vie antérieure, elle se résigne» (Tran Te Xuong, 1870-1907).
Les impressions personnelles déjà mentionnées et les témoignages des autres peuvent nous éveiller au concept de la réincarnation, mais c’est avant tout la logique qui devrait nous convaincre de sa réalité. La réincarnation est la pièce manquante qui vient compléter notre vision imparfaite du monde et du destin, ainsi que de la justice, et qui répond aux questions restées sans réponses. Ainsi, nous nous demandons : pourquoi les naissances sont inégales en richesse, en talents, en beauté et en santé. Pourquoi certaines vies sont chargées d’épreuves, tandis que d’autres suivent des chemins fleuris.
Notre besoin naturel de justice est satisfait par la connaissance du karma qui explique les destins apparemment injustes. Plusieurs vies sont en effet nécessaires pour évoluer et combler nos lacunes, pour payer nos dettes. C’est ainsi que nous récoltons maintenant les fruits semés dans nos vies précédentes et que nous préparons aujourd’hui les récoltes de demain.
A ce propos, Marcel Proust remarque que «tout se passe dans notre vie comme si nous y entrions avec le faix d’obligations contractées dans une vie antérieure». Ainsi, les concepts de karma et de réincarnation sont-ils liés, l’un éclairant l’autre. Les grandes religions monothéistes – judaïsme, christianisme, islam – qui ignorent la réincarnation, croient à une juste rétribution pour chacun après la mort, et en cela elles répondent à notre besoin de justice, mais elles laissent en suspens la question des inégalités à la naissance.
Ceux qui, d’autre part, ne croient en rien au-delà du visible et du tangible – ni en un Être suprême, ni à la survie de l’âme après le décès du corps – ceux-là n’offrent aucune réponse. Pour eux, l’auto-conscience dont bénéficient les hommes est un accident de parcours et presque une malédiction. Ils en concluent que la condition humaine est une absurdité et ne trouvent aucun sens à la vie. En effet, pourquoi la morale, pourquoi le besoin de beauté, pourquoi l’altruisme sans juste rétribution, sans continuité par-delà la mort ? Pourquoi ces questionnements naturels, ces questions existentielles, qui sont le propre de la conscience humaine et qui la suivent depuis ses origines ?
Notre moi réel est esprit, voilà ce que nous sommes par-delà nos corps éphémères. Le corps est la barque et l’esprit en est le batelier, disait Kabîr, poète mystique de l’Inde du 15e siècle. Venus d’un plan spirituel à l’état de germes d’esprits inconscients, nous avons dû plonger dans la matière pour y parvenir graduellement à l’auto-conscience. Pour ce faire, nous disposions d’un libre arbitre nous permettant de faire des choix, et c’est en récoltant les fruits de notre vouloir que nous apprenons et évoluons. Cela implique une juste rétribution ainsi que la responsabilité personnelle. Le vaste tableau de notre existence et de son évolution s’étend donc sur plusieurs plans, du spirituel de notre origine à la matière dense où nous nous trouvons encore maintenant, après nombre de vies terrestres. C’est pourquoi la connaissance de la réincarnation est essentielle à la compréhension de notre condition humaine. Elle est la pièce manquante qui nous révèle le sens de notre destinée.
http://www.graal.ca/?q=node/48
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[Abd-ru-shin, Tome II, conf. 23]
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Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 03:04Et une réponse concise à ma question ?
Lévitique 18:25 Le pays en a été souillé; je punirai son iniquité, et le pays vomira ses habitants
Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 03:22Vous devriez lire tout l'article. Votre question soulève trop de points pour qu'on y réponde en deux phrases. A quoi sert que vous connaissiez votre vie antérieure ? Le but, c'est de progresser. Si vous apprenez que vous avez fait de grandes choses dans votre vie antérieure, vous vous glorifierez et deviendrez orgueilleux, et si vous apprenez que vous avez commis de grands crimes, vous serez abattus. Le fait de nous avoir caché cela est une sage disposition de la part du Créateur.TetSpider a écrit :Et une réponse concise à ma question ?
Je vous invite à méditer sur ce passage :
...Considéré sous cet aspect, le fait de chercher à connaître ses vies antérieures ne semble ni sage ni utile. Cette connaissance est le coffre fermé à clé, la pièce interdite des contes. Si le voyant me dit que je fus un artiste éminent, un grand sage perdu dans ses montagnes, l’auteur de livres fameux, je m’en glorifie. S’il me dit que je fus de ceux qui firent souffrir les autres, je suis abattu et perds courage. Pourtant, ce qui importe c’est ce que je suis aujourd’hui, non ce que j’étais hier. Ainsi, l’oubli des vies antérieures est-il une grâce, une sage disposition des lois du Créateur, et nullement une lacune.
http://www.graal.ca/?q=node/48
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Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 03:35Aucune continuité alors... ça sert absolument à rien votre réincarnation.
Je m'en fou du passé de la personne que j'incarne... alors je fait ce que je veux, bien ou mal ça ne concerne que moi.
Je m'en fou du passé de la personne que j'incarne... alors je fait ce que je veux, bien ou mal ça ne concerne que moi.
