Pion a écrit :Je ne sais pas, peut-être que oui, peut être que l'un est le subconscient et l'autre le conscient. Je suis ouvert a toutes possibilités car je cherche la vérité et non a avoir raison.
J'apprécie ta démarche.
La bible a été écrite par ces gens simples pour des gens simples.
Le premier degré est souvent la solution même s'il faut comprendre quelques symbolismes.
Même la Révélation , pourtant écrite avec beaucoup de symboles, est accessible pour 90% de son récit car ces symboles ont déjà été repris dans d'autres textes bibliques de l'AT ou du NT.
Ces histoires de conscient ou de subconscient sont à l'usage de gens qui recherchent le compliqué quand le simple les dérange.
Deux personnages crèvent l'écran en Révélation. Un personnage central, toujours décrit dans une position spéciale, " celui qui est assis sur le trône".
L'expression même désigne qu'il est le seul à être assis. Imagine que l'agneau soit aussi assis sur ce trône. A l'affirmation " celui qui est assis sur le trone" on se demanderait toujours ; mais lequel des deux ??
Ainsi, il ne peut y avoir qu'un seul personnage assis sur le trône.
L'autre personnage est l'Agneau. Il apparaît alors que nous avons déjà eu une description de celui qui est assis sur le trône. Il se trouve debout au milieu du trône. Rev 5:6. Jamais il n'est décrit assis.
Ce trône est particulier car quelqu'un peut y être assis alors qu'un autre peut y rester debout. sans doute autre chose qu'un simple siège mais un ensemble comprenant un siège et un espace permettant une station debout..D'ailleurs, d'autres que l'Agneau peuvent se trouver au milieu de cet espace appelé trône. Rev 4:6 "
et au milieu du trône et autour du trône il y avait 4 créatures.."
Nous avons évidemment un symbolisme ici car aucun trône en bois ou dans une autre matière n'existe au ciel. Cette image permet de comprendre que Dieu est détenteur de l'autorité et que Jésus est si proche de lui qu'il est décrit comme debout sur ce trône mais avec un bémol : il n'y est pas assis ce qui renvoie à la réflexion de Paul en I Cor 15:27.