Lévitique 18:25 Le pays en a été souillé; je punirai son iniquité, et le pays vomira ses habitants
Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 03:42La Réincarnation sert à progresser spirituellement. Comme il a été déjà prouvé, il ne sert à rien de connaître son passé, au contraire, ça risque de ralentir votre progression voire d'inverser le processus, ce qui peut mener à une perte éternelle... !TetSpider a écrit :Aucune continuité alors... ça sert absolument à rien votre réincarnation.
Je m'en fou du passé de la personne que j'incarne... alors je fait ce que je veux, bien ou mal ça ne concerne que moi.
Et vous faites une erreur : on "incarne" pas une "personne"... C'est le contraire : c'est la même personne, la même âme, qui se réincarne dans des corps éphémères. Essayez de comprendre d'abord, ensuite vous serez apte à critiquer.
Bien à vous
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Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 03:57Je vois pas en quoi c'est utile. Est ce que après ça a donné un quelconque changement sur terre cette "progression spirituelle" ?Poete a écrit :La Réincarnation sert à progresser spirituellement.
Lévitique 18:25 Le pays en a été souillé; je punirai son iniquité, et le pays vomira ses habitants
Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 04:07Il s'agit d'une progression individuelle de chaque âme sur terre... !TetSpider a écrit :Je vois pas en quoi c'est utile. Est ce que après ça a donné un quelconque changement sur terre cette "progression spirituelle" ?
Si vous voulez vous opposer à La Volonté du Très-Haut, qu'il en soit ici. Moi, je préfère me soumettre à Lui, comme Le Prophète Mohammed. Que le Juge des mondes, le Fils de Dieu, t'ouvre les yeux !
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Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 04:21Laisse la volonté de Dieu et ne la mêle pas. Il y a nulle mention sur la réincarnation que ça soit dans le Coran ou même la Bible. Moi je cherche à savoir en pure rationalité à quoi ça sert cette "réincarnation"... Rien. Si ce n'est d'assouvir des fantasmes ésotériques.Poete a écrit :Si vous voulez vous opposer à La Volonté du Très-Haut, qu'il en soit ici. Moi, je préfère me soumettre à Lui, comme Le Prophète Mohammed. Que le Juge des mondes, le Fils de Dieu, t'ouvre les yeux !
Lévitique 18:25 Le pays en a été souillé; je punirai son iniquité, et le pays vomira ses habitants
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Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 04:25LE "tres haut" nous a fait totalement libres, y compris pour s'opposer a LUI. Nous ne sommes pas soumis a DIEU, mais LUI, sous une forme temporaire, dans un corps.
Peu importe notre opposition," Proverbe arabe: les chiens aboient, la caravane passe.
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Ecrit le 10 janv.14, 04:29A QUOI SERT LA REINCARNATION?
A beaucoup de chose, mais en particulier a 2 choses:
1) a l'evolution generale et particuliere(ton evolution)
2) a se connaitre en tant que DIEU.
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1) a l'evolution generale et particuliere(ton evolution)
2) a se connaitre en tant que DIEU.
Re: Qui est Mohammed ?
Ecrit le 10 janv.14, 04:35Si, la Réincarnation est insinuée et/ou clairement mentionné à de multiples reprises dans le texte coranique et biblique. Pour preuve, lisez le verset 28, sourate 2 du Coran et les versets 5 et 7, chapitre 3 de l'évangile de Jean. Ne parlez pas de choses dont vous n'avez aucune connaissance.TetSpider a écrit :Laisse la volonté de Dieu et ne la mêle pas. Il y a nulle mention sur la réincarnation que ça soit dans le Coran ou même la Bible.
Je vous ai déjà expliqué que la Réincarnation sert à progresser, à se perfectionner. C'est obligatoire si on veut espérer atteindre Le Royaume de Dieu. Voici ce que dit Jésus : "Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. [...] Ne t'étonne pas que je t'aie dit qu'il vous faut tous naître à nouveau" [Jean, chapitre 3, verset 5, 7].TetSpider a écrit :Moi je cherche à savoir en pure rationalité à quoi ça sert cette "réincarnation"... Rien. Si ce n'est d'assouvir des fantasmes ésotériques.
Maintenant, vous ne voulez pas accepter cette explication, car vous vous fermez vous-même les yeux et vous vous assourdissez vous-même les oreilles pour ne pas comprendre. Relisez objectivement cet article : http://www.graal.ca/?q=node/48 ainsi que mes messages précédents si vous voulez comprendre. Et sachez que si vous continuez à critiquer coûte que coûte cette réalité (la Réincarnation), vous ne faites que critiquer l'Ordre Naturel voulu par Dieu.
Aucun rapport avec l'ésotérisme. Si vous saviez ce qu'est le Mouvement International du Graal, vous aurez su que nos Textes sont clairs et dénués de tout sens caché : ils sont adaptés à notre époque, pour que même un enfant puisse comprendre la Parole .
"Or, tout être humain doit et peut aspirer à un idéal, quelle que soit l’activité qu’il exerce sur Terre. Il peut alors ennoblir n’importe quelle tâche et lui donner des buts élevés."
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